Coronavirus : la Chine en guerre contre la vérité

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par Giulio Meotti -10 mars 2020 -Traduction du texte original: Coronavirus: China's War on the Truth

  • « L'épidémie a mis à nu la corruption, la bureaucratie, le contrôle de l'information et la censure qui sévissent dans ce pays. » - Phillip Wu, écrivain indépendant à Pékin, The Guardian, 1er mars 2020.
  • Il y a eu aussi ces journalistes et militants qui ont dit la vérité, puis qui ont été arrêtés ou ont « disparus ». Le régime chinois claironne son intention de publier un livre en six langues sur l'épidémie qui présenterait le président Xi comme le « leader à la tête d'une puissance mondiale » mais qui est aussi « proche du peuple ».
  • L'Italie a commis l'erreur fatale de faire confiance au régime chinois. Au lieu de contrôler chaque personne - Chinoise ou Italienne – de retour de Chine à partir de janvier, l'Italie a gardé ses frontières ouvertes. Des dizaines de milliers d'Italiens sont aujourd'hui en quarantaine ...
  • L'idée que le coronavirus pourrait avoir un lien avec le laboratoire de virologie de Wuhan passe pour une « théorie du complot », mais le refus de la Chine d'accepter l'aide des Centers for Disease Control des États-Unis (Centres de contrôle de la maladie) a suscité des soupçons bien naturels.

« Au train où vont les choses, la Chine est susceptible de causer des dommages importants au reste du monde, par accident ou intentionnellement », a écrit le 29 janvier Daniel Henninger, chroniqueur du Wall Street Journal .

« Le gouvernement communiste chinois ne représente pas seulement une menace existentielle pour ses 1,4 milliard de citoyens, mais aussi pour le reste du monde » a écrit le 20 février le célèbre historien Victor Davis Hanson.

Selon The Sunday Times,

« à la fin du mois de décembre, les laboratoires chinois ont identifié un mystérieux virus qui s'est avéré être un nouvel agent pathogène hautement infectieux. Mais ordre leur a été donné d'arrêter les expérimentations, de détruire des échantillons et de supprimer toute information à ce sujet, a révélé un média chinois.

« A Wuhan, centre de l'épidémie, un responsable régional de la santé a exigé la destruction des échantillons de laboratoire qui ont été à l'origine de la pneumonie virale inexpliquée du 1er janvier. La Chine n'a reconnu la transmission interhumaine que plus de trois semaines après qu'elle ait eu lieu.

« Caixin Global, une très respectée publication indépendante, a apporté la preuve éclatante qu'une dissimulation de grande ampleur a eu lieu dans les premières semaines de l'épidémie, au moment précis où il était encore possible de la contrôler. »

Dans un discours prononcé le 31 décembre 2019, Xi Jinping a annoncé triomphalement l'arrivée d'une année « qui sera d'une importance fondamentale dans la réalisation des objectifs de ce premier centenaire ».

« La censure. Elle peut avoir des conséquences mortelles », a déclaré le secrétaire d'État américain Mike Pompeo le 25 février. « Si la Chine avait autorisé ses journalistes et ses professionnels de santé à parler et à enquêter librement, les autorités chinoises elles-mêmes et les gouvernements étrangers auraient été mieux préparés à relever le défi ». Malheureusement, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait le contraire et a « félicité » la Chine pour sa mobilisation contre le virus. L'Europe s'est également empressée d'apaiser la Chine.

En Chine, 780 millions de personnes - soit la moitié de sa population – ont des déplacement contraints. Et Xi Jinping utilise la crise sanitaire pour renforcer son contrôle sur la société chinoise. Depuis 2013, il n'a eu de cesse d'accroitre son immense pouvoir pour devenir « président à vie » et il a profite du coronavirus pour faire taire la dissidence et resserrer son étreinte sur la société.

L'Italie qui dispose de la population la plus contaminée en Europe affronte une situation que Massimo Galli, le principal spécialiste des maladies infectieuses à l'hôpital Sacco de Milan décrit ainsi :

« Nous sommes en situation d'urgence absolue. Oui, je suis inquiet. De toute évidence, l'épidémie progresse dans toute une partie de l'Italie ... Le système de santé approche de son point de rupture. Le nombre de patients hospitalisés simultanément parce qu'ils souffrent de maladies graves est l'équivalent d'un tsunami. Ce n'est que la pointe de l'iceberg. Même le meilleur système de santé au monde, et nous faisons partie des meilleurs, approcherait de son point de rupture ».

Pendant ce temps, la Chine poursuit sa guerre contre la vérité. Le laboratoire du Shanghai Health Center a été fermé le 12 janvier, au lendemain du jour ou l'équipe du professeur Zhang Yongzhen a rendu publique la séquence du génome du coronavirus sur des plateformes scientifiques ouvertes. Le régime chinois a empêché ses biologistes d'élaborer des moyens pour contenir l'épidémie. Leur « crime » ? Avoir diffusé la séquence en question avant que les autorités chinoises aient pris elles-mêmes la décision.

« L'épidémie a mis à nu la corruption qui sévit dans ce pays, sa bureaucratie, son contrôle de l'information et sa censure », a déclaré Phillip Wu, journaliste indépendant à Pékin. Et ceux qui s'imaginent que le régime chinois est uniquement préoccupé des affaires chinoises, doivent absolument lire cet article britannique qui révèle comment la Chine bride la liberté académique au Royaume-Uni.

Zeng Yingchun et Zhen Yan, deux infirmières de Wuhan, épicentre de l'épidémie de coronavirus, ont, dans une lettre publiée par The Lancet, imploré la communauté scientifique internationale de venir en aide à la Chine :

« Les difficultés liées aux conditions de travail et à l'environnement dépassent l'entendement. Les équipements de protection, tels que les respirateurs N95, les écrans faciaux, les lunettes, les blouses et les gants, manquent cruellement. Les lunettes en plastique doivent être nettoyées et stérilisés à plusieurs reprises dans le service, ce qui les rend quasiment inopérantes ».

Le lendemain, les infirmières ont demandé au Lancet que leur lettre soit dépubliée.

Le régime chinois a arrêté Li Wenliang, le médecin auteur de la première alerte sur cette épidémie qui a fini par le tuer. Le 30 décembre, Li Wenliang a envoyé une mise en garde à ses collègues médecins, mais la police lui a dit d'arrêter de « diffuser de fausses informations ». De nombreux journalistes ont dit la vérité, mais ont été arrêtés ou ont « disparus ». Les médias sociaux en Chine ont parlé du virus plusieurs semaines avant que le gouvernement n'agisse officiellement. Le régime communiste chinois annonce maintenant son intention de publier un livre sur l'épidémie qui présentera le président Xi comme le « leader d'une puissance mondiale » mais aussi comme un chef « proche du peuple ». Le livre sera traduit en six langues.

L'Institut de virologie de Wuhan qui promeut des recherches sur les « agents pathogènes les plus dangereux du monde » dispose du plus haut niveau de confinement biologique de tout le continent. Emettre l'idée que le coronavirus est lié aux recherches menées à Wuhan sur les virus amène certains à vous taxer immédiatement de « complotisme ». Mais le refus des Chinois d'accepter immédiatement l'aide des Centers for Disease Control des États-Unis a fait germer des soupçons. Selon Paul Wolfowitz, ancien président de la Banque mondiale et ancien secrétaire adjoint américain à la défense :

« Le fait que Wuhan abrite un Institut de Virologie qui mène des recherches avancées sur les virus et que certaines de ses missions sont classifiés parce qu'effectuées pour le compte de l'armée chinoise a suscité des spéculations bien prévisibles ; le nouveau virus Corona a très bien pu s'échapper de cet institut ».

« Méfiez-vous du narratif chinois : le coronavirus a très bien pu s'enfuir d'un laboratoire », a écrit Steven Mosher, expert de la Chine, dans le New York Post. Nous ne connaissons pas la vérité et ne la connaîtrons sans doute jamais. La théorie selon laquelle le virus se serait échappé d'un centre de recherche biologique pourrait s'avérer très « fragile ». Mais compte tenu du niveau de secret qui règne en Chine et de la dangereuse censure qui a été instaurée, au nom de quoi les interrogations sur l'origine du virus seraient-elles illégitimes ?

A l'évidence, les communistes chinois n'ont aucun respect pour la vie, la liberté ou la dignité humaines. Le régime tue des prisonniers pour prélever leurs organes à des fins de transplantation et procède à des « avortements forcés » pour « contrôler la population ». Il y a non seulement une épidémie de virus mais aussi une épidémie « d'infanticides ». Harry Wu, un activiste chinois des droits de l'homme âgé de 75 ans, affirme que « six à huit millions de personnes sont détenues dans des « camps de rééducation ». En taisant la vérité sur ce coronavirus mortel, le régime chinois a mis en danger son propre peuple mais aussi la communauté internationale.

L'erreur fatale de l'Italie a été de faire confiance au régime chinois. Au lieu de contrôler tous les voyageurs - chinois ou italiens - revenant de Chine à partir de janvier, l'Italie a gardé ses frontières ouvertes. Au 10 mars, 9 172 personnes étaient infectées et 464 avaient décédé. Le 8 mars, la quarantaine a été imposée à un quart de la population italienne, accroissant ainsi les risques de paralysie de l'économie du nord de l'Italie, augmentant la peur et l'hystérie de la population. A Milan, la population a entrepris de vider les supermarchés. L'Italie est désormais le troisième pays le plus infecté au monde après la Chine et la Corée du Sud, avec l'Iran non loin derrière.

Dans le South China Morning Post, le professeur Dali Yang, politologue à l'Université de Chicago, a comparé les retombées du coronavirus à la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine en 1986. « Ce sera une crise aux proportions de Tchernobyl, notamment parce que la lutte contre le virus va s'étaler sur plusieurs années », a déclaré Yang. Les sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques du monde entier travaillent sur un vaccin qui devrait à un moment donné limiter les dégâts. En Russie soviétique, en 1979, des spores mortelles d'anthrax se sont échappées d'un centre de fabrication d'armes bactériologiques de Sverdlovsk, tuant au moins 64 personnes. Les autorités soviétiques et russes ont réussi à masquer l'incident jusqu'en 1992. Les catastrophes nucléaires, virales et biologiques - suivies d'une campagne de l'État pour imposer le secret - semblent être monnaie courante dans les dictatures.

Malheureusement, les pays occidentaux commettent sans arrêt la même impardonnable erreur : Chine communiste ou Union soviétique, il est impossible de faire confiance à une dictature paranoïaque et impitoyable. Le dissident chinois Ma Jian est formel , « le totalitarisme de Xi est un virus qui menace la santé et les libertés du peuple chinois, mais aussi pour la santé et la liberté des autres peuples de la planète ».

Un post sur WeChat dédié à feu le Dr Li Wenliang était composé de citations du chimiste soviétique Valery Legasov, qui a enquêté sur la catastrophe de Tchernobyl mais que le régime soviétique a réduit au silence :

« Il y a un prix à payer pour les mensonges. Ce prix n'est pas que nous les confondions avec la vérité. Le vrai danger est qu'à force d'entendre des mensonges, nous ne soyons plus capables de reconnaître la vérité ... »

Legasov a fini par se suicider. Un jour, nous, Occidentaux, pourrions avoir à nous repentir de ne pas avoir demandé des comptes au régime communiste chinois pour les crimes qu'il a commis de sang-froid. Apaiser la Chine, après avoir apaisé l'Union soviétique, n'est pas seulement un échec ; c'est une menace mortelle.

Giulio Meotti, éditeur culturel pour Il Foglio, est un journaliste et auteur italien.

BEIJING, CHINA - DECEMBER 02: Chinese President Xi Jinping speaks with Russian President Vladimir Putin via a video link, from the Great Hall of the People on December 2, 2019 in Beijing, China. (Photo by Noel Celis - Pool/Getty Images)

source: Gatestoneinstitute:

10 commentaires

  1. Posté par Bussy le

    @ David Coiffier
    SVP pas de gros mots…

  2. Posté par David Coiffier le

    Vous écrivez plusieurs que des journalistes « ont disparus » Même si c’est tragique, ils n’ont PAS disparuS mais ils ont disparU!!! Bordel!! Les gosses apprennent ça à quel âge ?! 12 ans !??

  3. Posté par Loic le

    L’erreur dans cette pandémie est chinoise. Le seul problème avec les Chinois ou asiatique en général c’est qu’il n’aime pas perdre la face, c’est un déshonneur pour eux et jamais il n’avoueront la vérité car un mensonge bien garder vaut mieux qu’une vrai vérité qui leur ferait plus mal.
    Maintenant si l’ont parle de l’OMS alors la il sont en dessous de tout, ont paie des gens pour nous protéger de cela et la au contraire il ont laisser venir sans action concrète, la seul action concrète à été de félicité la Chine de sont action mais action pour quoi ? nous avoir tous mis en prison pendant des mois et crée des morts par millier ??? A démanteler au plus vite, car c’est inacceptable à mon sens. Maintenant il faut que la Chine paie pour cela peu importe l’intentionnel ou l’accident les fait sont la, le virus est partie de chez eux et ils ont caché la vérité des mois, donc juste sur le fait qu’il ai laisser le virus se propager suffit amplement à dire qu’il savait et n’ont rien fait. Bloquons non seulement toute entrée mais sortie de leur territoire pour au minimum 6 mois, et il qu’il prennent conscience que d’ignorer les autres va aussi leur faire du tort. Il serait trop facile qu’ils s’en sortent sans conséquence.

  4. Posté par Pauline le

    Bonsoir, merci pour votre article qui compile de nombreuses publications internationales en français. Oui nous avons le droit de savoir la vérité sur l’origine de ce virus. En lisant les nombreuses questions posées aux chercheurs, en France, et ailleurs, les formulations sont toujours très partielles. Par exemple “est-ce que le virus a été crée en laboratoire?” la réponse est collectivement “non”, mais est-ce pour autant que le virus était inconnu des laboratoires de Wuhan? est-ce pour autant qu’il n’a pas été étudié dans la période qui précède l’épidémie? D’autre part est-ce que la question a clairement été posée aux chercheurs et étudiants de ces laboratoires si oui ou non un individu s’est fait mordre par une chauve-souris détenue dans l’un des labos? Pourquoi n’y a-t-il pas de conférence de presse de ces deux laboratoires pour lever le doute sur les théories émergentes? Est-ce parce que ces théories sont confidentielles et étouffées par les autorités chinoises? Est-ce par peur des représailles? Pourquoi ne sont-ils pas transparents? Comment peut-on vivre en paix en sachant que tout est de moins en moins clair et que les dirigeants d’un pays sont capables de mettre l’humanité en danger par simple fierté ou refus de l’erreur? Au delà de l’angoisse de perdre des proches, de voir les personnels de santé s’épuiser à en mourrir, de se sentir dans un film de SF dont on sait la fin pleine de noirceur, OUI, le fait de comprendre d’où vient réellement ce virus sera important pour que les survivants se reconstruisent et fassent leurs deuils. Les dictatures ont tellement bridé les parties émotionnelles de leurs sujets, qu’ils prennent tout cela comme une fatalité… à moins qu’une preuve avérée déclenche une révolte. Et pourtant tout le monde aura besoin de réponses…
    Protégeons-nous, protégeons nos familles, et gardons notre esprit critique. Courage à tous.

  5. Posté par Georges Moha le

    Pourquoi parler des dictatures communistes, comme si les autres dictatures sont de l’or!
    Une dictature c’est une dictature, qu’il soit communiste, capitaliste, démocratique, islamiste, vaticaniste ou sioniste, le temps est mûre pour que le Dieu Gracieux, en finir avec tous ces traîtres de l’humanité. Afin que les pauvres gents de toutes confession; ou même sans, puissent finalement vivre amicalement en paix, se débarrassant de tous ces salopards politiques et religieux…

  6. Posté par G. Guichard le

    Ben là, de toute façon, c’est “circulez, y’a rien à voir!” Et la Chine, tadaaa! aura sauvé le monde du méchant virus qui -ç’est les consignes du gouvernement chinois- n’est peut-être même pas chinois! LOL
    Et même le blond américain a aussi vaincu le virus -qui ne va pas tarder à être européen- question que Wall Street ne s’inquiète pas (puisque c’était sa base pour gagner les prochaines élections présidentielles américaines LOL)
    En fait tout va bien dans le meilleur des mondes! En fait, on n’a jamais vu ça depuis 1945 et c’est sans doute autant un signe que le caillou qui était tombé sur Tchéliabinsk en Russie au moment de la démission du pape allemand Benoît XVI…

  7. Posté par Amarillys Taylor le

    Espérons que la leçon a été apprise : Nul ne peut faire confiance aux dictateurs et moins encore quand cette dictature est communiste. Les gouvernements européens devant une telle urgence devaient fermer immédiatement les frontières et contrôler l’arrivée des voyageurs en provenance de la Chine à leur arrivée dans les aéroports. Ils ne l’ont pas fait et maintenant ils sont responsables de toute cette contamination et ces morts. Il faut maintenant mettre en quarantaine
    toutes les personnes arrivant de Chine, Iran, Italie et de France, fermer les frontières,donner les consignes permettant aux personnes de ne pas contaminer d’autres ( lavage fréquent des mains,
    toux et éternuements dans des mouchoirs jetables de juguler la contamination comme la fermeture des écoles, l’interdiction des rassemblements de plus de 10 personnes, recomender de ne pas voyager, ne pas fréquenter des lieux publiques ( cinémas, piscines, marchés) et de prendre les précautions d’usage lors de toux, éternuements, fièvre et de ne surtout aller aux urgences des hôpitaux mais de communiquer par téléphone ou E-mail avec leur médecin. Médecin, j’applique toutes ces consignes ainsi que à ma famille et autres membres du ménage.º

  8. Posté par Dominique le

    Il est évident, d’une part, qu’il ne faut pas faire confiance à la Chine communiste, son President Xi Jinping qui se prend pour Mao et les Chinois qui mangent avec des baguettes et, d’autre part, que la Chine dès début décembre à janvier a fort mal managé cette pandémie.
    Mais l’UE et tout particulièrement l’Italie du Nord et la Suisse surpeuplées n’ont pour le moment pas managé cette pandémie mieux que la Chine et cela est honteux. Nos autorités sont-elles aussi corrompues et menteuses que celles des communistes chinois ou simplement tragiquement incompétentes? A chacun d’analyser, de décider et d’en tirer les conséquences lors des prochains votes et élections.

  9. Posté par Marc le

    Je trouve cet article basé sur la chine et sa politique d’information biaisé et un temps soit peu étrange. Je sais pas comment l’interpréter. Mais je constate quelques points qui semble pointer cet article à de la propagande anti-chinois:
    => Phillip Wu, écrivain indépendant à Pékin, The Guardian, 1er mars 2020.
    The Guardian est l’essence même de la manipulation médiatique actuel, ce sont les champions de la désinformation quand il s’agit par exemple du climat.
    => Daniel Henninger, chroniqueur du Wall Street Journal .
    Même chose que The Guardian, le Wall Street Journal est un torchon de la désinformation
    => Selon The Sunday Times,
    Même chose que The Guardian et le Wall Street Journal, le The Sunday Times est un torchon de la désinformation
    => « La censure. Elle peut avoir des conséquences mortelles », a déclaré le secrétaire d’État américain Mike Pompeo le 25 février.
    Pompeo est loin d’être un pacifiste et un homme de confiance, tout ce qui sort de sa bouche est manipulation et politique guerrière. Aucune confiance.
    => Et ceux qui s’imaginent que le régime chinois est uniquement préoccupé des affaires chinoises, doivent absolument lire cet article britannique qui révèle comment la Chine bride la liberté académique au Royaume-Uni.
    Les Anglais sont à la tête de l’espionnage et manipulation international, c’est un cancer bien pire que la chine.
    => Mais le refus des Chinois d’accepter immédiatement l’aide des Centers for Disease Control des États-Unis a fait germer des soupçons. Selon Paul Wolfowitz
    Mais qui ferait confiance aux Yankees et surtout à ce fourbu Wolfowitz !? Et bien personne, chaque pied ricain sur sol étranger est superviser par la CIA ou la NSA ou autres institutions criminel. Alors il est clair que personne ne veut de l’aide des Ricains !
    => « Méfiez-vous du narratif chinois : le coronavirus a très bien pu s’enfuir d’un laboratoire », a écrit Steven Mosher, expert de la Chine, dans le New York Post. Nous ne connaissons pas la vérité et ne la connaîtrons sans doute jamais
    Le New York Post est à vomir…. par contre nous ne connaîtrons certainement jamais la vérité, ça c’est sure.
    Le gouvernement chinois (les chinois) n’aiment pas perdre la face, là c’est un pied au cul est ça fait mal. Mais c’est leurs pays et ils la gère comme ils le pensent. Ou je m’insurge c’est de fustiger la Chine sur le manque de contrôle du virus (pour le début c’est indéniable) et la propagation en Europe. Le virus était connu bien avant le premier cas en Europe. C’est la mondialisation qui est à pointer du doigt et l’Europe et sa politique étrangère plutôt qu’intérieure.

  10. Posté par antoine le

    ”L’erreur fatale de l’Italie a été de faire confiance au régime chinois. Au lieu de contrôler tous les voyageurs – chinois ou italiens – revenant de Chine à partir de janvier, l’Italie a gardé ses frontières ouvertes.”
    Le gouvernement communiste chinois s’apparente à de la DICTATURE !
    Les seuls Chinois qui n’ont pas perdu la face sont ceux qui ont alerté leurs collègues et le monde scientifiques !
    Celui qui fait confiance à un régime communiste est un grand naïf …

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