Le secrétaire d’État à l’Intérieur, Laurent Nuñez, est accusé d’avoir incité des préfets à ne pas faire preuve de trop de zèle dans les cités chaudes.
Y a-t-il des consignes en haut lieu pour éviter d’appliquer à certains quartiers sensibles toutes les rigueurs du confinement, par peur d’un embrasement généralisé des banlieues, comme en 2005 ? Depuis le début de l’isolement imposé aux Français, les forces de l’ordre vont partout où on les réclame. C’est tellement vrai qu’elles ont déjà vécu maints accrochages en quinze jours, de Saint-Denis à Toulouse, en passant par Nogent-sur-Oise, Cannes ou Villiers-sur-Marne. Il y a, de toute évidence, des « poches de résistance ». Mais l’intensité des violences subies au plan national est sans commune mesure avec la centaine d’agressions contre les dépositaires de l’autorité constatées chaque jour avant le coronavirus.
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via Fdesouche
Etat catastrophique de nos democraties europeennes , totalement criblees de territoires hautement criminels , cela grace a des malades mentaux des differents gouvernements qui ont choisi le vivre-ensemble digne des contes des mille et une nuits pour enfants attardes , et preferant faire partie des grands collaborateurs de la criminalite de la jungle et du desert !Il va falloir payer l adition et cher ! Comptez sur moi !
Nous sommes aux portes d’une guerre civile. Il ne manquait qu’un détonateur. Le voici.
Ça va commencer, si confinement durable, par le pillage de commerces proches de ou dans ces belles cités fleuries de cette merveilleuse diversité, à coup de AK47, pourquoi pas.
Ensuite, lorsqu’ils seront tous vérolés à cause de leur mépris de toute autorité et institution, nous les verrons débarquer, menaçants et armés, en force dans les hôpitaux