Solidaridad, en français Solidarité, comme le syndicat polonais Solidarność qui contribua fortement à renverser le communisme dans les années 1980 en Europe de l’Est : tel est le nom du nouveau syndicat de travailleurs qui devrait voir le jour en septembre avec le soutien des libéraux-conservateur de Vox, le parti de Santiago Abascal qualifié de nationaliste et d’extrême droite par les médias mainstream espagnols. Tout comme les partisans de Solidarność étaient taxés de nationalistes ou de fascistes par le régime communiste polonais, la rhétorique totalitaire de la gauche libertaire actuelle étant beaucoup plus proche qu’on ne le croit généralement de celle de la gauche communiste du siècle dernier.
Selon ce qu’avait annoncé Abascal début juillet pendant la campagne des élections régionales en Galice et au Pays basque, ce syndicat dont le nom a été divulgué il y a deux semaines sera une organisation pour les travailleurs « anticommunistes » qui se souciera « uniquement de leurs intérêts ». Le parti Vox reproche en effet aux syndicats espagnols existants d’être « vendus aux partis politiques » et d’avoir de ce fait trahi les travailleurs. Le nom Solidaridad prétend aussi signifier que le nouveau syndicat cherchera le bien commun des Espagnol en prenant la défense de l’économie nationale, des travailleurs, des petits entrepreneurs et des travailleurs autonomes, mais sans rechercher la confrontation recherchée par la gauche des « riches contre pauvres, employeurs contre salariés, parents contre enfants, hommes contre femmes, Catalans contre Madrilènes ou Aragonais contre Andalous ». Avec ce syndicat, Vox veut promouvoir « l’unité avant tout et solidarité dans le cadre des relations de travail ».
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Souhaitons le succès à Solidaridad. Les gauches ayant abandonné la défense des travailleurs pour ne plus se consacrer qu’au politiquement correct, aux délires du progressisme et à l’adoration des envahisseurs, il fallait bien que naquît un véritable syndicat au service du Peuple. ¡Arriba España!