Pour justifier le silence de sa rédaction au sujet de l’affaire Mila, la rédactrice en chef des Inrocks a invoqué un changement de ligne éditoriale, “recentrée sur la culture”…
Les médias de gauche, d’ordinaire si volubiles, se font étrangement silencieux depuis l’éclatement de l’affaire Mila. La plupart d’entre eux (pour ne pas les citer : Le Monde, Télérama, Les Inrocks, Mediapart, Libération…) ont fait le choix d’aborder le sujet avec parcimonie, n’y consacrant qu’un ou deux articles, comme le fait remarquer le site Arrêt sur images. Et pour justifier cette position, certains médias ont fait preuve d’une mauvaise foi certaine.
Une couverture sur Trump en janvier
C’est notamment le cas des Inrocks, dont la rédactrice en chef Marie Kirschen, a été contactée par le site. Sans complexe, elle l’assure : « On s’est vraiment recentrés sur la culture il y a un peu plus d’un an, il y a beaucoup moins de papiers sur des thématiques sociétales ou politiques ». Un rapide coup d’œil sur le site internet du magazine suffit à constater qu’il s’agit là d’une très mauvaise excuse. « Quand le coronavirus rime avec racisme anti-asiatique », « L’énorme coup de gueule de Ruffin contre LREM », « 10 preuves que la grève à la française a de la gueule » ou encore « A Calais, les migrants prennent le large par désespoir » : la plupart des articles de la rubrique « actu » parlent… de politique et de société.
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La presse est aux ordres !
La main-mise de quelques milliardaires sur les médias et le tour est joué !
Informons-nous réellement à la source ou sur les sites de réinformation tel que lesobservateurs.ch !
L’affaire Mila aura mis crûment en lumière la lâcheté et la trouille de ces élites bien-pensantes.
En fait, ça n’est même pas par idéologie ou manoeuvre qu’ils donnent l’Europe aux islamistes, c’est par trouille et veulerie !
Et ils sont tous atteints gravement, de la gauche à la droite !