C Politique, la suite - Mathilde Imer, Allain Bougrain Dubourg - 19/01/20
Cenator : Nous savons qu’Emmanuel Macron a initié un processus de consultations citoyennes sur divers sujets, dont l’écologie.
Dans le cadre de ce programme, 150 citoyens ont été tirés au sort, 51% de femmes, 49% d’hommes.
La répartition hommes/femmes dans ce programme montre une fois de plus que les féministes ne cherchent pas l’égalité, mais à prendre leur revanche sur une domination imaginaire et à instaurer la suprématie des femmes sur les hommes.
Le projet : réunions durant 7 week-ends de travail pour élaborer des suggestions qui vont être proposées au gouvernement « pour résoudre la crise climatique ».
Durant ces week-ends, des économistes, des chercheurs en sciences sociales ou politiques, des scientifiques viennent rejoindre les groupes pour les « nourrir » de leurs connaissances et leur soumettre les « données scientifiques » afin qu’ils en tirent les conclusions.
Cinq groupes de travail ont été mis en place autour des sujets suivants : se loger, se nourrir, consommer, produire-travailler, se déplacer.
De toute évidence, les scientifiques qui participent à ces week-ends sont des manipulateurs et des militants fanatiques de l’urgence climatique, tout comme les invités du plateau : Mathilde Imer, militante de la première heure pour une transition démocratique et écologique, Allain Bougrain Dubourg, journaliste et grand défenseur de la cause animale.
Les scientifiques qui viennent « nourrir » la discussion (et orienter les débats dans le sens voulu) sont des employés du GIEC, de Green Peace, etc.
« Les participants étaient à 3/4 des climatosceptiques, ils ont tous reçu une claque en les entendant ».
(Ce qui est tout à fait normal : d’après l’émission, c’est l’état de conscience des Français qui devait être corrigé.)
Un des participants sceptiques, photographe de métier, est devenu convaincu de l’urgence climatique. Alors qu’avant sa participation au groupe il pensait que l’homme n’avait pas d’impact, maintenant il pense que nous devons changer de système, changer l’économie, pour supprimer les injustices, mettre la nature au centre à la place de l’argent – d’ailleurs il attend cela depuis quarante ans.
Question : Est-ce que Macron va tenir ses engagements et partir dans un processus démocratique, dans une justice sociale, pour la transition écologique, va-t-il tenir compte les propositions des groupes, mais aussi de la justice sociale ?
Réponse : On peut enterrer les rapports d’experts mais pas la voix populaire !
Et « le peuple » est devenu expert en climat et en transition énergétique, puisqu’il se base sur les rapports des experts pour en tirer les conclusions.
Les participants, représentants du « peuple », ont donné des solutions, le gouvernement n’aura plus qu’à les appliquer.
Deuxième partie de l’émission : À la demande des bergers et des éleveurs, Macron a ordonné la cessation de l’implantation de l’ours dans les Pyrénées – ce qui suscite la révolte des écolos, qui crient à l’extinction de l’espèce.
Question : Comment concilier écologie pro et anti-ours ?
Vidéo France 5 (47 mn) :
https://www.youtube.com/watch?v=v7vDBzTmMqE
Discussions biaisées :
”Les scientifiques qui viennent « nourrir » la discussion (et orienter les débats dans le sens voulu) sont des employés du GIEC, de Green Peace, etc”
Intéressante propagande et manipulation des foules !