20 avril 2020 - par Julien Martel
La découverte que nous allons analyser est rapportée notamment par le magazine Alternative Santé.
Je vous en avais parlé au début de l’article Message rassurant du Dr Besnainou : la pandémie est presque finie ! qui avait été publié le 15 avril et qui a déjà atteint les 50.000 lecteurs, ce qui n’arrive pas souvent pour les articles de Riposte Laïque, site ultra censuré par Facebook, Google, etc.
Au début de l’article, on citait le titre de l’article disant que le virus se comporte de façon très bizarre. Voir Covid-19 : la piste du microbiote, vers un nouveau paradigme ?
C’est pour ça qu’il ne fallait pas le confondre avec un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA). Le traitement des patients comme s’ils étaient atteints de SDRA explique le grand nombre de morts dû à un usage inapproprié des respirateurs. Voir Covid19 : témoignage d’un médecin urgentiste à New-York.
C’est pour cela que les antibactériens ou antibiotiques fonctionnent pour soigner le covid19 et que les traitements qui marchent sont des traitements à base d’un ou plusieurs antibiotiques comme l’azithromycine du docteur Raoult, avec un fort effet facilitateur donné par le zinc. Bizarrement, la chloroquine, la molécule la plus médiatisée, est peut-être efficace, peut-être pas. Les médias essaient-ils de nous égarer sur une fausse piste ?
- Hydroxychloroquine + Azithromicyne : Didier Raoult (France), Steven Smith (USA)
- Hydroxychloroquine + Azithromicyne + Sulfate de zinc : Zev Zelenko (USA).
- Azithromycine + Singulair + Zinc : Médecins de l’Est, Philippe de Joux.
- Chloroquine + Doxycycline : médecin de Long Island (USA).
- Macrolide + C3G : Sabine Palliard-Franco (France).
- Azithromycine + Effizinc + Singulair + Héparine : trois médecins généralistes (France)
Pour appuyer l’importance des antibactériens pour soigner les effets du coronavirus, voici une petite analyse réalisée par Jean Gilliani de l’article Covid-19 : la piste du microbiote, vers un nouveau paradigme ?
Covid-19 : Une découverte majeure : le virus se sert d’une bactérie pour tuer
Plusieurs équipes dans plusieurs pays (notamment en Chine, en France – à Lille – aux USA), ont fait une découverte majeure qui offre un grand espoir de traitement du Covid19.
Le virus, en effet, ne tuerait pas directement, mais par l’intermédiaire d’une bactérie intestinale qu’il infecterait, la Prevotella… et c’est cette bactérie infectée qui, devenant virulente, déclencherait l’hyper-réaction immunitaire qui délabre les poumons et tue le malade !
Ceci expliquerait :
– pourquoi le traitement du Dr. Raoult, utilisant un antibiotique (l’Azithromycine), et plus encore celui du Dr Sabine Paliard-Franco, qui préconise une double antibiothérapie, fonctionnent,
– pourquoi les enfants sont épargnés et les personnes âgées plus touchées : Provetella est quasiment absente de la flore intestinale enfantine, mais de plus en plus présente avec l’âge,
– pourquoi les obèses sont beaucoup plus touchés : leur flore intestinale déséquilibrée contient beaucoup de Prevotella !
– pourquoi les complications pulmonaires se déclenchent alors qu’on ne retrouve pratiquement plus de covid dans l’appareil respiratoire, la bactérie infectée (qu’on retrouve dans les selles, contenant de l’ARN du covid et parfois même des virus vivants) prenant le relais de son attaque initiale (bénigne), de manière beaucoup plus dramatique, en déclenchant l’hyper-réaction immunitaire inflammatoire qui noie les poumons…
– pourquoi le virus peut réapparaître chez un patient guéri (avec alternance de positivité et de négativité des tests), car la bactérie, toujours présente dans la flore intestinale, en reste l’hôte et peut le relarguer à tous moments…
Bref, cela expliquerait tout ; et cette cohérence augure de la validité de l’hypothèse.
On tient donc une confirmation de l’intérêt de l’azithromycine, comme thérapeutique curative, à prescrire dès le début de l’infection… et même une piste prometteuse pour traiter préventivement les infections graves (des coronavirus… et sans doute aussi de la grippe !), ce traitement passant par le rétablissement d’une flore intestinale saine qui neutralise Prevotella (par la prescription de « probiotiques », c’est-à-dire d’une bonne flore intestinale)…
Il est clair que cette piste thérapeutique ultra-prometteuse bon marché rendrait alors caduque l’utilisation d’un vaccin, de découverte aléatoire et onéreuse… ce qui ruinerait donc encore les espoirs lucratifs de Gilead et autres labos pharmaceutiques sur les starting-blocks pour trouver un vaccin à diffuser aux 7 milliards d’habitants de la planète : la plus belle affaire du siècle.
Il est probable aussi que les médias aux ordres, qui avaient lynché Raoult, parce qu’il laissait entrevoir cette piste thérapeutique bon marché, qui concurrençait leurs antiviraux dont ils attendaient de gros retours financiers, nous taisent cette découverte majeure, et qu’en revanche ils nous serinent maintenant, à temps et à contretemps, que leur vaccin (qui est loin d’être au point et qu’il faudra refaire chaque année, comme celui de la grippe) est la « seule solution » ! »
Source : Alternative Santé.
Julien Martel
l’hydroxychloroquine à elle toute seule fonctionne en prévention (avant l’attaque du virus) et/ou lorsque la charge virale est encore très basse.
après l’ajout d’un antibiotique macrolide permet de s’attaquer aux bactéries du genre Prevotella.
Donc Raoult à tout bon !
Lorsque la maladie est déclarée on traite autre chose
Il faut regarder les vidéos de madame Irène Grosjean qui parle de plein de chose et entre autre de la qualité de notre tube digestif et préconise par conséquent une alimentation plus adaptée à notre corps et l’avantage de se purger avec par exemple de l’huile de ricin. En effet tout se retrouve!
MERCI à vous tous pour une information diffusée “à la vitesse de la lumière”. Sublime cette nouvelle.
En tout cas félicitations à tous les médecins qui ont eu l’intuition et la compétence de prescrire les antibiotiques et ont donc sauvé des vies alors que nos gouvernants s’acharnaient à nous laisser dans le désarroi.
En Hollande, pays où je vis partiellement, dans mon entourage, une vieille dame de 93 ans a été sauvée en trois jours grâce à la prescription d’antibiotiques. Sinon, elle aurait fini en réanimation.
Des questions restent en suspens. Sur quoi repose cette aptitude du virus à pénétrer une bactérie lui servant de camouflage? Est-ce le seul virus à avoir cette aptitude? Car on se demande ALORS pourquoi les médecins nous donnaient toujours des antibiotiques lorsque nos grippes duraient et devenaient dangereuses. Est-ce que ce phénomène se serait donc déjà produit?
Et bien sûr après avoir pris les antibiotiques, on guérissait…de la très mauvaise grippe.
Mais en tout cas, ce virus a peut-être des compétences QUI DEPASSENT probablement celles de nos bons anciens virus grippaux. SE PENCHER SUR LES COMPETENCES DE CE VIRUS SERA ESSENTIEL POUR L’HUMANITE.
Et nous sommes nombreux à avoir dans le passé, remarqué des symptômes grippaux anormaux, comme le mal aux poumons, alors que nous avions été vaccinés. Est-ce que ce fameux virus moins “éduqué” sévissait déjà dans l’ombre?
Un ami médecin nous a disait souvent de ne pas oublier de prendre soin de notre microbiote intestinal.
Alors aujourd’hui, garder le microbiote en équilibre permettrait peut-être de ne pas favoriser ” la duplication à l’infini des méchants virus”. De toute façon, on nous dit et on nous répète que ce sera la médecine de demain.
ARTE avait produit une émission remarquable sur le sujet : “le microbiote intestinal”.