L'objectif est de débattre de la facture sociale et exiger que le canton reprenne à sa charge la totalité des quelque 820 millions de francs de l'addition pour 2020, au lieu du principe "moitié-moitié" actuel. Des communes comme Crans-près-Céligny, Rolle et Bursinel ont récemment menacé de ne pas payer leur part de cette facture sociale.
"Plus de 160 personnes représentant 114 communes vaudoises ont participé à ces assises", soit plus du tiers des 309 communes du canton, se félicite Robert Middleton, interrogé par Keystone-ATS. Le syndic de Crans-près-Céligny est à l'origine des assises avec son homologue rollois Denys Jaquet. Les deux responsables ont également créé le groupe de réflexion "Mouvement contre la facture sociale".
"C'est un gros succès et un message fort envoyé au Conseil d'Etat pour dire que la situation actuelle ne peut plus durer et que des réformes rapides doivent être mises en place", affirme-t-il. "C'est un indicateur du ras-le-bol général des communes, dont beaucoup s'endettent et doivent commencer à emprunter pour faire tourner le ménage communal", constate-t-il.
>> Lire aussi: De nombreuses communes vaudoises contraintes de se serrer la ceinture
Etat d'urgence déclaré
[...]ats/ani
De nombres communes vaudoises doivent se serrer la ceinture !
Cela signifie MOINS d’investissement pour les routes ou les trottoirs !
MOINS d’investissement dans les bâtiments scolaires et ses services …
En clair cela signifie une BAISSE de la qualité de la vie pour NOUS, chez NOUS !
UN BON EXEMPLE A SUIVRE pour les communes ou communautés de communes françaises. Tous les journaux résistants français devraient “s’emparer de votre article. Ca apporterait de “l’eau au moulin de la démocratie française”.
En lisant l’article de la RTS avec le lien (de nombreuses communes contraintes de se serrer la ceinture), le journaliste écrit ” Soit les frais de l’aide aux seniors, aux handicapés, aux chômeurs en fin de droits, etc. assumés pour moitié par les communes et pour moitié par le canton.”, donc ce sont uniquement les “indigènes” qui y sont responsables, aucunement et sans mention des coûts exorbitants de l’immigration (aide sociale, coûts de la santé, de l’intégration, des dégâts, etc) !!! Incroyable de rejeter la faute sur des gens qui ont certainement travaillé et payé des impôts et assurances… Un vrai dégoût “anti-blanc”.
Bravo à tous ces syndics courageux. Ras le bol de se faire tondre.
Des communes commencent à comprendre l’immigration à la Sommaruga… mais elles n’osent pas parler vrai parce que ce serait politiquement incorrect!