Emeutes d’Anderlecht : Bruxelles sombre dans la barbarie

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A en croire Fabrice Cumps, le maire d’Anderlecht, cette commune de Bruxelles abandonnée à l’immigration et fief – avec la tristement célèbre Molenbeek – du parti Islam, la situation était dimanche… « clairement sous contrôle ». Une affirmation un peu rapide pour de nombreux responsables de la sécurité belge qui, après un week-end d’émeutes au cours duquel on a assisté à de véritables scènes de guerre contre la police, se sont vus contraints de mettre en place un « dispositif d’intervention renforcé » et ont dû faire appel à la police fédérale pour éviter d’être totalement débordés par les bandes ethniques.

Appels à « casser du flic » sur les réseaux sociaux

A l’origine de cette énième flambée de violences, le prétexte, devenu désormais banal, du contrôle de police qui dégénère. Ainsi, vendredi dernier, alors qu’une patrouille de police venait de lui demander à plusieurs reprises de s’arrêter, Adil, un « jeune » de 19 ans qui conduisait à vive allure un scooter à hauteur du quai de l’Industrie à Anderlecht, a pris la fuite à la vue des policiers qui se sont alors lancés à sa poursuite. Or, dans sa course, le fuyard est entré en collision avec une deuxième voiture de police et a été tué lors du choc. Une mort accidentelle donc, mais qui a bien sûr immédiatement servi de prétexte aux bandes ethniques. C’est ainsi que, dès la nouvelle connue, et malgré le confinement actuellement imposé par le gouvernement belge à ses citoyens, les appels à se rassembler pour « venger Adil » et « casser du flic » se sont multipliés sur les réseaux sociaux, entraînant dès vendredi soir de graves heurts à Anderlecht. Une quarantaine de « jeunes », à peine arrivés sur les lieux, ont ainsi immédiatement caillassé les policiers et incendié une de leurs voitures, avant de mettre le feu à plusieurs autres véhicules.

Une arme de service volée et des coups de feu tirés

Samedi, de nombreux « jeunes » ayant répondu aux appels à manifester en plein confinement, les émeutes devaient reprendre avec encore plus de violence dans le quartier autour de la place Clémenceau, obligeant les unités anti-émeutes belges à recourir au canon à eau. Venues avec l’intention évidente de tuer, les bandes de voyous ethniques ont à nouveau caillassé les forces de l’ordre, incendié un véhicule de la police, détruit entièrement les vitres d’un commissariat, et, plus grave encore, volé dans l’un des véhicules de police pris d’assaut une arme de service avec laquelle ils ont ouvert le feu. Comme l’a en effet raconté Patrick Evenepoel, le chef de corps de la zone de police Bruxelles-Midi, « à un moment donné, l’un de nos véhicules a été encerclé. Le chauffeur était seul à bord, parce que les gens qui occupaient le véhicule étaient sur le terrain. Il a été encerclé à une vitesse incroyable. […] Avec une violence inouïe. » Pour sauver sa propre vie, le policier a dû quitter le véhicule, mais son arme de service était à bord. Une scène filmée par un témoin, et diffusée en boucle depuis sur Internet, sur laquelle on aperçoit effectivement un « jeune » s’emparer de l’arme à feu dans le véhicule, tirer à plusieurs reprises et prendre la fuite… Malgré le déploiement en urgence de nombreux renforts sur place, les affrontements se sont poursuivis dans la nuit de samedi à dimanche. Une situation tellement grave qu’Adeline Roty, porte-parole de la zone de police Bruxelles-Midi, a admis que les autorités avaient été contraintes de mettre en place un « dispositif d’intervention renforcé » et de faire appel à la police fédérale ainsi qu’aux autres zones de police de Bruxelles pour obtenir un « appui supplémentaire », et éviter ainsi d’être débordées par ces émeutes qui ont fait plusieurs blessés dans les rangs des forces de l’ordre dont au moins deux graves, et ont donné lieu à l’interpellation samedi d’une soixantaine de voyous ethniques, pour la plupart mineurs, pour port d’arme prohibé et incendie volontaire. •

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3 commentaires

  1. Posté par Sertorius le

    ‘Pour sauver sa propre vie, le policier a dû quitter le véhicule, mais son arme de service était à bord.’

    On abandone jamais son arme de service. Pour sauver sa vie, le policier aurait du l’utiliser et neutraliser la menace imminente.

  2. Posté par Marc le

    Ses Villes ou quartiers Européens prônés comme des villes cosmopolites avant-gardistes par la gauche sont pas plus que des nids à problèmes ou la violence est quotidienne, les autochtones partent les uns après les autres pour éviter de se faire emmerder par les nouveaux arrivants ou se faire traiter de raciste. C’est tellement irrationnel que je me demande si la population est instruite et intelligente ou si l’on ne vit pas avec des singes incapable de penser autrement qu’avec leurs téléviseur.

  3. Posté par poulbot le

    Quelques soit le pays en Europe c’est toujours le même problème avec ces gens la , ils veulent ne respecter aucunes loi en prétextant que seul les lois de leur religions sont valable. La seul solution est retour au pays des ancêtres direct.

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