République tchèque : Après sa sortie de prison, un demandeur d’asile libyen viole une jeune fille

Le verdict a suscité l'indignation. Un demandeur d'asile débouté à Dresde a été condamné à seulement deux ans de prison après avoir violé une jeune fille (16 ans) en République tchèque. Le tribunal régional d'Usti nad Labem (Ville en République tchèque) a réexaminé l'affaire et a doublé la peine.

Le tribunal de district de Litomerice (Bohême du Nord), en République tchèque, avait condamné Abdallah D. à deux ans de prison pour viol et vol en juin 2019. Un rapport médical avait diagnostiqué que le migrant né en Libye était schizophrène, mais l'avait considéré comme étant partiellement coupable.

En juin 2019, l'homme avait violé une écolière de 16 ans dans une petite ville près de Litomerice (République tchèque). Les enquêteurs ont obtenu des traces de salive et de sperme sur la victime. La police tchèque a pu arrêter l'auteur du crime près de la scène du crime. Il portait le téléphone portable de sa victime sur lui.

Juste auparavant, l'homme - qui prétendait être malien, mais qui est libyen - avait été libéré de la prison de Dresde. Abdallah D. avait purgé une peine de prison de substitution de 46 jours ici, car il n'avait pas payé deux amendes.

Le procureur général de Dresde, Jürgen Schmidt (44 ans), avait alors déclaré au BILD : "Cet homme possède un casier judiciaire pour resquillage et tentative de coercition. En août 2017, il s'est plaint sans succès de son logement auprès du bureau d'aide sociale. Il a exigé un passeport pour pouvoir partir immédiatement en Amérique. Lorsque l'employé a refusé, il a menacé à haute voix : "Je vais te tuer".

Après le crime en République tchèque, le ministère saxon de l'Intérieur a déclaré au BILD qu'Abdallah D. était obligé de quitter le pays, mais qu'il ne pouvait pas être expulsé vers son pays d'origine en raison de l'absence de documents de remplacement pour son passeport.

Après sa sortie de prison à Dresde, il s'est rendu à l'Eurocity de Prague et a rencontré l'étudiante de 16 ans. Au cours du procès, il a affirmé qu'il voulait se rendre en France.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour les Observateurs.ch)

Bild.de


Note : la photo est issue du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, visible ici en bas de la page. Sur ce site, on ne voit aucune condamnation des viols et autres délits commis par ces "réfugiés". Il n'y a rien, sauf de la propagande à sens unique.

En 2007, la Suisse était le 11ème bailleur de fond le plus important de cette institution.

2 commentaires

  1. Posté par OneShot le

    La loi d’asile est une arnaque de l’ONU destinée à transférer tous les cinglés, criminels, asociaux du tiers-monde vers l’occident. Pendant ce temps, Assange est torturé dans une prison anglaise et Snowden est exilé en Russie. Les deux seuls personnes qui méritent véritablement l’asile en Europe (ils l’ont demandée, ce qui leur a été refusé). Il faut supprimer cette loi d’asile mortelle pour l’occident.

  2. Posté par antoine le

    C’est l’expulsion à vie manu militari. Nous on s’en tape qu’il n’a pas de passeport …
    Du travail pour les diplomates ou autres serviteurs de l’État !

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