Le flic, ce raciste qui sera là lorsque vous aurez besoin de lui.
Le Temps du jour consacre sa page 3, temps fort, au racisme dans la police. Le journaliste a bien fait son travail. Il a consulté toute une série de sociologues qui sont unanimes pour fustiger les flics qui seraient obnubilés par la couleur de peau et ne travailleraient qu'au faciès. J'invite ces bonnes âmes à aller se promener à la gare d'Yverdon et alentours, haut lieu du trafic de drogue. Même avec leurs lunettes roses, il ne leur faudra pas tellement de temps pour constater que pour l'essentiel, les dealers sont d'origine africaine. Dans la mesure où la société attend des forces de l'ordre qu'elles le fassent respecter, il est bien évident que les intervenants vont cibler les trafiquants qui, pour beaucoup, se trouvent être noirs. C'est bien leur activité qui leur vaut la suspicion policière, non leur couleur. On se rappelle à ce propos ce qu'expliquait, photos à l'appui, le grand humaniste Fernand Melgar au sujet de ces revendeurs qu'il avait tant défendus. Lorsqu'il a été lui-même confronté à leur activité, il a ameuté le ban et l'arrière-ban pour dénoncer le laxisme dont bénéficiaient les dealers et étonnamment, les individus évoqués étaient noirs. On ne saurait mettre Fernand Melgar à la même hauteur que le flic de base tant le premier a fait la leçon au second mais il arrivait à la même conclusion quant à qui fait quoi en matière de drogue. Il lui a juste fallu plus de temps. En fait, le problème vient des bisounours qui voient chaque migrant comme une chance parce que venu d'ailleurs et s'opposent donc à toute expulsion dès lors que l'hôte ne respecte pas les lois de son pays d'accueil. Les policiers sont ainsi régulièrement confrontés aux mêmes délinquants, nourrissant au fil du temps une fâcheuse impression d'inutilité quant à leur activité. De l'autre côté, les criminels prennent de l'assurance, sûrs qu'ils sont du soutien des gentils, quoi qu'ils puissent faire. Les interpellations musclées sont régulièrement dénoncées comme motivées par le racisme alors que le plus souvent, les intervenants n'utilisent que la force nécessaire à l'accomplissement de la mission. Face à un malabar peu coopératif, les bonnes paroles sont souvent un peu courtes. Ce n'est pas un hasard si les deux héros des défilés qui encombrent nos rues ces temps-ci avaient choisi la force pour échapper au contrôle dont ils faisaient l'objet. Au vu de leurs casiers judiciaires, il n'est guère surprenant qu'ils n'aient eu que peu d'égard pour les représentants de la loi, cette loi dont ils ne tenaient aucun compte.
Le résultat ne se fera pas attendre. Il suffira à la police de laisser courir pour éviter les ennuis. Le meilleur policier sera celui qui n'aura jamais eu à rédiger un rapport au sujet d'une interpellation sportive. C'est le même principe qu'avec les impôts, plus tu bosses, plus tu es puni. Ayant eu l'honneur de porter l'insigne durant un certain temps, je confesse avoir une grande admiration pour mes anciens collègues qui, contre vents et marrées, continuent de faire leur boulot. Merci à elles, merci à eux !
Yvan Perrin, 23.06.2020
Bon, n’oublions pas que ce ne sont pas tous des anges non plus ! Certains profitent de leur autorité pour tout simplement tabasser ! J’en ai fait l’expérience, dans mon immeuble, en attendant les ambulanciers ! J’avais le téléphone dans mes mains, puisque je venais de téléphoner, ils m’ont plaqué au sol, blessé à la rente, menacé de m’amener au post sous prétexte que je n0avais pas ma pièce d’identité ! Evidemment, je venais de sortir de mon appartement. Au final, une amende, contesté, une lettre au médiateur de la police, entre autres, ce qui m’a valu une plainte pour diffamation ! Oui, à cause de ma lettre au médiateur . Alors franchement, on est loin de la démocratie modele cher Monsieur.
Logique, la police laissera courir de plus en plus et n’arrêtera plus que les petits vieux (blancs) traversant à côté des clous…. et nos chances se sentiront de plus en plus intouchables… et tôt ou tard, inévitablement, commenceront à s’attaquer aux beaux quartiers dans lesquels résident les bisounours… et là ça commencera à percuter !
Dommage, surtout pour les jeunes Européens, mais nous allons tout droit vers cette société “Orange mécanique”…. et tout récemment, les Français et les Allemands ont eu un petit échantillon de cette société mafieuse, faite de guerres tribales, soumise à la charia et sous la loi du plus fort.
Les bisounours ramollis et le genou à terre n’étant certainement pas des as du combat de rue, le scénario catastrophe pour eux serait que plus personne ne s’engage dans les forces de police et que ceux qui en font partie démissionnent massivement… alors là la lumière s’allumerait à tous les étages… peut-être un peu tard !
Comme individu blanc, en tant qu’indigène européen, aujourd’hui, le problème en faisant appel à la police, c’est de se voir confronté à des fonctionnaires qui se déchargeront sur vous de leurs frustrations à ne pas pouvoir intervenir contre l’allogénat. Sans oublier, évidemment, les policiers réellement convaincus des “avancées” sociétales récentes.
Des grenades contre les blancs, des bonbons pour les “tout autres”:
https://twitter.com/LindaKebbab/status/1274001896357986305?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1274001896357986305&ref_url=https%3A%2F%2Fdemocratieparticipative.me%2Fpour-prouver-leur-soumission-aux-negres-les-flics-antifas-distribuent-des-bonbons-aux-boucaques%2F