Quinze millions pour les oubliés du filet social
Le Canton veut créer des aides destinées aux travailleurs qui n’ont pas bénéficié des aides fédérales. Il travaillera avec les syndicats et les associations.
«Nous avons tous été choqués et émus par les longues files de personnes attendant pour un colis de nourriture», a témoigné lundi lors du point presse du gouvernement le conseiller d’Etat Thierry Apothéloz, chargé de la Cohésion sociale. Face à la détresse de ces personnes, le Conseil d’Etat genevois a annoncé le dépôt d’un projet de loi afin de créer une indemnisation pour perte de revenus. «Il s’agit d’une mesure d’urgence sous la forme d’une indemnité financière unique couvrant la période de mi-mars à mi-mai», a précisé l’élu.
Cette aide est destinée aux travailleurs qui n’ont pu bénéficier du soutien mis en oeuvre par la Confédération. Il peut s’agir de personnes qui n’ont pas assez cotisé à l’assurance-chômage, d’intermittents ou d’employés de l’économie domestique. Selon les calculs du Canton, quelque 3000 personnes pourraient être concernées. Il s’agira de leur octroyer une indemnité sur deux mois qui compensera 80% du salaire perdu. Le département estime que la somme médiane avoisinera les 2800 fr. et a fixé un plafond à 5880 fr. par mois. Un crédit de 15 millions de francs sera demandé au Parlement.
Pour bénéficier de ces mesures, les postulants devront faire une demande d’ici fin juin qui sera étudiée. Il leur faudra également habiter à Genève depuis minimum une année, avoir une activité lucrative depuis au moins trois mois et subir une perte de salaire. L’aide sera octroyée quel que soit le statut légal, le statut professionnel ou le type d’activité lucrative. «Nous sommes bien conscients que selon les situations, il sera difficile de produire toutes les pièces demandées. Il faudra démontrer de manière plausible le montant de la demande», a souligné Thierry Apothéloz. Les requérants pourront se faire conseiller par les associations et syndicats partenaires afin de monter un dossier.
Ce projet de loi sera présenté au Grand Conseil pour discussion immédiate. Pour parer au plus pressé, le Conseil d’Etat sollicitera la commission des finances pour un crédit supplémentaire. Mais Thierry Apothéloz ne compte pas en rester là, puisqu’il a mandaté le professeur Jean-Michel Bonvin afin d’analyser plus en profondeur la situation des personnes démunies.
source: https://www.20min.ch/fr/story/quinze-millions-pour-les-oublies-du-filet-social-871793623087
Et dire qu’en 2050 selon les bobos-socialos-écolos-islamos-djhiadistes,cette petite suisse atteindra le chiffre de 10 millions environ d’habitants dont 3/4 de faux réfugiés,violeurs,criminels,menteurs,va falloir arrêter pour les quelques suisses,de vouloir avoir des enfants qui PAIERONS LA FACTURE DE CE DESASTRE.Faut pas croire qu’ils vont travailler et respecter les lois,comme les suisses de souches CONS comme ils le sont et moi-même dans le tas.Les MILLIARDS ( la sueur des Travailleurs ) sont pour les AUTRES ( mafia,dictateurs,criminels,corrompus,sotrosse,nos idiots utiles de la bienpensance.Je ne ferais HEUREUSEMENT PLUS PARTIE DE CETTE HUMANITE DECADENTE.Un billet aller seulement !
Un vibrant appel pour tous ceux qui veulent rejoindre la Suisse. Magnifique ! A vouloir soutenir tous ces migrants, la hausse des impôts c’est pour quand ?
5880 fr. par mois pour des clandestins ! Ça fait plaisir de payer des impôts et de respecter la loi. Autant pour la pédagogie, la loi, c’est pour les ringards.
Du fric pour Swiss, qui est Luftansa, quelle honte !
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