Suhl (All.) : Situation tendue au centre de requérants où 533 migrants sont en quarantaine. “Nous voulons des masques de protection!”

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A aucun moment, ces individus ne se posent la moindre question sur le sort réservé à la population allemande et le fait que les Européens sont également dépourvus de toute protection puisque nos gouvernements n'ont rien anticipé et n'ont pas procédé aux achats nécessaires.

A la place, ces migrants menacent, méprisent les règles de sécurité, se fichent de savoir si leur comportement met en danger les autochtones.

 


La situation dans le centre de premier accueil d'immigrés (EAE) à Suhl est précaire. Tard vendredi soir, un résident a été testé positif au coronavirus. Depuis lors, les 533 résidents se trouvent en quarantaine.

Depuis samedi matin, la zone est sécurisée par de puissantes forces de police. Selon Wolfgang Nicolai, chef de l'inspection de la police d'État de Suhl, elles ont été recrutées dans tout l'État. "Comme prévu, il y a eu des premiers problèmes", a déclaré Nicolai. A plusieurs reprises samedi et dimanche, plusieurs résidents ont dû être empêchés de quitter l'établissement [...].

"Nous savons qu'il ne sera pas facile de faire appliquer la quarantaine à certains résidents. Mais nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour empêcher les résidents de quitter les lieux, le cas échéant avec encore plus de forces de police. Nous avons reçu un engagement de la part du pays à le faire", a déclaré M. Nicolai, qui a également fait état de jets de bouteilles isolés sur des policiers déployés. Selon l'heure du jour, jusqu'à 50 policiers sont actuellement sur place, surveillant la clôture qui entoure le vaste terrain et l'éclairant également la nuit. En outre, les pompiers de Suhl se préparent à d'éventuelles intervention en raison des alarmes incendie dans l'établissement. [...]

Une situation tendue

La situation dans l'institution elle-même est tendue. Entre autres choses, il y aurait déjà eu un appel à la grève de la faim en raison du "couvre-feu", et plusieurs résidents auraient été empêchés de se rendre au réfectoire. "La situation est calme pour le moment, mais nous nous préparons à ce qu'elle ne le reste pas", a déclaré M. Nicolai. [...]

A travers la clôture, un résident germanophone du centre a déclaré à notre journal qu'ils se sentaient abandonnés. Pour autant qu'il le sache, la personne infectée est vraisemblablement un Afghan qui serait entré en Allemagne via la Suède et Hambourg et ne serait arrivé au centre que vendredi matin. La peur, surtout dans les familles avec enfants, était grande. "Nous voulons des masques de protection, mais nous n'en avons pas. Et nous voulons un examen médical avec un test pour obtenir des éclaircissements afin que les personnes en bonne santé puissent à nouveau sortir normalement", déclare-t-il. Mais les soins médicaux sont médiocres. La tension est très forte. "Nous essayons de rester calmes, mais je me demande si tout le monde le verra de cette façon si nous sommes encore enfermés ici..."

Le maire André Knapp et le président de la clinique centrale de la SRH de Suhl. Christian Jacob, soulignent que la personne infectée n'a pas été amenée à l'hôpital - comme le supposent à tort de nombreux résidents du centre en raison de l'ambulance devant la porte. "Les symptômes n'étaient pas trop graves, aucune hospitalisation n'a été nécessaire", explique Marion Peterka.

L'intéressé a été transféré dans un autre bâtiment de l'établissement, où une station de quarantaine blindée prévue pour 600 personnes au maximum a été mise en place. Il y a été interrogé par un interprète concernant ses contacts, a déclaré Marion Peterka. Par conséquent, deux autres personnes y ont été hébergées. Ces deux personnes ont présenté des symptômes de grippe samedi soir.

Comme les résidents ne peuvent actuellement pas faire leurs propres courses, Silvio Volkmann, membre du service de lutte contre les incendies et les catastrophes, a distribué samedi après-midi des articles de luxe tels que des produits de tabac, du chocolat et des sucreries pour les enfants dans un camion du service de lutte contre les catastrophes de Suhl.

En outre, des efforts sont faits pour fournir des masques de protection supplémentaires afin de pouvoir offrir au moins une protection minimale aux résidents, a déclaré le président du Landesverwaltungsamt (LVA), Frank Roßner.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Insuedthueringen.de

 

 

 

 

8 commentaires

  1. Posté par Christian Hofer le

    @ Dominique

    Merci pour votre commentaire, Toutefois, j’ai du mal à comprendre car :

    1. On ne sait pas qui peut être malade (certains cas ne possèdent pas de symptômes ou pensent que c’est simplement une grippe). Le masque peut être une bonne barrière de protection dans ce cadre.

    2. Les policiers comme les militaires portaient des masques en Chine, l’administration a donc établi que c’était un moyen pertinent. Il me semble que la population était également obligée d’en porter en public.

    3. Les masques ne sont qu’un élément, à accompagner avec l’hygiène nécessaire, le port de gants et la distance à respecter entre individus (et même des lunettes de protection). Les médecins eux-mêmes doivent les porter lorsqu’ils doivent traiter ces patients. Ce serait donc une protection reconnue si on l’applique avec les autres règles de comportement.

    https://www.youtube.com/watch?v=ORIWS9BS9R8

    4. Vous aurez des personnes qui se ficheront de cette distance ou qui feront exprès de cracher sur les zones fortement touchées, comme les boutons d’ascenseur par exemple (comme cela s’est fait en Chine, d’où la nécessité de porter des gants). Ou même directement sur le visage pour provoquer. Lorsque certains éléments de la vie courante commenceront à devenir rare, il est à redouter que les comportements deviendront toujours plus violents.

    Personnellement, je pense que ce masque peut être important. Mais peut-être que je me trompe.

  2. Posté par marc12345 le

    Qu’on les expulse et le probleme est réglé !

  3. Posté par Comique le

    Ces gens n’ont que des exigences, aucune obligation. Nous même n’avons pas de masques, ils sont inutiles sans protection aux yeux. L’ignorance coûte cher, s’ils ne sont pas contents, on ne les retient pour rien au monde, ils peuvent retourner dans leur shithole.

  4. Posté par combattant le

    Il y aurait une autre solution plus radicale ( je vous laisse le choix ).Cette épidémie de ce covid-19 est une guerre que les peuples de cette EU de M……..E doit gérer pour sa population.Cette racaille que frau merdkel à INVITE,on ne va pas les mettre au premier rang dans les soins à apporter.LES NÔTRES d’abord ceux qui payent la facture de cette INGERENCE POLITICIENNE A QUATRES SOUS.Pas contents ces MORIBONDS,qu’ils DEGAGENT,on ne leur doit RIEN,NIET,NIET !NE LAISSONS PLUS CES FAUX MIGRANTS débarquer sur nos sols. Fermetures ENFIN de ces frontières ! Ouf.

  5. Posté par Cassandre le

    Ils ne veulent plus de traitement à base de bouse de vache et urine de chameau ?

  6. Posté par Carmagnole le

    Nous ne pouvons faire prendre plus de risques aux citoyens déjà fragilisés. Ces gens ne doivent plus pouvoir rentrer dans nos pays, nous n’avons pas les moyens de les aider, nous sommes dans la merde . Ils doivent rester chez eux. Soyons lucides n’ajoutons pas du malheur au malheur. Ces personnes doivent rester dans leur pays.

  7. Posté par Dominique le

    Il faut expulser tous ces ignorants. Un tel masque ne protège pas ou très peu celui qui le porte, il empêche que celui qui est porteur du viruset a un tel masque le passe à d’autres personnes.
    De plus chaque fois qu’on enlève ce masque il faut le jeter et en mettre un autre!

  8. Posté par Sertorius le

    Ils arrivent pieds nus du tiers monde et sa rouspète déjà sur les manques de comfort. Bande d’ingrats!

Et vous, qu'en pensez vous ?

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