C’est le grand tabou de la société française, volontairement masqué par les « élites » politiques et médiatiques amoureuses de la « société ouverte » pour lesquelles la fraude sociale ne serait pas un problème grave en France et ne serait pas liée à l’immigration. Le 3 mars 2020, la réalité est revenue comme un boomerang. Le magistrat Charles Prats, interrogé en commission d’enquête parlementaire, rappelle qu’il y a des millions de cartes vitales en trop en circulation, et il évoque une fraude sociale potentielle de 30 milliards d’euros. C’est très loin des estimations d’une Sécurité sociale qui chiffre la fraude à quelques centaines de millions d’euros.
Prats aboutit au chiffre de 2,4 millions d’étrangers actifs en surnombre dans le système de la Sécurité sociale française. Des fantômes qui perçoivent des prestations. C’est l’attribution d’un numéro d’immatriculation par le biais de faux documents qui permet de frauder. La Sécurité sociale ne demande pas de documents originaux. D’après Le Figaro daté du 5 mars 2020, cette démonstration s’appuie sur « un document publié le 7 novembre : la réponse des pouvoirs publics à une question posée par une précédente commission d’enquête parlementaire. La députée Carole Grandjean (LREM) et la sénatrice Nathalie Goulet (UDI) avaient demandé au ministère des Solidarités et de la Santé le nombre de “NIR actifs”, c’est-à-dire le nombre de comptes au format spécifique aux personnes nées à l’étranger, et capables de recevoir des prestations sociales (excluant donc les cartes désactivées). » Dans le Journal officiel, l’administration recensait 12 392 865 personnes nées à l’étranger « disposant d’un droit ouvert à recevoir au moins une prestation sociale ». 12,4 millions d’assurés sociaux nés à l’étranger alors que les étrangers ne seraient « que » 8,2 millions en France selon l’INSEE.
Tous ces étrangers !
Sur les plus de 12 millions d’assurés nés à l’étranger selon le ministère concerné, 86 % auraient ainsi droit aux prestations maladie, 43 % pourraient percevoir des prestations familiales et 33 % auraient droit à la retraite. En comparant ces pourcentages aux statistiques sur les bénéficiaires d’aides sociales en France, cela donnerait 42 % des bénéficiaires d’allocations familiales ou un cinquième des retraités nés à l’étranger. Des chiffres incohérents, selon le magistrat, sauf à imaginer des comptes de Sécurité sociale surnuméraires – autrement dit une fraude de grande ampleur. C’est justement ce qui a été révélé.
Un exemple concret ? D’après France Bleu Paris, « une escroquerie en bande organisée vient d’être mise au jour le 3 mars par la police des Yvelines. Huit membres d’une même famille, soupçonnés de faux et usage de faux, blanchiment et recel d’escroquerie, ont été interpellés par la sûreté urbaine de Conflans-Sainte-Honorine, avec l’appui du GIR 78. Cette famille aurait escroqué 41 caisses d’assurance maladie, 55 mutuelles et des sociétés d’ambulances, plongeant certaines d’entre elles en très grande difficulté. » Une partie des 675 000 euros détournés a été transférée à l’étranger. La fraude sociale est un mode de vie (immigré) en France, et à l’étranger. Même France Info reconnaissait mi-octobre 2019 que « cette fraude existerait majoritairement chez les personnes vivant à l’étranger ».
Prats soulève indirectement une question grave : celle de la différence entre les chiffres de l’immigration publiés par l’INSEE et ceux publiés par la Sécurité sociale. Si l’Etat est si peu fiable, quels sont les chiffres réels de l’immigration ? Ceux des descendants de migrants ? 20 % ? Les droites authentiques le disent depuis longtemps : l’immigration de masse est une catastrophe sociale et économique. Avec 30 milliards d’euros, différents problèmes qui plombent l’économie pourraient être résolus. Au choix : le « trou » de la Sécurité sociale, dont on connaît du coup la cause, la réforme des retraites, la sécurité ou l’amélioration de la lutte contre le terrorisme. Autrement dit le quotidien des Français qui se lèvent tôt, ne passent pas la journée au PMU ou dans des cafés réservés aux musulmans et interdits aux femmes, une fois les prestations perçues. L’argent dont nous parlons est simplement celui des honnêtes travailleurs de nationalité française, pour leur part écrasés de taxes et d’impôts pour financer les fraudes sociales. Charles Prats le dit : la question est d’autant plus grave qu’elle est connue depuis dix ans. Alors, à qui profite cette délinquance, outre aux fraudeurs ? •
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Extrait de: Source et auteur
30 milliards, c’est la fraude sociale. Est-ce que ça inclut le chômage ?
Faut rajouter 10 milliards pour les frais d’emprisonnement, 10 milliards pour les frais de police, 5 milliards pour les frais de justice, etc. etc.
Et cerise sur le gâteau, les Français qui se lèvent tôt, qui ne passent pas la journée au PMU ou dans des cafés réservés aux musulmans et interdits aux femmes, vivent de plus en plus dans la crainte et voient leur culture agressée et grignotée par ceux qui les grugent.
Les fraudeurs fraudent, ça semble être dans leur culture, les responsables sont ceux qui leur donnent la possibilité de frauder, et qui ne bougent toujours pas maintenant que le problème est sorti au grand jour !
A mon avis, les responsables sont du même club que les lavettes qui s’agenouillent aux pieds d’Erdogan !
30 milliards d’euros pas an de FRAUDE !
”C’est le grand tabou de la société française, volontairement masqué par les « élites » politiques et médiatiques amoureuses de la « société ouverte » pour lesquelles la fraude sociale ne serait pas un problème grave en France et ne serait pas liée à l’immigration”
– C’est devenu un ”sport national”
– L’ampleur de la catastrophe est due à l’immigration galopante.
– Les honnêtes citoyens ploient sou les TAXES et les impôts !
”Charles Prats le dit : la question est d’autant plus grave qu’elle est connue depuis dix ans. Alors, à qui profite cette délinquance, outre aux fraudeurs ? ”
Donc on peut le dire que le laxisme date des années Sarkozy, Hollande et se poursuit avec les années Micron !
C’est lamentable de constater que 3 présidents successifs n’ont fait qu’aggraver la charge fiscale sur les épaules des Français !
Avec 30 milliards, ils arrivent à arroser un large éventail de leurs ”amis” !!