2 commentaires

1. La connerie menace la bio diversité surtout . L’Homme n’est pas le propriétaire de la nature, il n’en est que le locataire , a lui de prendre les mesures pour protéger sont troupeau , chien plus présence humaine. Si ce n’est pas possible pour l’homme , le troupeau doit être rassembler , enfermer dans une grange. On accuse toujours le loup , le renard d’être responsable mais rien sur le chien errant qui est certainement le responsable de beaucoup d’attaques, ne parlons pas de certains éleveurs malhonnête qui voyant qu’ils gagne plus avec les indemnisations font ce qu’il faut pour faire croire a l’attaque des loups, surtout en montagne ou l’affolement du troupeau les précipite vers le vide et la mort, quand aux mutilation , un chien dresser a cette effet peux faire penser a une attaque de loup sur le cadavre des bêtes .

2. Il y a cette soudaine “lubie” d’introduire plus de loups partout. Bien que cet animal soit remarquable, admirable, il ne peut exister que dans des espaces immenses. Le Canada ou le Quebec, par l’immensité de leurs forêts peuvent se permettre le luxe d’accueillir plus de loups.
   Le Yellowstone est un territoire qui peut et doit en accueillir. Car trop de bêtes herbivores empêchent les arbres de pousser (elles aiment les jeunes plants).

   C’est d’une prétention considérable de vouloir INTEGRER tant de bêtes sauvages sur un espace limité comme la FRANCE. C’est méconnaître les besoins en espace de ces animaux.
   Le loup est un nomade. Sauf dans les périodes de reproduction bien sûr.

   Mais depuis quelques temps, il est question de reconquérir des territoires où s’exerçaient les pâturages, pour REDONNER DE L’ESPACE AU MONDE SAUVAGE. Cela ne vient pas que de nos esprits écolos.

   Cela vient aussi d’un goût , voire d’une fascination pour “LE SAUVAGE” dans l’esprit de nos plus hautes élites. Et ce projet nous concerne nous aussi les humains, étant donné que l’agenda 21 de l’ONU décide de redensifier les villes et “libérer les campagnes de notre présence” pour RE-ENSAUVAGISER CES ESPACES. Nos plus hautes élites ne font pas vraiment de différence entre la ” gestion ” du monde sauvage et celui des humains.

   Quand on lit l’article et qu’on apprend que le nombre de loups ne cesse de croître, on sait que ce sera la fin des pâturages dans les Alpages mais aussi une diminution considérable des chamois et autres espèces sauvages des montagnes. Il semble qu’on se soit aperçu du problème avec les sangliers depuis quelques années sauf qu’ils ne sont pas carnivores. Nous y serons confrontés avec les loups.
   Mais nos élites, tout en séduisant nos écolos, avancent dans leur programme de ré-ensauvagisation des espaces.