Ndlr. Afin d’éclairer et de contextualiser politiquement et idéologiquement l’intervention de l’invitée du jour, 23.1.2020. de la matinale de la RTS, Anna Stünzi, la nouvelle présidente (Verte pastèque) du “think tank” Foraus (forum de politique étrangère) nous la précédons d’une analyse de ce genre de mouvements présentée sur notre site il y a quelques mois. Il s’agit de la transcription d’un EclairageUW du 29.3.2019.
L’émission du 23.1.2020 de la RTS, une illustration exemplaire, se trouve en fin d’article.
Cadrage de cette émission du jour, du 23.1.2020, de la RTS à la lumière de la transcription libre de mon Éclairage UW du 29.03.2019 qui portait précisément sur la nature et le rôle réels de ces minorités agissantes qui se présentent comme des agitateurs d'idées neutres cherchant à proposer des solutions à certains problèmes du moment !
A. La transcription de l'EclairageUW du 29.3.2019 : interview de Uli Windisch par Jordi (J.)
La démocratie directe confisquée par les « mouvements citoyens » et les médias du service dit « public »
J. Vous étiez aux assises des Gilets jaunes et vous êtes intervenu sur la question de la démocratie directe, mais aujourd’hui est-ce que l’exemple suisse de démocratie directe n’est pas un peu menacé ?
UW. Effectivement, et c’est une question fondamentale que très peu de gens se posent, même en Suisse. À Paris, aux assises des Gilets jaunes, j’ai eu le temps d’exposer les potentialités de la démocratie directe, qui suppose l’initiative populaire et le référendum, mais je n’ai pas eu le temps de dire que cette démocratie directe connaissait en ce moment même un certain nombre de difficultés qui pouvait être très importantes, voire la mettre en cause. Il est donc utile de montrer ce qui peut se passer avec cette démocratie directe lorsque certains acteurs essayent de la dévoyer, parce qu’elle ne correspond pas aux objectifs politiques, en l’occurrence des autorités et de divers types de mouvements qui ont un surpoids politique absolument démesuré et non légitime.
J.Ces associations qui aujourd’hui attaquent cette démocratie directe, quelles sont-elles ?
UW. Ces attaques sont indirectes, subtiles, elles sont toujours présentées sous un angle positif… Ces associations n’attaquent pas directement la démocratie directe ; elles s’intitulent « mouvement citoyen », « courage civil », « société civile », utilisant toute une série de termes autour de l’idée du « citoyen actif », et pensent qu’elles-mêmes représentent cette société civile et sont seules à la représenter. Or, derrière ces mouvements qui se battent sur des thèmes qui correspondent en fait à la vision générale actuelle qu’on retrouve un peu partout dans le monde, on voit que sont à l’œuvre les mondialistes, qui prônent un libéralisme inconditionnel, sont antisouverainistes et antipatriotiques. Pour eux, les pays, les nations, les cultures nationales n’ont plus aucune importance, ils n’y font jamais allusion ; ils se battent sur des thèmes propres au libéralisme et plus précisément au libéralisme-libertaire, avec toutes ces nouvelles revendications sectorielles, comme celles des mouvements LGBT, et ces « valeurs » morales nouvelles, évidemment inconditionnellement pour l’avortement, mais aussi très immigrationnistes. On l’a vu récemment, lorsqu’ils ont essayé de faire pression pour que le gouvernement suisse approuve le pacte sur l’immigration, qui aura des conséquences inouïes. On a affirmé que rien de ce qui est dans ce pacte ne serait obligatoire, mais on voit qu’il devient déjà de plus en plus contraignant !
Ces mouvements, qui ont pour noms « Operation Libero », « Foraus », « courage civil » « Appel citoyen », etc., prétendent militer pour une démocratie inclusive. Ils veulent jouer un rôle central, et il serait parfaitement compatible et bienvenu dans une démocratie que les citoyens soient actifs. Mais – et le mais est absolument capital –, ces mouvements sont présentés de manière dithyrambique et enthousiaste par les médias du service public. En Suisse, ce que beaucoup de gens ne savent pas, il y a très peu de concurrence au niveau des médias ; en ce qui concerne la radio et la télévision, il y a un service étatique très fort et ces mouvements citoyens se sont battus pour qu’on persévère avec un service public médiatique unique, qui bénéficie d’un budget gigantesque, et ce service public médiatique le leur rend bien aujourd’hui, ce qui engendre un gros problème de légitimité.
Ces mouvements interviennent régulièrement et donnent même des leçons aux syndicats, par rapport à l’Union européenne, par exemple ; ils sont très pro-Union européenne. Imaginez un peu ! La Suisse n’est pas membre de l’Union européenne – on connaît toutes les contraintes que suppose l’Union européenne, toutes ses difficultés –, eh bien ils militent très fortement pour que la Suisse signe des accords institutionnels qui auront pour effet que la Suisse sera encore plus soumise à l’Union européenne, tout en prétendant que ce n’est pas vrai et que ça permettra simplement à la Suisse de mieux fonctionner… Ce sont des mouvements soumis au mondialisme, à l’Union européenne, mais les citoyens ne se rendent pas encore compte des conséquences qu’auront leurs activités. Il est assez extraordinaire de voir que dans les émissions politiques importantes, dans les débats, avec les différents partis et les différents acteurs politiques, ces mouvements, qui n’ont aucune légitimité, sont présents et interpellent, critiquent même parfois sévèrement les autres partis, en particulier l’UDC, le premier parti politique de Suisse, un grand mouvement populaire, qu’on appellerait aussi populiste par certains côtés. Ils ont un poids absolument incroyable ! Ils se disent ouvertement antipatriotiques et sont d’ailleurs, on peut le dire, par bien des côtés, anti-Suisse, tellement ils défendent l’internationalisme et une immigration inconsidérée. D’ailleurs, ces mouvements sont nés parce que les citoyens suisses ont accepté, lors de la votation sur l'une de ces initiatives populaires, l’initiative contre l’immigration de masse, et ils se sont dit qu’il fallait lutter là-contre, bien qu’on soit à une époque où beaucoup de gens voient bien qu’il faut limiter l’immigration – et la criminalité qui va avec, il faut quand même oser le dire. Eh bien ! pour ces mouvements dits « citoyens », dits « société civile », il faut cesser avec cette image de la Suisse qui serait un musée en plein air. Ils voient la Suisse comme un musée en plein air! Et pensent que la Suisse incarnerait une sorte de « repli national ». C’est cette image très négative de la Suisse qui est mise en avant par les médias du service dit public, alors que ce même service public rend beaucoup plus difficile la défense des thèses des mouvements nationaux, patriotiques, de ceux qui défendent la Suisse, un pays qui a quand même 700 ans d’existence et qui est un modèle reconnu partout, et souvent envié, avec la démocratie directe.
On est là face à un problème dont très peu de gens encore se rendent compte. Il y a actuellement plusieurs initiatives en cours : par exemple, nous allons voter sur une loi de l’Union européenne qui rend la possession de certaines armes plus difficile. Eh bien ! un vaste mouvement, une initiative populaire, un référendum ont voulu s’y opposer, s’y sont opposés, mais ces gens-là, de nouveau avec l’aide des médias, des acteurs officiels, du gouvernement, affirment que cette loi ne changera rien dans le fond, qu’il faut soutenir cette limitation de l’Union européenne, qui est bienvenue, et que sinon la Suisse devra sortir de Schengen. Enfin, toute une série d’arguments qui ne tiennent pas debout ! C’est vraiment une militance très forte, avec des acteurs « progressistes », mais complètement coupés des couches populaires. Certains devraient pourtant se rendre compte qu’il n’y a jamais en Suisse, pays encore riche mais avec 600 000 pauvres, la moindre initiative pour améliorer la condition des couches les plus démunies.
Voilà des gens qui, au nom de la démocratie directe, sont en train de s’attaquer aux fondements mêmes de cette démocratie directe, parce qu’ils ont une vision incompatible avec l’autonomie, la souveraineté du peuple, et bien sûr avec celle des mouvements patriotiques, qui eux n’ont pas ces avantages, ne sont pas systématiquement portés aux nues par le service public officiel. De plus, comme il n’y a pas de concurrence médiatique, pas de médias conservateurs comme aux États-Unis et comme dans d’autres pays, cela pose un problème dont les Suisses eux-mêmes devraient prendre conscience. Il faut savoir qu’en France, quand on parle du RIC (référendum d'initiative citoyen), les autorités ripostent et disent que c’est très bien, mais pas sur des problèmes importants ; ils ne veulent donc pas de vraie démocratie plus directe.
Ce qui signifie que ces gens-là, qui se prétendent ouverts, progressistes, sont en réalité anti-Suisse, antipatriotiques, internationalistes, et on peut se demander s’ils ne réalisent pas qu’il y a dans leur attitude une forme de trahison par rapport aux fondements mêmes du pays, et envers nos ancêtres qui se sont battus pour ce modèle. Ils mettent en cause certains de ses aspects tout à fait fondamentaux, alors qu’à l’étranger on est en train d’idéaliser, de mythifier ce modèle, dont l’existence même est vraiment en danger, ce qui a motivé le titre de mon dernier livre : La Suisse brûle.
23.9.2019
B. Illustration supplémentaire, un exemple du jour : ce matin même, 23.1.2020, la RTS a donné la parole, mis en valeur et en scène, en tant qu'invitée privilégiée du jour, la nouvelle présidente (militante politique des VERTS de père en fille) du "think tank" Foraus, prétendument neutre et ne voulant que "favoriser les débats et proposer des solutions" sur des questions de politique internationale. En réalité, il s'agit de l'un de ces groupements libéral-libertaire, "progressiste", pro-UE, mondialiste, internationaliste, etc. et à qui les médias du Service dit public donnent la même place, voire une place plus grande encore, qu'aux responsables de certains grands partis politiques (comme l'UDC évidemment) dans les principales émissions d'information de nos médias.
Ces groupements veulent explicitement lutter, avec l'appui financier des grandes organisations économiques et d'autres sources moins claires... contre les initiatives populaires patriotiques, souverainistes, opposées aux migrations de masse, aux vagues de clandestins et autres "migrants". Bien sûr ils prétendent être au-dessus des partis et des idéologies!
Mais une grande partie des citoyens n'a pas encore compris la vraie nature et les vrais objectifs anti-patriotiques de ces groupements qui se disent créateurs et agitateurs de débats neutres et impartiaux...
Ecouter l'émission de ce matin avec l'invitée privilégiée de cette nouvelle présidente du groupe "Foraus", oui voraus , soit en avant toute pour une Suisse européenne et mondialisée , libérale libertaire, progressiste, etc. :
On a affaire ici à de vrais spécialistes d'une nouvelle langue de bois propre à ce genre de groupement avec des objectifs clairs mais implicites, voire dissimulés pour tenter de les rendre plus acceptables, nécessaires et légitimes.
Ainsi on recherche la "concordance", en fait amener le plus grand nombre possible de citoyens puis de votants à leurs objectifs. On va identifier des thèmes, pas n'importe lesquels!, créer des expertises, on se veut scientifique -instrumentalisation de la science à des fins idéologiques. On nous dit que l'Accord institutionnel de la Suisse avec l'UE est déterminant -ça devient déjà un peu plus clair. Comme cette nouvelle présidente fait une thèse en écologie, l'expertise devient "plus profonde". On veut" lancer des idées " (mais pas n'importe lesquelles). En clair dicter l'agenda politique de l'espace public.
Chose extraordinaire, on se vante d'avoir de très bons contacts avec les administrations fédérales et les politiques de première importance, jusqu'au Conseil fédéral. Sont-ils neutres , ont-ils des discussions même avec l'UDC? Oui, finalement la présidente a réussi à trouver un seul exemple.
Vise-t-elle une carrière politique ? Chaque chose en son temps. Mais on est au-dessus des partis.
On insiste à chaque instant sur la rigueur des analyses, les données retenues sont des faits scientifiques ( comme s'il y avait unanimité en science sur les problèmes les plus chauds et justement disputés de manière virulente et polémique; la science a bon dos).
L'idéo-logique a une autre logique que la science mais l'argument de la science pour mieux faire passer une idéologie est connu.
Finalement on signale que l'on prend aussi le train et non l'avion. Greta n'est pas loin et en ce moment elle est même à Davos.
Et last but not least, les médias sont bien sûr au service de ces groupements, avec enthousiasme même, tout en posant bien sûr 1-2 questions qui se veulent interrogatives et non simplement d'approbation; ils participent comme pour Greta à en faire des modèles, parfois même des messies, voire des sauveurs, etc., etc. La mécanique est bien rodée et les citoyens finissent apparemment par se laisser charmer. C'est là peut-être le problème majeur!
Il faudrait enfin faire une étude afin de déterminer les invitations respectives faites par les médias aux différents camps en présence sur chaque problème brûlant. La réponse est connue d'avance mais on aimerait bien qu' enfin l'énorme déséquilibre apparaisse concrètement et de manière chiffrée. Pour cela on peut attendre encore longtemps, mais où est alors la démocratie? Il est vrai que cette dernière gêne de plus en plus ces acteurs-là qui aimeraient tellement se passer de cette dernière tout en le niant bien sûr énergiquement.
Une prévision, pour une fois : sans médias objectifs, équilibrés et de droite, il sera de plus en plus difficile de faire accepter des initiatives patriotiques, souverainistes défendant avec force les fondements les plus essentiels de la Suisse car ces "think tank" avec l'aide massive des grands patrons et des médias massivement de gauche et "progressiste" développent une propagande tellement massive que de moins en moins de citoyens réussiront à résister à ce véritable tsunami économico-politico-médiatique.
Uli Windisch, 25.1.2020
La RTS Télé poubelle bourrée d’homosexuels de tout bord et de pedophiles soigneusement entretenu par les politiques, la pub de tout genre… à vomir!
Et surtout à ne plus regarder et la laisser mourrir…
Soyez courageux et regardez d’autres chaînes bien plus instructives…
DICTATURES ET ASSERVISSEMENTS AU SERVICE DES PERVERS CRYPTO-COMMUNISTES QUI AVANCENT COMME TOUJOURS MASQUES MÊME ET SURTOUT A LA RTS bien connue pour ses pédophiles soigneusement cachés durant des décennies.
Les crypto-communistes au sein de la TSR, c’est le syndicat des pervers en toutes matières dont les obsessions dominent tous les actes du quotidien au détriment de l’action au travail et à la création de richesse sociales et non d’enrichissement par spéculation et subventions, pour maintenir et exacerber les divisions sociales.
Ce dépotoir « intellectuel » est une niche largement occupée parce qu’énormément subventionnée, au détriment des acteurs véritables de la richesse par le travail. Ici L’EUROPE, L’ONU est les ONG HCR etc.y apparaissent réellement soutenus comme la citadelle du gouvernement mondial investie par LES COMMUNISTES. Ce système qui est parfaitement en accord avec l’asservissement des masses, par l’alcool, les drogues, les tares liées à la sexualité etc. QUI NE PRODUISENT AUCUNE RICHESSE, MAIS SE COMPLAISENT DANS LEUR PILLAGE PAR NÉCESSITÉ PUISQU’ILS NE FOUTENT RIEN, SINON D’AVANCER SOUS PRESSION DE LEURS OBSESSIONS visant à DIVISER POUR RÉGNER. .
ET DANS CE BASTRINGUE POLITIQUE LES FEMMES ONT UNE RESPONSABILITÉ MAJEURE. Raison pour laquelle elles sont devenues l’objet de toutes les attentions encore nécessaires à la DIVISION SOCIALE largement cultivée à la TSR. Pensez seulement à quels objectifs extrêmes les tares sexuelles peuvent mener en visitant l’affaire Bettencourt. Avec Google c’est L’affaire Woerth-Bettencourt histoire de cacher la merde au chat. MAIS LA RÉALITÉ REMONTE A LA CAGOULE, L’EXTRÊME-DROITE AVEC MITTERRAND QUI PASSE ENSUITE A L’EXTRÊME GAUCHE MAIS TOUJOURS EN FILIGRANE LE POIDS IMPOSANT DE SES AFFAIRES DE CUL ET DES ASSASSINATS QUI Y SONT AUSSI PARFOIS LIES.
Le pillage de la mère BETTENCOURT n’a rien à voir avec Woerth En chiffres, C’EST PLUTOT L’AFFAIRE BANIER. L’ARGENT N’A PAS D’ODEURS, CE N’EST PAS TOUT A FAIT EXACTE… IL PEUT PUER ! https://www.liberation.fr/medias/2010/12/31/1-milliard-d-euros-le-montant-des-dons-a-francois-marie-banier_703922 1 milliards d’euros soustrait pour entretenir des pédés, voilà qui démontre le poids de la perversité sexuelle, de ses mécanismes totalitaires et de ses appétits illimités pour subvenir au maintien des perversions. C’est aussi pourquoi la politique est autant tentante… pour tous ces pervers qui se servent avec la corruption et l’aide des médias sans être jamais réellement sanctionnés. https://www.lemonde.fr/societe/article/2016/05/23/au-proces-bettencourt-l-histoire-d-une-amitie-trahie_4925010_3224.html Et si les procès ont mis cette affaire en veilleuse et que ses pervers se sont tout de même gravement enrichis, c’est que l’image de marque de l‘Oréal était en péril aussi détriment des revenus futurs des légitimes légataires. Le clito de la Salerno, les dépenses pour les panneaux « genrés » https://www.20min.ch/ro/news/geneve/story/Le-picto-des-passages-pietons-change-de-sexe-30990700 tout ceci démontre aussi LE MÉPRIS DU PEUPLE PAR CES PERVERS MINORITAIRES, QUI GONFLENT LA BAUDRUCHE EN PERMANENCE POUR MIEUX LEURRER LES ÉLECTEURS. VOTER CONTRE L’IMPOSTURE DE L’HOMOPHOBIE, C’EST AUSSI ASSURER L’AVENIR DANS UN SENS PLUS PROFITABLE A LE DROIT A L’EXPRESSION DES LIBERTÉS PUBLIQUES, DE PLUS EN PLUS RÉDUITES. L’expansion des taxes, des impôts court symétriquement avec celle des lois scélérates, ce n’est pas un hasard !
Concernant le manque d’objectivité de l’information via la rts, il faudrait créer un observatoire externe qui , à chaque manquement, signale le problème et nous fournisse un formulaire de plainte formelle à télécharger et à envoyer signé à l’autorité compétente.
J’imagine que le plus dur sera de trouver des volontaires pour écouter cette m… plusieurs heures chaque jour.