«Des catins blanches avides de sexe»: les fantasmes médiévaux de l’islam sévissent aujourd’hui en Europe

Par Raymond Ibrahim

S’exprimant sous le pseudonyme d’«Ella», une femme britannique a récemment révélé que ses violeurs musulmans la traitaient de «p*te blanche et de sa**pe blanche», pendant les plus de cent fois où elle a été violée dans sa jeunesse par des hommes d’un réseau de prédateurs sexuels principalement pakistanais.

«Nous devons comprendre la criminalité aggravée par des motifs raciaux et religieux si nous voulons la prévenir et protéger les gens et si nous voulons la poursuivre correctement», a-t-elle déclaré lors de sa récente interview.  «La prévention, la protection et les poursuites judiciaires – tout cela est rendu plus difficile parce que nous négligeons de traiter les aspects religieux et racistes des crimes commis par les réseaux de prédateurs sexuels... Cela leur envoie le message qu’il est correct de haïr les Blancs.»

On ne saurait trop souligner le fait qu’il y a des aspects «raciaux» et «religieux» à l’épidémie de viols de femmes d’Europe occidentale par des musulmans. Autrement dit, les hommes d’une certaine religion ont tendance à fantasmer que les femmes d’une certaine race sont des nymphomanes masochistes qui sont partantes pour être humiliées et abusées. Revenons sur quelques exemples antérieurs:

• Une autre jeune fille britannique a été «passée comme un morceau de viande» entre des hommes musulmans qui l’ont maltraitée et violée quand elle avait entre 12 et 14 ans. Aujourd’hui adulte, elle a témoigné devant un tribunal qu’elle avait été «violée sur un matelas dégoûtant au-dessus d’un kebab et forcée à des actes sexuels [oraux] dans un cimetière» et que l’un de ses agresseurs avait ensuite «uriné sur elle pour l’humilier».
• Une autre femme britannique a été victime d’un trafic vers le Maroc, où elle a été prostituée et violée à plusieurs reprises par des dizaines d’hommes musulmans. Ils «me faisaient croire que je n’étais rien de plus qu’une salope, une pute blanche», se souvient-elle. «Ils me traitaient comme une pestiférée, sauf quand ils voulaient du sexe. J’étais moins qu’humaine pour eux, j’étais un déchet.»
• Un homme musulman a expliqué à une autre femme britannique pourquoi il la violait: «Vous, les femmes blanches, vous êtes douées pour ça.»
• Un homme musulman a traité une jeune fille vierge de 13 ans de «petite scorie blanche» – employant une expression d’argot britannique signifiant «femme libre, de mœurs légères» – avant de la violer.
• En Allemagne, un groupe de «réfugiés» musulmans a suivi une femme de 25 ans, lui lançant des insultes «sales» et s’amusant à lui réclamer des relations sexuelles. Eux aussi ont expliqué leur logique: «les Allemandes ne sont là que pour le sexe» - avant de mettre les mains sous son chemisier et de la peloter.
• Un autre homme musulman qui a failli tuer sa victime allemande de 25 ans en la violant – en criant «Inch Allah!» – lui a demandé ensuite si elle avait aimé ça.
• En Australie, un chauffeur de taxi musulman a tripoté et insulté ses passagères, en disant notamment: «Toutes les Australiennes sont des salopes et méritent d’être violées
• En Autriche, un «homme d’apparence arabe» s’est approché d’une femme de 27 ans à un arrêt de bus, a baissé son pantalon, et «tout ce qu’il a pu dire, c’est sexe, sexe, sexe», ce qui a poussé la femme à crier et à s’enfuir.

Même Taj Hargey, un imam britannique, confirme que la majorité des «imams britanniques font la promotion des réseaux de prédateurs sexuels». Selon lui, on enseigne aux hommes musulmans que les femmes sont «des citoyennes de seconde zone, à peine plus que des biens meubles ou immeubles sur lesquels ils ont une autorité absolue» et que les imams prêchent une doctrine «qui dénigre toutes les femmes, mais traite les Blanches avec un mépris particulier».

Ce comportement musulman envers les femmes européennes ne devrait pas être une surprise pour ceux qui connaissent l’Histoire, puisqu’il remonte au fondateur même de l’islam. En effet, pour encourager ses hommes à envahir le territoire byzantin – où vivaient les plus proches voisins européens des Arabes – le prophète Mahomet les a attirés par la possibilité d’asservir sexuellement les femmes «jaunes» (c.-à-d. blondes). Il est «impossible de séparer l’islam de la traite des esclaves pratiquée par les Vikings», écrit M. A. Khan, un ancien musulman, à propos des siècles suivants, «car l’offre était incontestablement destinée à répondre à la demande incessante du monde musulman pour les esclaves blancs très recherchés» et pour les «esclaves sexuelles blanches».

De plus, si les violeurs musulmans d’aujourd’hui considèrent les femmes occidentales comme des «morceaux de viande», «rien de plus que des salopes» et des «putes blanches», les premières sommités de l’islam ont toujours décrit les femmes européennes de cette même façon, à commencer par celles qui leur étaient les plus proches, celles de Byzance. Ainsi, pour Abu Uthman al-Jahiz (né en 776), un érudit prolifique de la cour, les femmes de Constantinople étaient «les femmes les plus éhontées du monde entier ... elles trouvent le sexe plus agréable» et «sont enclines à l’adultère». Abd al-Jabbar (né en 935), autre érudit éminent, a affirmé que «l’adultère est courant dans les villes et les marchés de Byzance» – à tel point que même «les religieuses des couvents en sortent pour se rendre dans les forteresses et s’offrir aux moines».

Plusieurs siècles plus tard, dans un long passage qui frise la pornographie, Muhammad bin Hamed al-Isfahani (né en 1125), célèbre érudit et poète persan, explique comment il a vu un jour arriver par mer un navire contenant «trois cents belles femmes franques, pleines de jeunesse et de beauté». Ici s’arrête l’éloge et commence le fantasme:

Elles rayonnaient d’ardeur pour les rapports charnels. Elles étaient toutes des prostituées licencieuses, orgueilleuses et méprisantes, qui prenaient et donnaient, souillées et pécheresses... faisant l’amour et se vendant pour de l’or... avec des voix nasales et des cuisses charnues, des yeux bleus et des yeux gris… Elles consacraient comme une sainte offrande ce qu’elles gardaient entre leurs cuisses… Elles soutenaient qu’elles ne pouvaient pas se rendre acceptables à Dieu par un meilleur sacrifice que celui-ci. … Elles se firent des cibles pour les flèches des hommes.

Après la conquête de Jérusalem par Saladin sur les Francs en 1187, ce même Muhammad bin Hamed, qui était présent et avait 62 ans, se lança dans un autre «poème» sadomasochiste exaltant l’avilissement sexuel des femmes et des enfants européens – dont environ huit mille avaient été réduits en esclavage:

Combien de femmes bien gardées ont été profanées […], et de vierges déshonorées […], et les hommes assoiffés en furent rassasiés […]!

Bref, non seulement les hommes musulmans ont toujours eu un «penchant» pour les femmes européennes, mais en plus ils ont toujours justifié cette convoitise en présentant leurs victimes comme des nymphomanes dévergondées, désireuses d’être avilies sexuellement.

En conséquence, «Ella» – cette femme britannique qui, comme beaucoup d’autres, a été violée à de multiples reprises en étant traitée de «p*te blanche et de sa**pe blanche» qui «le veut bien» – a largement raison de souligner que cette épidémie en cours va se poursuivre «parce que nous négligeons de traiter les aspects religieux et racistes des crimes commis par les réseaux de prédateurs sexuels».

Raymond Ibrahim

Source: https://www.raymondibrahim.com/2020/05/26/white-harlots-eager-for-sex-islams-medieval-fantasies-come-to-europe/

Traduction libre Cenator

Les références des citations historiques se trouvent dans le livre de l’auteur (en anglais), L’épée et le cimeterre: Quatorze siècles de guerre entre l’Islam et l’Occident.

Raymond Ibrahim est un Américain d’origine copte, spécialiste du Proche-Orient et de l’islam.

2 commentaires

  1. Posté par aldo le

    L’ISLAM EST UNE RELIGIOSITE SATANISTE DONC CRIMINELLE DANS SES OBJECTIFS. Exemples ici mentionné: traite humaine de femmes et d’enfants, ce qui donne aux lois scélérates contre l’homophobie toute leurs qualités essentielles de cache-sexe de la pédophilie et leur existence même attribuable aux politicard lèche-babouches, adeptes convaincus par les effets de la corruption, une qualité satanique essentielle pour pénétrer les sociétés occidentales.

    Dans son contenu l’islam s’est modifié au fil des expérimentations faites au contact des chrétiens en essayant de singer le christianisme pour pouvoir mieux leurrer les idiots utiles qui foisonnent parce que cultivés hors sol depuis au moins 50 ans chez les socialo-écolo-islamo-bolchévo-fascistes et dont le vide intérieur en fait des robots prêts s’adapter à l’islam.

    Exemple plus qu’intéressant que cette émission: https://www.franceinter.fr/emissions/le-nouveau-rendez-vous/le-nouveau-rendez-vous-09-mars-2020

    C’est donc une de ces singeries musulmane qui espérons-le ne s’est pas trop perpétuée (effet censure?), suite à un CRIME CONTRE UNE CHRÉTIENNE PUISQUE SON PRENOM EST LOUISA, SOUS PRÉTEXTE D’EXORCISME pour mieux crédibiliser qu’ils ne sont pas satanistes. (Prénom très musulman… s’agit-il d’une pauvresse chrétienne données à des islamistes sous prétexte d’adoption pour fonctionner comme esclave et être finalement tuée comme du bétail, ce qui s’est déjà vu ?) Naturellement il ne faut pas croire que cette émission est innocente de tout propagande islamiste. Mais elle néanmoins le mérite d’exposer comment LES SATANISTES PRÉTENDENT COMBATTRE SATAN, ALORS QU’ILS LE REPRÉSENTENT EN TOUTES CIRCONSTANCES. Exactement les mêmes techniques usées par les crypto-communistes qui attribuent immédiatement leurs tares à leur ennemis pour qu’on rejette par automatisme béat l’hypothèse que ce sont eux les satanistes. Rappelons-nous l’exemplarité en l’espèce d’un représentant des FRERES MUSULMANS, TARIQ RAMADAN, QUI AURAIT PU ÊTRE CITÉ DANS CETTE ANALYSE.

  2. Posté par Stefen le

    Effectivement, ça ne date pas d’hier. En suisse, vers la fin des années 80, quand ont débarqué les premiers réfugiés d’ex Yougoslavie, ça a été la douche froide pour nos jeunes filles et femmes.
    En résumé, elles ont vite appris à regarder leurs godasses dans la rue, ne surtout pas croiser un regard, ne pas se promener seule, changer de trottoir quand les nouveaux arrivants y étaient, éviter les piscines, repérer les lieux publics pour s’y réfugier quand elles étaient suivies et harcelées, etc.
    Quand enfin quelques uns ont réussi à aligner deux mots de français, elles leur ont posé la question s’ils se comportaient comme ça avec les femmes dans leur pays. Réponse: non. La femme occidentale est une pute, une traînée pour eux. Il n’y a qu’à se servir. Et ils ne comprenaient pas pourquoi ils se prenaient des râteaux.
    Deux mondes incompatibles qui n’auraient jamais dû se rencontrer.

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