Le phénomène de la criminalité chez les mineurs au sud des Alpes a augmenté ces dernières années. La prévention en première ligne sur le terrain manque selon qui travaille avec les jeunes
Drogues, armes, violences, vols, extorsions… Au Tessin, les «baby gangs» inquiètent. Ces jours, le rappeur local Daytona KK s’est fait agresser par un groupe de jeunes âgés entre 14 et 18 ans. Début juin, une violente bagarre impliquant des mineurs s’est déchaînée dans un bar de Bellinzone. Mi-mai, un garçon de 16 ans a été passé à tabac à Pregassona, échappant de justesse à la mort, par une dizaine de jeunes du sud du canton. Quelques mois plus tôt, cinq mineurs de Lugano étaient arrêtés après avoir menacé le père d’un ami avec un pistolet softair.
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Nos remerciements à Vespasien et
“«L’argument de la xénophobie est souvent invoqué pour éviter ce dernier point, sensible, mais il est important de considérer les faits.» Ici, la violence n’est plus socialement acceptable pour résoudre un conflit, explique-t-il. «Un jeune qui arrive de Syrie ou d’Afghanistan a un vécu et des repères socioculturels complètement différents. Il y a des cultures où la violence est signe de masculinité.»”
J’adore la photo d’illustration du Temps, bien blanc, l’interpellé !
A propos, il me semble que les forces de progrès devraient s’intéresser à la rédaction du Temps, qui me semble, à ce que j’ai pu en voir, bien peu “racisée”.
Des familles normales, de bons Tessinois et la deuxième partie de l’article nous cite tout autre chose. Bref, il est certain que l’écrasante majorité de ces jeunes sont exactement les mêmes qui foutent la merde aux 4 coins du continent.