Le gouvernement américain a recommandé vendredi à sa population de se recouvrir le visage dans la rue pour ralentir la propagation du coronavirus, alors qu’avec un nouveau triste record du nombre de décès en 24h, les États-Unis sont en train de devenir le nouveau centre mondial de la pandémie.
Après 1 480 morts en une journée, bilan quotidien le plus élevé jamais enregistré dans un seul pays, les Américains se préparent au pire et bâtissent des hôpitaux de campagne de Los Angeles à Miami ou New York, avec des milliers de lits supplémentaires de réanimation.
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Le Dr Sucharit Bhakdi est un spécialiste en microbiologie. Il a été professeur à l’université Johannes Gutenberg de Mayence et directeur de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène. Il est l’un des chercheurs les plus cités de l’histoire allemande.
Voici ce qu’il dit :
« Nous craignons qu’un million d’infections par le nouveau virus n’entraînent 30 décès par jour au cours des 100 prochains jours. Mais nous ne réalisons pas que 20, 30, 40 ou 100 patients positifs pour des coronavirus normaux meurent déjà chaque jour.
[Les mesures anti-COVID19 du gouvernement] sont grotesques, absurdes et très dangereuses […] L’espérance de vie de millions de personnes est réduite. L’effroyable impact sur l’économie mondiale menace l’existence d’innombrables personnes. Les conséquences sur les soins médicaux sont profondes. Déjà, les services aux patients dans le besoin sont réduits, les opérations annulées, les cabinets vides, le personnel hospitalier réduit. Tout cela aura un impact profond sur l’ensemble de notre société.
Toutes ces mesures conduisent à l’autodestruction et au suicide collectif basé sur rien d’autre qu’un fantôme. »
Le Dr Wolfgang Wodarg est un médecin allemand spécialisé en pneumologie, homme politique et ancien président de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. En 2009, il a demandé une enquête sur les conflits d’intérêts présumés entourant la réponse de l’UE à la pandémie de grippe porcine. Voici ce qu’il dit :
« Les politiciens sont courtisés par les scientifiques… des scientifiques qui veulent être importants pour obtenir de l’argent pour leurs institutions. Des scientifiques qui nagent dans le sens du courant dominant et qui veulent leur part du gâteau […] Ce qui manque actuellement, c’est une façon rationnelle de voir les choses. Nous devrions poser des questions telles que : “Comment avez-vous découvert que ce virus était dangereux ?”, “Comment était-il avant ?”, “N’avons-nous pas eu la même chose l’année dernière ?”, “Est-ce même quelque chose de nouveau ?” C’est cela qui fait défaut. »
Le Dr Pietro Vernazza est un médecin suisse spécialisé dans les maladies infectieuses à l’hôpital cantonal de Saint-Gall et professeur de politique de santé. Voici ce qu’il dit :
« Nous disposons de chiffres fiables en provenance d’Italie et d’un travail d’épidémiologistes qui a été publié dans la célèbre revue scientifique “Science”, qui a examiné la propagation en Chine. Il en ressort clairement qu’environ 85 % de toutes les infections se sont produites sans que personne ne s’en aperçoive. 90 % des patients décédés ont plus de 70 ans, et 50 % plus de 80 ans.
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En Italie, une personne diagnostiquée sur dix meurt, selon les conclusions de la revue Science, soit statistiquement une personne infectée sur mille. Chaque cas individuel est tragique, mais souvent – comme pour la saison de la grippe – il touche des personnes qui sont en fin de vie.
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Si nous fermons les écoles, nous éviterons que les enfants ne soient rapidement immunisés.
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Nous devrions mieux intégrer les faits scientifiques dans les décisions politiques. »
Je peux vous trouver d’autres experts qui vont dans le même sens.
NE SERAIT-IL PAS TEMPS DE STOPPER CETTE HYSTÉRIE ?
ARRÊTONS DE FAIRE LE JEU DES MARIONNETTISTES !
Il a quand-même quelque chose d’extraordinaire ce virus. IL A DES AILES.
Quand on regarde les statistiques, on s’aperçoit que des territoires qui ne sont pas si fréquentés que ça, on un pourcentage de contaminés supérieur à celui de certaines métropoles : https://google.com/covid19-map/?hl=fr
Faire monter ou descendre pour avoir l’ensemble des pays du monde.
Observons bien la situation et posons nous la question de cette foudroyante présence et contamination dans des petits territoires du bout du monde.
On parle de contamination mais peut-être qu’un jour on parlera d’une étrange dissémination.