Journalistes et parlementaires irresponsables, la récréation est terminée… le coronavirus est arrivé !

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Au cours de l’existence humaine, certains épisodes changent radicalement la donne.

Un couple insouciant tenant des propos grandiloquents sur l’éducation, l’école, la famille, la société, le capitalisme, etc., se voit brusquement ramené sur terre lors de la venue de son premier enfant.

Il en va de même avec l’arrivée du coronavirus : il y aura bien UN AVANT et UN APRÈS.
En effet, une fois la votation NO BILLAG « dans la poche », les journalistes de la RTS se sont empressés d’oublier leurs déclamations concernant la cohésion nationale, le patriotisme, etc. Et ces journalistes ont poursuivi leur combat sans relâche pour diaboliser l’UDC, ridiculiser les Patriotes et faire des courbettes à l’UE qui, selon eux, représente le PROGRÈS, l’OUVERTURE et l’AVENIR incontournable de tous les pays de l’Europe occidentale.

Et voilà que le coronavirus arrive et détruit ce « château de cartes ». En fait, le seul « château » qui tienne, et dont les citoyens attendent quelque chose, c’est leur bon vieux pays, l’État-nation tant décrié par les prétendues élites progressistes, mondialistes et multiculturelles.

En temps de crise, la « multi-culturalité » est un danger, un risque mortel de « guerre civile ». Les nombreuses personnes de culture musulmane, détenant ou non un passeport suisse, sont autant de chevaux de Troie potentiels en Suisse, car la fidélité à l’appartenance culturelle et religieuse musulmane risque toujours de primer sur la fidélité au drapeau suisse.

Encore un mot sur l’UE, cette construction intellectuelle qui ne fonctionne pas, qui n’existe pas dans le cœur, les tripes, de ses habitants. Beaucoup de ces derniers seraient prêts à donner leur vie pour la défense de leur pays mais pas un seul ne le ferait pour « L’Europe » ou « L’Union européenne ».

Margaret Thatcher nous a bien rappelé les vérités essentielles à ce sujet : « L'Europe n'est pas les États-Unis et ne peut devenir un équivalent européen des États-Unis. Elle ne dispose pas d'une langue, d'une culture, d'une histoire, et de valeurs communes.

Si les États-Unis furent le résultat d'une évolution, parfois douloureuse, l'Europe (UE) est le résultat de plans. Elle est, en fait, un projet utopique très classique, un monument à la vanité des intellectuels, un programme dont le résultat inévitable sera l'échec. Seule l'importance des dégâts finaux reste inconnue. »

Ainsi, ce que nous rappelle la tempête engendrée par le coronavirus est assez simple :

— L’État-nation reste la seule entité fiable dont les habitants attendent une protection crédible.

— Comme pour toute crise d’importance, il s’agit de réagir efficacement au plus vite pour essayer d’en contrôler l’ampleur. À ce sujet, un grand MERCI à Madame Martullo-Blocher et un blâme à Madame Isabelle Moret.

— Si des pénuries alimentaires, médicales, de soins se manifestent à cette occasion, les Suisses ne pourront plus compter sur une solidarité et une cohésion nationales comme cela allait de soi autrefois. En effet, en cas de pénurie, les personnes possédant un référentiel issu de l’islam, suisses ou non, se précipiteront en « écrasant » sans aucun égard tout kouffar se trouvant en travers de leur chemin.

— Maintenant, nos autorités, nos médias font appel continuellement à la solidarité, à la cohésion nationale alors que le patriotisme n’a jamais été mis en valeur… s’il n’a pas été vilipendé plus souvent qu’à son tour par la RTS où les employés patriotes brillent par leur absence.

— Le coronavirus pouvant entraîner la mort dans un nombre significatif de cas, le public pourrait s’attendre, à juste titre, à ce que ce sujet, et celui de l’au-delà, soient abordés de temps en temps… Mais notre époque vole au ras des pâquerettes et ce type de sujet, qui a préoccupé nos ancêtres depuis la nuit des temps, dépasse totalement le public abruti par la RTS.
Voici le genre de préoccupations qui titillait nos ancêtres (infiniment plus primitifs que nous, n’est-ce pas ?) :

— Blaise Pascal (1623 -1662) : Ou Dieu existe ou il n'existe pas. L'âme est mortelle ou immortelle. Tout ce que je sais est que je dois bientôt mourir, mais ce que j'ignore le plus est cette mort même que je ne saurais éviter. Je ne sais pas d'où je viens, ni où je vais. En sortant de ce monde je tombe pour jamais ou dans le néant ou dans les mains de Dieu.

— Pascal : Il faut savoir douter où il faut, assurer où il faut, et se soumettre où il faut. Qui ne fait ainsi n’entend pas la force de la raison.  .  .  Deux excès: exclure la raison, n'admettre que la raison.

— Bill Bonner, mardi 28 septembre 2010 :
Nous sommes assis dans un avion à l'heure où nous écrivons ces lignes -- en route pour Baltimore. Chaque siège comporte un écran de télévision. Il y a quelques années de ça, on pouvait encore échapper à la télé en montant dans un avion. Aujourd'hui, elle est juste devant votre nez... ce qui fait partie intégrante de la lente zombification de la civilisation. Il y a sans arrêt de la musique. Dans les voitures. Dans les magasins. Certains en écoutent même pendant qu'ils travaillent. C'est comme d'être en prison... ou dans un futur digne d'Orwell... où l'on diffuse du bruit 24 heures par jour, de sorte que vous n'avez jamais un moment tranquille pour penser.
Il faut compter en plus avec tous les Blackberrys, iPhones, iPads... sans parler des téléphones et ordinateurs portables.Et la télévision. Quand on entre dans un bar, en plus de la musique, il y a souvent un écran de télévision.Avec toutes ces sources de distraction, les gens n'ont pas le temps de penser.
Au lieu de ça, les gens passent leurs journées comme des zombies : ils regardent la télé... ils écoutent la musique de quelqu'un d'autre... ils surfent sur Internet... ils "tchattent"... ils se distraient...

— Jacques Garello, LIBRES, 24 mai 2010 : […] Panem et Circenses : les empereurs romains avaient déjà trouvé la formule qui rend un peuple heureux. […] Opium du peuple : c’était jadis la religion, si l’on en croyait Marx. C’est aujourd’hui n’importe quoi : le foot, le loto, les apéros géants, les raves parties, l’intifada urbaine, et autres amusements de la saine jeunesse. Mais cela peut-il durer ? […]

— George Orwell : Il se pourrait fort bien qu'on arrive à produire une nouvelle race d'hommes, dénuée de toute aspiration à la liberté, tout comme on pourrait créer une race de vaches sans cornes.

— Mes libertés politiques, par François Billot de Lochner sur TVlibertés le 18.03.2020, au sujet de l’ensauvagement dû au multiculturalisme :
En France il y a actuellement 120 agressions par jour à l’arme blanche. (Cette statistique date d’avant la pandémie). Le couteau de cuisine est devenu l’avatar du grand remplacement.

***

Le vivre-ensemble était déjà ingérable avant le Covid-19, et selon toute logique, le pire est à craindre si « le foin vient à manquer dans l’écurie ».

Cenator

11 commentaires

  1. Posté par Le Chiffre le

    Amusant, je tombe sur cet article au hasard d’une recherche. 2 ans ont passé. Le danger pour moi n’a pas été le multiculturalisme, l’Islam ou la crise dans cette histoire. Non, le danger est venu d’où je ne l’attendais pas: de mon pays, de ses autorités et de mes con-citoyens. Des boomers aussi. De ceux-là qui ont voté des lois liberticides qui feront des dégâts longtemps encore, de ceux qui ont voté pour un pass discriminatoire de la honte, de ceux qui ont hurlé pour nous injecter de force un traitement génique expérimental à nous et à nos enfants, traitement qui s’est avéré bourré d’effets secondaires graves et surtout inefficace.
    Ceux qui ont réclamé de nous laisser crever devant l’hôpital, de nous couper les vivres, de nous exclure de la société.
    Pas malade
    Pas contagieux
    Non, vraiment je sais qui est dangereux et de qui je dois me méfier désormais.
    Et ce n’est pas de l’islam ou de la société multiculturelle mais bien de mes compatriotes bons Suisses, particulièrement ceux de plus de 60 ans.

  2. Posté par kandel le

    »À ce sujet, un grand MERCI à Madame Martullo-Blocher et un blâme à Madame Isabelle Moret »
    Un blâme à Madame Isabelle Moret… ou un bonnet d’ânesse (féminisme oblige) ?
    Madame Moret, Monsieur Christoph Blocher et les siens ont habituellement raison avant tout le monde… et particulièrement avant les moutons esclaves du politiquement correct.
    Moutons au troupeau duquel vous appartenez.
    N’est pas un W. Churchill ou un C. Blocher ou une M. Thatcher qui veut… ce sont pourtant de telles personnages dont nous avons besoin actuellement.
    Madame Moret, décidément, vous ne faites vraiment “pas le poids” !

  3. Posté par Gub le

    J’aimerais rajouter un truc.
    Nous manquons de Certains médicaments paraît-il… normal. La pharmacologie Suisse invente des médicaments et les fait fabriquer en Chine… oui et vendu au prix fort dont connaissons l’impact sur les primes maladies. Une honte. Et Berset l’autiste chauve, débile et corrompu de gauche Ne fait rien. Ou quand il se réveille il est chaque fois trop tard. Aucune capacité de discernement. Il devrait être en curatelles de portée général et surtout d’être devant les tribunaux pour non assistance à personnes en danger plus naturellement corruption et traîtrise envers ses concitoyens….

  4. Posté par Gub le

    Il est clair aujourd’hui que le Conseil Fédéral et le national ne gèrent absolument pas une crise dans ce pays. Ils la seul peur des problèmes de notre franc Suisse mais le peuple de la m…. pardonnez-moi l’expression. On devrait tous… je dis bien tous les attaquer pour non assistance à personnes en danger… l’autiste chauve corrompu par les assurances maladies de gauche en premier avec l’idiote traîtresse à notre drapeau qui est présidente pour les migrants et pour lécher les fesses à Bruxelles en premier. Les autres suivront. Une sorte de grand procès style Nüremberg. Ras le bol de ces parasites qui n’ont aucune envie de faire quelque chose pour éviter le pire. Heureusement que nous ne sommes pas en guerre… quoique parce que l’ennemi nous aura vite vaincu avec ces autistes idiot et surtout arrogant et imbus d’eux même. Quelle honte et quelle tristesse que le peuple ne puisse pas les renverser et les mettre dans des oubliettes et les laisser crever ces parasites et virus de ce pays.
    Je suis fier de mon pays mai triste et honteux de n’avoir pas le courage et les moyens faire disparaître ces parasites et de rendre à ce pays son honneur… désolé ces très violent. Mais s’il vous plaît Suisses réveillez vous, Sweitzer erwache aïe!!!!!!!

  5. Posté par Sertorius le

    Ce qu’il faut craindre le plus dans ces temps est un tyrant qui cherche à accroitre son pouvoir dans des moments de crise. Des moments ou les citoyens rendent leurs libertés pour répondre aux événements. C’est dans ces moment que le tyrant cherche à assurer les peuples qu’ils ont plus besoin de leurs libertés et qu’elles sont mieux dans ses mains.

  6. Posté par Dominique le

    A l’exception de quelques pays de l’ancienne URSS, l’Europe est devenue le continent des droits des Autres et du mépris des Siens.
    Churchill, dont nos élus helvétiques bruxellisés n’ont ni l’intelligence, ni la clairvoyance, l’avait déjà bien dit à propos de la deuxième guerre mondiale, il n’y a jamais eu de guerre dans l’histoire plus facile à prévenir par l’action en temps opportun mais personne ne voulait écouter et un par un nos parents ont tous été aspirés dans l’immonde tourbillon de cette abomination. Actuellement il en est exactement de même pour les guerres que nous livrent l’immigration extra-européenne, l’islam-idéologie et la pandémie au Coronavirus SARS-2, si ce n’est pire parce que c‘est un chaos interne déjà généralisé à tout le continent européen. N’oublions pas ce que Winston Churchill avait déclaré en 1938, à Londres, à la Chambre des communes, au Premier Ministre alors en exercice Neville Chamberlain et en impliquant aussi le français Edouard Daladier, à propos des Accords de Munich: « Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur. Vous avez choisi le déshonneur. Et vous aurez la guerre tout de même. » (The Official Report, House of Commons. 5th Series, Hansard, 13 May 1940, vol. 360, c. 1502). Churchill, en bon Anglo-saxon cultivé n’avait que rappelé avec plus de vigueur et d’à-propos ce que l’américain Benjamin Franklin aurait déjà dit en 1755: « They who can give up essential liberty, to obtain a little temporary safety, deserve neither liberty nor safety » (Ceux qui sont prêts à abandonner une liberté fondamentale, pour obtenir temporairement un peu de sécurité, ne méritent ni la liberté ni la sécurité). Le dramaturge allemand Bertholt Brecht (1898-1956), qui fut soldat sanitaire pendant la première guerre mondiale, a lui dit: « La provocation est une façon de remettre la réalité sur ses pieds » et. « Celui qui combat peut perdre mais celui qui ne combat pas a déjà perdu ». Donald Trump est-il le seul dirigeant qui lit et admirent nos classiques?

  7. Posté par G.Tell le

    Si reprends la citation d’Orwel, le chemin est fait en grande partie déjà fait: on a déjà les races de vaches sans cornes. On a voté, démocratiquement, pour ne pas soutenir celles qui en avaient. De là à dire que l’on devient une démocratie sans corne, il n’y a qu’un pas que je franchis allégrement. Enfin il nous reste encore la vache mais pour combien de temps ? (Gare aux végans..)

  8. Posté par Bussy le

    L’impact de cette pandémie sera énorme et engendrera des changements de mentalités, c’est sûr, mais on sait qu’on en viendra à bout. Il est somme toute assez classique et prévisible.
    Q’en sera-t-il avec les prochains virus ?
    Et empoignera-t-on enfin le principal problème qui est la surpopulation ?
    Chez les animaux, la prolifération et surpopulation finit toujours par provoquer des maladies dégénérescentes ou le développement de prédateurs qui régulent le nombre, il en va de même pour l’homme. La grippe espagnole avait certainement faibli du fait qu’il y avait peu de déplacements et peu de population à cette époque. De nos jours, la surpopulation sera dramatique quand on tombera sur un virus beaucoup plus coriace que celui qu’on a actuellement. Regardez les pays les plus touchés, dont la Suisse, c’est certainement ceux ou la densité de population est la plus forte.
    Effectivement, on assiste à un retour des nations, le multiculturalisme est momentanément aux oubliettes, les élites étant aussi touchées, mais tout reprendra presque comme avant dès cet été, jusqu’au prochain virus…..
    Tout problème ayant ses solutions, il y en a pour agir sur la surpopulation, mais pour ça, il faudra des élites et politiciens autres que ceux qu’on a actuellement, qui vont, pour la plupart mais heureusement pas tous, du mollachu et peureux au corrompu en passant par les traîtres.
    Tout est question de quantité, on le voit aussi pour la pollution, il est temps de passer du quantitatif au qualitatif, même si pour cela il faut contrer violemment des sectes qui ont compris que le nombre était une stratégie pour conquérir le monde et le soumettre à ses arriérations mortifères.

  9. Posté par antoine le

    La SANTÉ n’a pas de prix et doit être préservée contre les maladies !
    ”À ce sujet, un grand MERCI à Madame Martullo-Blocher et un blâme à Madame Isabelle Moret”
    C’est étonnant que la dure réalité de se protéger des autres ou ne pas contaminer les autres est difficiles à faire admettre …

  10. Posté par Jean-Francois Morf le

    https://www.youtube.com/watch?v=n4J8kydOvbc
    Bien sûr que le médicament existe: mais il n’est pas cher, et donc les pharma l’ignorent!
    C’est comme les sprinklers, que l’on refuse obstinément aux clochers et aux tunnels…
    On préfère laisser les gens crever que de leur donner un médicament pas cher!

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