Même si tous ces jeunes (titulaires d’un brevet d’apprentissage, sauf un, sans diplôme) de la région de Thonon, dont trois déjà condamnés pour violences, admettent leur présence sur les lieux, «aucun ne reconnaît avoir porté des coups», résume la présidente. Ils louvoient, donc. L’un dit ne se souvenir de rien à cause de l’alcool, mais jure: ce ne peut être lui, car il ne frappe pas les femmes. Un autre se dépeint anesthésié par le cannabis: «J’ai rien vu, j’ai pas fait attention, j’étais ailleurs.» Un seul sort du lot. Lui non plus n’a rien fait, martèle-t-il, mais il balance les autres: «Je leur ai dit qu’il fallait assumer» ce que des témoins ont décrit comme «une scène de guerre» et «une scène de torture».
Les multiples témoignages, relatés par la présidente, constituent la limite de ces stratégies d’évitement. Un grand nombre de badauds décrivent une scène aux contours et aux protagonistes identiques. La confusion de la scène est certes génératrice de menues variations, rendant difficile d’affirmer avec certitude qui a fait quoi exactement. Mais le fond demeure. «Pour moi c’était une tentative de meurtre. Ils voulaient tuer les filles», a décrit un témoin. «Je n’avais jamais rien vu d’aussi violent de ma vie», a évalué une autre.
Deux récidivistes risquent 20 ans
[...]
Article symbolique de la presse en Romandie : aucun nom, aucun prénom, aucune origine alors que l'on sait qu'il s'agit d'individus non européens. Les coups de pied de type «penalty» assénés dans la tête est caractéristique à certaines migrations, tout comme les vols "à la Zizou" le sont également.
Quel sort réserverait cette même presse aux accusés s'il s'agissait de Suisses?
Rappel :
*sont caractéristiques
Coquille
Pour un c’est l’alcool, pour l’autre c’est le cannabis pour le troisième c’est sa mémoire qui flanche … A mon avis, ce sont des racailles importées tout droit de l’Afrique du Nord et ils détestent les femmes !
Vu la ”qualité” des informations contenues dans le ”2Minutes” (2 minutes suffisent à lire ce torchon)
”Car justement, même si tous ces ”jeunes” (titulaires d’un brevet d’apprentissage, sauf un, sans diplôme) de la région de Thonon, dont trois déjà condamnés pour violences, admettent leur présence sur les lieux …”
Le terme ”jeunes” est compris péjorativement; mais on sait d’avance qui ils sont en réalité !!
Finalement, c’est la presse qui est raciste avec le politiquement correct ad nauseum.
La presse change le prénom des auteurs en les européanisant, cache les origines, minimise les faits, infantilise les protagonistes (gredins, chenapans), utilise la novololangue pour masquer les agressions à caractère raciste (blessure à la gorge, agression gratuite), etc.