Jean Raspail : Le Sida mental est toujours là… mais si ce Sida mental n’était qu’un « tigre de papier » ?

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https://fr.novopress.info/200590/jean-raspail-sida-mental-toujours/

Jean Raspail : Le Sida mental est toujours là… mais si ce Sida mental n’était qu’un « tigre de papier » ?

24 avril 2016 par Novopress

24/04/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : « Le Sida mental est toujours là », déplore Jean Raspail dans un hommage appuyé à Louis Pauwels, qui avait fait du Figaro Magazine un organe de combat.

Dans cette vidéo réalisée pour le colloque Iliade « Face à l’assaut migratoire, le réveil de la conscience européenne », qui vient de se tenir à Paris, l’auteur du Camp des saints, paru en 1973, s’interroge. Est-il encore possible de stopper l’invasion de l’Europe ? Peut-on vaincre le terrorisme islamiste ?

Oui, à condition de faire sauter les barrières mentales et D’ARRÊTER DE PLEURNICHER :

« Tant qu’il n’y a pas de colère, je ne vois pas du tout comment on s’en sortira. C’est une réaction normale la colère : on vous déclare la guerre, on répond. On ne va pas mettre des fleurs aux premiers morts : on venge les morts ! »

Jean Raspail revient aussi sur la célèbre couverture du Figaro Magazine, « Serons-nous encore français dans 30 ans ? », qui avait fait scandale en 1985, sur ce « Big Other » qui réifie l’Autre et sur le bâillonnement de la parole des Français : « Si la population ne recouvre pas la totalité de sa liberté d’expression, même si elle est exagérée, on n’en sortira pas non plus. »

L’intervieweur : Le Camp des Saints annonçait le chaos migratoire qui est en cours aujourd’hui […] Les Autres avant les Nôtres qui est le paradigme incapacitant […] Big Other soit les mécanismes de contrôle qui entretiennent finalement notre peuple dans une sorte de léthargie et d’absence de réaction. On l’a vu au Bataclan. Je pense que comme tout un chacun vous avez été choqué justement par la non réaction ou les réactions Bisousnours.

Jean Raspail (JR) : [JR confirme, il connaît le terme Bisousnours]… il y a même des messes Bisousnours. […] C’est [la tuerie du Bataclan] l’hostilité absolue de, je ne dis même pas l’islamisme, de l’islam à l’égard de l’Occident, qui nous déteste, et c’est l’incompatibilité de mille ans de différence, ça ne changera jamais et on a été mis enfin devant le fait accompli. Cela étant dit […] les manifestants […] je ne comprends pas pourquoi ces manifestants, qui étaient très nombreux à ce moment là, ce sont pas mis en cortège pour aller faire une manif devant une ambassade d’un pays arabe, les plus salafistes, en cassant quelques carreaux […] en manifestant une vraie indignation. Il n’y a pas de colère et tant qu’il n’y aura pas de colère je vois pas du tout comment on s’en sortira. C’est une réaction normale la colère, on vous déclare la guerre, on répond. On va pas mettre des fleurs aux premiers morts. On venge les morts.

[…] Big Other, c’est comme Big Brother d’Orwell, commande comme ça à toutes les cervelles, dans un autre registre. Big Other qui est devenu une espèce d’extraordinaire comète qui nous surveille, qui nous formate, qui nous paralysie.

Tant qu’on n’aura pas rétabli la totale liberté d’expression […] je parle du fait que notre pensée est totalement formatée et que même pour des gens comme vous ou moi et d’autres, il y a des mots qu’on arrête, alors que c’est ces mots là qu’on devrait sortir, les mots de colère justement, même des mots excessifs, quand va-t-on les foutre dehors enfin ces types là ? Des choses comme ça, même plus grave on ne le dit pas, on ne l’écrit pas parce que c’est plus possible.
[…]

Pauwels [Louis Pauwels 1920 - 1997], Pauwels avait inventé en quatre vingt cinq cette magnifique définition, c’était le sida mental, je ne sais pas si vous vous souvenez, on ne pouvait pas trouver mieux. Eh bien, ce sida mental est une maladie qui continue à courir, à se développer et qu’on n’est pas arrivé à arrêter. Elle a débordé de la jeunesse et elle nous atteint, le sida mental, qui nous ronge absolument toute espèce de bon sens et qui vous rend aussi imbécile que votre voisin. Le sida mental est toujours là.

[…] Jean Cau [Jean Cau 1925 - 1993] avait dit une chose […] il a dit on n’y arrivera jamais, il était très pessimiste, encore plus que moi c’est pas peu dire, on n’y arrivera jamais parce que la droite, la vraie droite, n’est pas dicible (ndrl. qui peut être dit, exprimable). Il n’avait pas dit, elle est indicible, ce n’est pas la même chose. […] On n’arrive pas à sortir, c’est impossible de sortir sa colère, c’est impossible de sortir ses véritables indignations… il faudrait que, comment dirais-je, que cette parole arrive à exploser ensemble dans la grande majorité de la population, c’est pas impossible que ça arrive.

******

Dans le plus célèbre des éditoriaux du Fig Mag, paru le 6 décembre 1986 sous le titre « Le Monôme des zombies », Pauwels avait écrit, concernant cette génération qui défilait dans la rue et est, trente ans plus tard, celle qui est au pouvoir :

samedi 3 avril 2010

Louis Pauwels - "Le monôme des zombies"

« Ces jeunes avaient entre 8 et 14 ans en 1981. Ce sont les enfants du rock débile, les écoliers de la vulgarité pédagogique, les béats de Coluche et Renaud nourris de soupe infra idéologique cuite au show-biz, ahuris par les saturnales de Touche pas à mon pote”, et, somme toute, les produits de la culture Lang.

Ils ont reçu une imprégnation morale qui leur fait prendre le bas pour le haut. Rien ne leur paraît meilleur que n’être rien, mais tous ensemble, pour n’aller nulle part. Leur rêve est un monde indifférencié où végéter tièdement. Ils sont ivres d’une générosité au degré zéro, qui ressemble à de l’amour mais se retourne contre tout exemple ou projet d’ordre.

L’ensemble des mesures que prend la société pour ne pas achever de se dissoudre : sélection, promotion de l’effort personnel et de la responsabilité individuelle, code de la nationalité, lutte contre la drogue, etc., les hérisse.

Ce retour au réel leur est scandale. Ils ont peur de manquer de mœurs avachies. Voilà tout leur sentiment révolutionnaire. C’est une jeunesse atteinte d’un sida mental. Elle a perdu ses immunités naturelles ; tous les virus décomposants l’atteignent.

Nous nous demandons ce qui se passe dans leurs têtes. Rien, mais ce rien les dévore. Il aura suffi de cinq ans pour fabriquer dans le mou une telle génération. Serait-ce toute la jeunesse ? Certainement pas. N’ayant pas à courtiser les minus, osons dire que c’est la lie avec quoi le socialisme fait son vinaigre. »

Pourtant, Renaud, Balavoine et Coluche c'était autrement plus évolué que le rap de maintenant, sur lequel les incultes lobotomisés en école de commerce se dandinent sans même être capable de mettre du sens au parole ni de formuler la moindre révolte ou simple pensée personnelle.

« Sans compter que les «Français de souche», MATRAQUÉS PAR LE TAM-TAM LANCINANT DES DROITS DE L’HOMME, de «l’accueil à l’autre», du «partage» cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites «antiracistes», conditionnés dès la petite enfance au «métissage» culturel et comportemental, aux impératifs de la «France plurielle» et à toutes les dérives de l’antique charité chrétienne, n’auront plus d’autre ressource que de baisser les bras et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule «citoyen» du Français de 2050. »

Sources http://naborandien.blogspot.com/2010/04/louis-pauwels-le-monome-des-zombies-ces.html ET Louis Pauwels, Le monôme des Zombies, Le Figaro Magazine, 6 décembre 1986 ET Jean Raspail, dans Le Figaro (2004)

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Cenator : ces données étant connues, la situation pourrait sembler désespérée mais ce n’est pas aussi simple.

En effet, la preuve a été apportée par la Hongrie, entre autres, qu’il était possible de refuser, avec succès, la transformation ethnique et culturelle d’un pays européen judéo-gréco-romano-chrétien en un magma multiculturel explosif du fait d’une nouvelle composante totalement étrangère, l’islam, par nature, totalitaire, primitif, misogyne et irréformable à jamais.
Si le diabolisé Viktor Orbán a réussi cet exploit, pourquoi cela serait-il impossible aux autres pays européens ?
Quelle est donc la « recette » de Viktor Orbán ?

En fait, elle est si triviale que c’est cette trivialité même qui l’empêche d’être perçue puis formulée.

Il s’agit tout simplement de vaincre le sida mental susmentionné en retrouvant la liberté de penser et de s’exprimer. Pour cela il faut s’affranchir de la dictature du politiquement correct qui musèle la liberté d’expression, et par conséquent empêche d’agir, dans tous les pays occidentaux.

Le conte bien connu d’Andersen peut nous aider à saisir l’essence même du phénomène qui est en cause ici. Lorsque l’enfant proclame l’évidence indicible - Le roi est nu - dans une assemblée composée de lâches soumis corps et âme à la dictature du politiquement correct, il libère la parole retenue par la barrière mentale dont Raspail parle : On n’arrive pas à sortir, c’est impossible de sortir sa colère, c’est impossible de sortir ses véritables indignations.
C’est aussi simple que cela. Une fois la parole libérée, les actes suivront.

23.9.2016, réactions de Viktor Orbán à l’élection de Donald Trump :
Nous allons pouvoir revenir à la vraie démocratie, aux discussions honnêtes, loin des contraintes paralysantes du politiquement correct.

Les médias vont aboyer, les tam-tams lancinants des ONGS droits de l’hommiste vont se déchaîner mais ce ne sont que des tigres de papier qui n’effrayent que les lâches.
En effet, ces médias, ces ONGS n’ont de pouvoir que par celui que nous leur octroyons du fait de nos lâchetés et de nos peurs de leur déplaire… le Premier Ministre Orban en a apporté la preuve.
Et c’est pour cela qu’il est tant diabolisé par les médias et les ONGS, ces instances, virtuellement ou réellement, à la solde de la clique de Soros
soutenant tout ce qui modifie, altère, le mode de vie traditionnel des Européens.

Viktor Orbán L’A FAIT ET LA POPULATION HONGROISE L’A SOUTENU, tant ses déclarations sont parues remplies de bon sens et de vérité, quand bien même la classe bavarde de tout l’Occident en fulminait de rage… « Heureusement pour lui, la popularité médiatique – voire l’estime de ses homologues européens – semble être le cadet de ses soucis ».
Winston Churchill résume ainsi cette manière de procéder :
En politique, il faut savoir ce que l’on veut. Quand on le sait, il faut le dire. Quand on l’a dit, il faut le faire.

 

VOYONS CELA PLUS EN DÉTAIL:

En octobre 2013, alors qu’il était en visite officielle au Royaume-Uni, Viktor Orbán avait également prononcé un discours dans lequel il urgeait les leaders européens de changer de politique en matière démographique : « Il faut dire les choses clairement. Une communauté qui ne peut se maintenir biologiquement est vouée à la disparition. L’immigration n’est pas une réponse. C’est un piège, un bluff. Nous devons reconnaître les politiques familiales motivées par la démographie comme essentielles et légitimes. »

Début 2015, Viktor Orbán : « Nous ne voulons pas qu’une minorité significative avec une culture et des valeurs différentes des nôtres vive parmi nous, car nous voulons que la Hongrie reste la Hongrie. »

Publié le 02.06.2015 D’après le Premier ministre hongrois Viktor Orban, les migrations actuelles vers l’Europe menacent la civilisation du continent. C’est dans le cadre d’une conférence en l’honneur de l’ex-chancelier conservateur allemand Helmut Kohl que le dirigeant populiste a lancé sa déclaration choc : « Une migration de masse se produit aujourd’hui dans le monde, et elle pourrait changer la face de la civilisation européenne. Si cela se produit, cela sera irréversible ».

Et de poursuivre : « S’il y a une Europe multiculturelle, on ne reviendra pas en arrière, ni vers une Europe chrétienne, ni vers le monde des cultures nationales. […] Si nous faisons une erreur aujourd’hui, ce sera pour toujours ».

Discours de Viktor Orban 3.07.2015 : […] Le président a également expliqué sa position : contrairement à l'Afrique, l’Europe garantit gratuitement  la survie des personnes. Par conséquent, si les Africains apprennent que nous allons nous occuper d’eux s’ils viennent chez nous, … et que nous les laissions venir en Europe, ils partiront de chez eux,  et pas cent milles – ce qui est largement prévisible - mais un chiffre précis inimaginable, ils seront plusieurs centaines de millions, puisque plusieurs centaines de millions vivent en Afrique.

Aujourd’hui, à cause d’une situation mal gérée, de la mauvaise réponse européenne, il y a un mythe vivant en Afrique, celui de croire que l’Europe va les accueillir s’ils viennent. C’est pourquoi, nous devons leur dire très clairement : il n’y a aucune chance, nous allons vous renvoyer, ce continent ne sera pas votre patrie, vous avez votre patrie, et ceci est notre patrie, nous l’avons bâtie. […]

Hongrie 27.07.2015 : le Premier Ministre Viktor Orbán déclare que la gauche perçoit l’immigration comme une opportunité de détruire définitivement les frontières et les identités nationales…

« L’islam n’a jamais appartenu à l’Europe, il s’y est invité », déclare M. Orban (le 17.10.2015), justifiant son opposition à l’accueil par l’UE de centaines de milliers de demandeurs d’asile venus pour la plupart de pays musulmans par son souci de « défendre » les « valeurs culturelles » européennes (…)

« Mais spirituellement, l’islam n’appartient pas à l’Europe. C’est un corpus de règles d’un autre monde », a affirmé M. Orban, se plaignant de n’avoir « pas le droit d’émettre un doute », face aux Allemands ou aux Français, sur la possibilité d’une société multiculturelle. « Nous, en Hongrie, décidons nous-mêmes si nous en voulons ou pas. Nous n’en voulons pas », ajoute-t-il (…)

Discours de Orban du 21-09-2015
[…] Grâce aux « mass media » et à internet, il est maintenant clair pour tout le monde que l’Europe est riche, mais faible. C’est la combinaison la plus dangereuse.

23.9.2016, Viktor Orbán :
- Nous avons le droit de décider avec qui nous voulons vivre.

- Il y a une seule solution : c’est d’expulser les migrants hors du territoire de l’UE.

En octobre 2015, Viktor Orban affirmait : « L’invasion est conduite d’un côté par des trafiquants d’hommes, de l’autre par des activistes qui soutiennent tout ce qui affaiblit l’État-nation (…) dont le meilleur exemple est peut-être George Soros (…) il soutient tout ce qui modifie le mode de vie traditionnel des Européens ».

Viktor Orban 20.5.2016: […] La Hongrie ne veut pas participer au remplacement de population qui sévit dans l’Union Européenne. Avec une politique de remplacement de population, dans 15-20 ans, toutes les villes hongroises seraient méconnaissables comme le sont déjà les villes des pays de l’Europe Occidentale (Orban ironise en disant que chaque citoyen peut aller vérifier ses dires, ce qui l’aidera à voter). « Nous avons une responsabilité. Si nous n’agissons pas maintenant contre cela, nos enfants, et les futures générations, nous le reprocheront : « Comment avez-vous pu laisser faire cela ? Nous transmettre un pays où on ne se sent plus chez soi ? » Nous devons sauvegarder notre sécurité, notre culture et notre homogénéité culturelle. C’est un avantage incommensurable d’avoir un héritage culturel ininterrompu de mille ans, de garder un sentiment d’appartenance culturelle, un sentiment de « chez soi ». Dans les grandes villes européennes, ce sentiment a déjà disparu. […]

15 mars 2018, Viktor Orbán : « Nous qui croyons aux États-nations, à la défense des frontières, à la famille et à la valeur du travail, nous sommes d’un côté. Et nous nous opposons à ceux qui veulent une société ouverte, un monde sans frontières ni nations, de nouvelles formes de famille, un travail dévalorisé et des travailleurs bon marché – tous régis par une armée de bureaucrates insaisissables. D’un côté, les forces nationales et démocratiques, et de l’autre côté, les forces supranationales et antidémocratiques. »

07/04/2018  Viktor Orban, Premier Ministre et grand favori des législatives en Hongrie pour un 3ème mandat : «Dites à tout le monde que la migration de masse menace notre sécurité quotidienne telle que nous l’avons toujours connue. La migration de masse revient à augmenter la menace de la terreur. Il est tout-à-fait clair que là où il y a migration de masse, des femmes sont violées »

29.8.2018 Viktor Orbán a précisé que la politique de Bruxelles, de la France, de l’Allemagne, de l’Espagne parle de gestion des flux migratoires. Les V4 ne veulent pas les gérer mais les stopper. Le devoir n’est plus la redistribution des migrants, mais leur renvoi d’où ils viennent. […] La seule façon de les sauver des noyades, c’est d’empêcher tout départ. Et ceci n’est possible que s’ils ont la certitude qu’ils ne pourront plus fouler le sol européen.

Viktor Orbán février 2019 : « Ce qui nous tue, c’est l’internationale socialiste ressuscitée par la mondialisation. Le nouvel internationalisme est à Bruxelles, et son instrument est la migration »

Octobre 2018 : Démocratie illibérale signifie pour les Hongrois une démocratie sans l’idéologie de la gauche – libéral étant pris au sens américain, c’est-à-dire gauchiste.

Orbán répond aux questions du PPE

[…]

PPE : Veuillez expliquer ce que vous entendez par l’expression « État illibéral » ?

Le fait est que lorsque les libéraux perdent une élection en Pologne ou en Hongrie, ils disent immédiatement que s’en est fait de la démocratie. Dans certains États membres, les libéraux semblent penser qu’un démocrate ne peut être qu’un démocrate libéral, ce qui est en soi une contradiction.

Nous sommes Chrétiens démocrates et nous différons des libéraux en trois points : le premier est la conviction que la famille est fondamentale, et que la famille est basée sur un homme et une femme. Nous croyons que cela doit être protégé, ce que les libéraux contestent. Deuxièmement, quoique la vie culturelle de chaque pays soit diverse, une Leitkultur, une culture dominante, est présente partout. Nous respectons les autres cultures, mais la nôtre a un rôle proéminent pour nous, et notre responsabilité est de la préserver. Les libéraux refusent ce concept. Le troisième point est que les démocrates libéraux sont partout pro-immigration tandis que nous sommes contre l’immigration. Donc, qu’on le veille ou non, les Chrétiens démocrates sont illibéraux par définition.

[…]
Commentaires :
- « Un monde sans frontières, c’est une folie sans limites. »
-
George Brock Chisholm (1896-1971), ex-directeur de l'OMS : Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécessaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyauté envers les traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux.
-
« L’Europe naïve, angélique et moralement désarmée, complexée par un humanitarisme pathologique, fait bien rire tous ceux qui ne rêvent que de la conquérir et de l’envahir. »

- Exo7 - 17/02/2020
[…] Mais pour cela il faut avoir des convictions et des attributs génitaux sérieusement accrochés façon Salvini et Orban. L'Histoire jugera ceux qui ont sauvé ou pas une brillante civilisation face à des arriérés moyenâgeux qui n'auraient dû pouvoir quitter leur biotope naturel. […]

 

CQFD « Le Sida mental est vaincu »… au grand dam de la classe médiatique bienpensante et des ONGS !

 

Cenator : tout Patriote approuve les idées pleines de bon sens de Viktor Orbán même si elles font enrager la Présidente de la confédération Simonetta Sommaruga, une socialiste SANS ENFANT, tout comme la PDC Doris Leuthard qui l’a précédée récemment à ce poste.

Pourquoi relever le fait que Simonetta Sommaruga et Doris Leuthard n’ont pas eu d’enfant ?

Kövér nous donne la réponse, il pense « que le premier devoir des gouvernants n’est ni le bien-être individuel, ni la satisfaction d’un idéal de liberté individuelle, mais bien de créer les conditions qui permettent la survie du pays dont ils ont la charge. Une fois que cette donnée essentielle – la survie de la collectivité – est établie, alors seulement l’on doit s’efforcer de satisfaire les exigences de liberté et de bien-être. »

Viktor Orbán, né le 31 mai 1963, juriste de formation, est un protestant (calviniste) marié à une catholique et père de 5 ENFANTS.

Si les Européens font des enfants, il y aura encore une Europe. Sinon, dans 50 ou 100 ans, il y aura un califat à la place. Les Maures ont déjà été historiquement présents en Europe, peut-être vont-ils peupler l’Europe future. De toute façon, il y aura du monde pour habiter cet espace européen.
lesobservateurs.ch/2019/02/15/la-gauche-na-plus-de-limite-morale-et-les-autres-partis-sont-sur-la-meme-voie/

Par ailleurs : Même les réfugiés persécutés et les demandeurs d’asile sincères, sauf minorités de très faible taille, n’ont pas à s’établir en Europe. Ou alors, c’est la porte ouverte à la transformation de l’Europe en un centre d’hébergement gratuit.

Génial Viktor Orbán :

1) IL Y A QUELQUES ANNÉES, LA HONGRIE A ACHETÉ UN PETIT TERRITOIRE PORTUAIRE EN SERBIE PERMETTANT LE DÉBARQUEMENT DES PORTE-CONTENEURS AFIN DE NE JAMAIS ÊTRE À LA MERCI D’UN AUTRE ÉTAT PORTUAIRE. Cela  a coûté une somme faramineuse mais Orban était décidé d' aller de l’avant avec son projet. En effet, la Hongrie a perdu son accès à la mer avec le traité de Trianon et ceci rend un pays très vulnérable, comme l’illustre l’exemple de la Suisse. On ne peut que donner raison à Orban : chaque pays sans accès maritime devrait faire de même pour ne pas être à la merci de ce genre de risque.

2) La clôture érigée aux frontières de la Hongrie a permis de diminuer de plus de 90% la pression migratoire des « migrants », alors qu’une telle clôture était censée ne servir à rien.

3) Viktor Orbán est très intelligent et débordant d’humour, ce qui a laissé sans voix plus d’un de ses contradicteurs.

3.1. Viktor Orbán février 2020: Populiste est la nouvelle appellation de « l’ennemi du peuple » d’autrefois.

3.2. À propos du pouvoir absolu devant être octroyé aux experts en certaines situations:

Le Titanic  a été conçu et construit par les experts les plus compétents… l’arche de Noé a été construite par un amateur… Regardez les résultats !

3.3. L’Europe occidentale est assise à l’envers sur son cheval !

 

3 commentaires

  1. Posté par Jeff le

    Non destiné à être publié :
    Hé, lesobservateurs.ch, il serait temps d’informer et de mettre en garde les lecteurs du « GRAND RESET » vers le NOUVEL ORDRE MONDIAL annoncé par Schwab du WEF et par l’ONU ! Voir notamment le site du WEF (et des vidéos) où l’on peut voir et en déduire que la pseudo-pandémie covid-19 a été planifiée et déclenchée pour imposer le confinement et donc l’effondrement des économies occidentales. D’où la dramatisation extrême du virus par les grands merdias pour justifier le confinement, avec déclaration (en France comme en Suisse) que les masques sont inutiles (il fallait un maximum de malades) et interdiction de l’hydroxychloroquine qui est efficace (elle a été réquisitionnée en Suisse par le CF, qui est complice de ce crime). Le Prof. Raoult est le grain de sable qui pouvait empêcher LE PLAN. On voit aussi que le covid ayant été moins venimeux que prévu, tout est fait pour qu’il y ait rapidement une deuxième vague (annoncée pour cet automne) créant un effondrement économique total. Des famines ne sont pas impossibles, en Suisse aussi. On crée un problème et on offre une solution. Le Nouvel Ordre Mondial sera présenté comme résolvant le problème économique, le soi-disant réchauffement climatique entropique (l’ingénierie sociales des grands merdias comme la RTS a été effectuée toutes ces dernières années), sauvant les gens du covid par un vaccin (contenant un nombre incalculable de saloperies, dont un puçage) et résolvant les inégalités au niveau mondial, le racisme (d’où l’hystérie raciale actuelle entièrement fabriquée et manipulée). Abolition des frontières et libre-circulation mondiale (Pacte pour les migrations, préparé par un duo incluant un Suisse, merci le CF). Tous les gouvernements occidentaux seront sommés (sous peine de sanctions, voire in fine d’intervention militaire pour les plus récalcitrants, s’il y en a) d’exécuter les ordres d’un gouvernement onusien, dictature mondiale de type communiste (comme en Chine). Le PLAN sera mis en oeuvre après la non-réélection de Trump, un obstacle au NOM. Trump ne sera pas réélu car tous les moyens – légaux ou non – seront utilisés pour qu’il ne soit pas réélu (il y aura notamment des fraudes massives lors de l’élection). Dans le cadre de son travail de sape, ce soir, la RTS (Mise au point) a encore dégueulé pendant 30 mn sur Econe (On fustige les curés pédophiles mais on passe rapidement sur l’affaire majeur de pédophilie Epstein, Bill Gates, qui jouit lors des interviews parlant du covid, qui a pris le lolita-express, n’est jamais mentionné dans cette affaire), le catholicisme (le vrai), faisant obstacle au NOM : « Nul n’entrera dans le Nouvel Ordre Mondial sans avoir fait le serment de vénérer Satan » (David Spangler, directeur de l’Initiative Planétaire, un projet de l’ONU). Normal puisque le NOM prévoit aussi le transhumanisme, la reproduction non sexuée, etc..
    REVEILLEZ-VOUS !!

  2. Posté par Chris le

    “IL Y A QUELQUES ANNÉES, LA HONGRIE A ACHETÉ UN PETIT TERRITOIRE PORTUAIRE EN SERBIE PERMETTANT LE DÉBARQUEMENT DES PORTE-CONTENEURS AFIN DE NE JAMAIS ÊTRE À LA MERCI D’UN AUTRE ÉTAT PORTUAIRE”.

    La Serbie n’a pas d’accès à la mer.

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