Dix listes répertoriées comme «communautaires» présentes aux prochaines municipales

post_thumb_default

 

Selon une source au ministère de l’Intérieur citée par l’AFP, dix listes dites «communautaires» ont été recensées par les préfets en vue du prochain scrutin municipal. Ce recensement «ne se base pas sur une catégorisation statistique mais est le fruit de signalements réalisés par les préfets», d'après cette source qui souligne par ailleurs que c’est la première fois qu’une attention particulière est portée «sur ce phénomène».

Ces listes ont été répertoriées principalement en Ile-de-France mais aussi dans un département plus rural comme la Vienne. C'est sous l'étiquette de l'Union des démocrates musulmans français (UDMF) que sont répertoriées certaines listes dites «communautaires». Ce parti avait déjà participé au scrutin des élections européennes où il avait récolté 0,13% des suffrages en rassemblant 28 395 électeurs. 

Malgré les appels de la droite, l’exécutif refusent l’interdiction des «listes communautaires»

Pour les élections municipales qui auront lieu les 15 et 22 mars, l'UDMF a ainsi déposé des listes «Agir pour ne plus subir» dans le cinquième arrondissement de Paris, à Nanterre, Clichy-la-Garenne mais aussi à Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire) et Châtellerault (Vienne). Deux listes considérées comme «communautaires» ont également été signalées dans la métropole de Lyon.

A Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), la liste menée par le fondateur du Collectif contre l'islamophobie (CCIF), Samy Debah (le vrai changement pour Garges), a également été répertoriée comme «communautaire» par les services de l'Etat. Idem pour la liste «Vivre ensemble à Annecy» en Haute-Savoie et une des six listes déposées pour la commune de Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Le président des Hauts-de-France, Xavier Bertrand avait demandé l'interdiction des listes dites «communautaires» lors de ces élections municipales. Le chef de file des LR au Sénat, Bruno Retailleau avait déposé une proposition de loi allant également dans ce sens. Lors d'un discours devant le Congrès des maires de France, en novembre 2019, Emmanuel Macron s'était refusé à cette solution.

L’UDMF, qui existe depuis 2012 n’est jamais parvenu à franchir un premier tour lors d'élections locales et nationale. Réfutant les accusations de communautarisme, son fondateur, Nagib Azergui dit asseoir entre autres son combat contre la «banalisation de l’islamophobie». 

 

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

4 commentaires

  1. Posté par Jean-Paul SAINT-MARC le

    Que dix !
    En tout cas, des votes en moins pour les islamo-collabos, ils n’ont pas encore compris, quand les muzz n’auront plus besoin d’eux…
    Pour l’instant de nombreuses listes avec des muzz pur Momo, de la gauche extrême à LR les traîtres !

  2. Posté par Sertorius le

    ‘Le président des Hauts-de-France… avait demandé l’interdiction des listes dites «communautaires» lors de ces élections municipales. Le chef de file des LR au Sénat… avait déposé une proposition de loi allant également dans ce sens… Macron s’était refusé à cette solution.’

    Macron a donc aucune vrai intention de lutter contre l’Islam radicale comme il avait promis. Il ne veut même pas faire le moindre effort il semble.

  3. Posté par Jean-Francois Morf le

    Communautaires=mahométanes? Parlez français!
    Lisez sur Internet des résumés des performances de Mahomet: pour aimer le terroriste Mahomet, il faut être pervers narcissique, menteur, voleur, violeur, assassin, pédophile, polygame, zoophile, nécrophile, etc, etc

  4. Posté par Bussy le

    Où est le problème ?
    Fallait s’y attendre avec les musulmans !
    Et bien fait pour ces maires qui passaient tous leur caprices aux musulmans pour avoir leurs voix, c’est fini, les musulmans votent pour des musulmans maintenant, reste aux islamos-collabos à se convertir !

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.