Le PIB des Etats-Unis a accusé une baisse historique de 32,9% au deuxième trimestre, en rythme annualisé, sous l'effet de la pandémie de Covid-19, selon une estimation préliminaire du département du Commerce publiée jeudi 30 juillet.
Cette chute, moins importante que les 35% attendus par les analystes, marque néanmoins l'entrée officielle en récession de la première économie du monde, après un premier trimestre déjà en baisse. Par rapport au deuxième trimestre 2019, la baisse est de 9,5%.
La mesure utilisée aux Etats-Unis pour estimer la croissance est l'évolution en rythme annualisé, qui compare le PIB à celui du trimestre précédent, et projette l'évolution sur l'année entière à ce rythme. Elle diffère du glissement annuel qui compare le PIB à celui du même trimestre de l'année précédente.
La chute du PIB «reflète la réponse apportée au Covid-19, avec des mesures de confinement imposées en mars et en avril, partiellement compensées par la réouverture d'une partie de l'activité dans certaines régions du pays en mai et juin», détaille le département du Commerce dans son communiqué.
La contraction du PIB est largement due à la baisse des dépenses de consommation (composante majeure du Produit intérieur brut) qui ont baissé de 34,6% au deuxième trimestre, en rythme annualisé également, analyse l'AFP.
Les dépenses dans les services, un des secteurs les plus touchés par la crise, ont chuté de 43,5%.
Les investissements privés ont quant à eux baissé de 49%.
Sans surprise, les dépenses du gouvernement fédéral ont bondi de 17,4%, en raison de l'aide financière apportée aux ménages et aux entreprises.
Les prix à la consommation ont par ailleurs chuté de 1,9% sur le trimestre, quand ils étaient en hausse de 1,3% au premier trimestre, selon l'indice PCE également publié ce 30 juillet.
Au premier trimestre, le PIB de la première économie du monde avait reculé de 5% sous l'effet des mesures de confinement imposées à la mi-mars. Les Etats-Unis ont connu une croissance de 2,3% en 2019, et le président Donald Trump, qui avait fait de la bonne santé de son économie un argument dans sa course à la réélection, visait 3% par an.
Extrait de: Source et auteur
LES ELITES MONDIALISTES n’auront même pas cherché à éviter la descente économique de “leur BASTION”, l’Amérique.
C’est là qu’on comprend mieux à qui l’on a à faire. Ils auront semé le chaos partout tant leur obsession de la domination totale de la planète les “occupe” ou les “harcèle”.
Par contre, ces élites et ceux qui collaborent à leur programme, ont manoeuvré de manière tellement sournoise et secrète que nous avons à peine le temps de réagir.
Il reste à penser que les autres “empires” n’acceptent pas cette emprise et comprennent que la supposée domination mondiale va aussi les asservir.
Dans ce cas une guerre mondiale deviendra inévitable tant nos élites mondialistes sont atteintes par une psychopathologie suicidaire et criminelle à la fois.
Espérons que les gens lassés par leurs divers scénarios ne se soumettront pas au vaccin, alors qu’il n’a pas été testé et présente une certaine dangerosité puisqu’une protéine y serait introduite altérant l’ADN et cerise sur le gâteau, y serait aussi introduite une sorte de nanopuce pouvant être contrôlée et manipulée à distance “grâce” aux ondes électromagnétiques 5G, dont l’impact serait pire que celui du Covid.
Deviendrons nous des sujets ou plutôt “objets” MONSANTONIENS? Puisque notre génome sera modifié comme l’est celui d’une plante. Et il est très grave que les gens ne sachent pas qu’ils vont être manipulés génétiquement comme n’importe quelle matière vivante.
NOUS SOMMES DONC VRAIMENT A L’HEURE DU CHOIX.