Les Argoviens ont approuvé dimanche un durcissement des conditions d'octroi de la nationalité suisse. La loi approuvée par le parlement cantonal a été très clairement acceptée par 64,8% des votants. La participation s'est élevée à 38%.
La nouvelle législation prévoit notamment que les anciens bénéficiaires de l'aide sociale doivent attendre dix ans après le dernier soutien financier de l'Etat pour déposer une demande de naturalisation. Des exceptions sont prévues pour les cas de rigueur.
La Confédération et de nombreux cantons ont fixé ce délai à trois ans. Un délai de dix ans est déjà en vigueur dans le canton de Berne. A Bâle-Campagne et en Thurgovie, le délai est de cinq ans.
Nos remerciements à Info et à Patrick Payerpacher
Qu’attend l’UDC pour lancer une initiative fédérale afin d’instaurer cette règle dans toute la Suisse. En effet, j’en ai ras-le-bol de voir le nombre de naturalisés à Genève qui n’ont aucune formation professionnelle et n’en auront jamais, qui bénéficient d’une forme d’aide sociale (logement, assurance maladie, SPC, Hospice général, soit environ 90% des naturalisés dans ma commune), qui ne connaissent strictement RIEN à notre pays et s’en fichent éperdument, leur seul intérêt étant la sécurité financière offerte par notre généreux pays. Mes collègues, plutôt de gauche, sont tout autant dégoûtées que moi.
Dans les cantons romands, le fait d’être un cas social accélère la procédure de naturalisation et chaque inscription au casier judiciaire est un atout.
Un durcissement? Je rigole, en étant Suisses ils sont moins bien lotis.
Peu rassurant quand plus de 50% des gens à l’aide sociale sont des étrangers. Ils ne devraient pas qualifier pour la citoyenneté un point c’est tout.