Suisse : Les migrants vulnérables ne sont plus renvoyés vers l’Italie

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Le Tribunal administratif fédéral (TAF) a émis des restrictions aux renvois vers l'Italie pour les familles ainsi que les personnes atteintes de graves problèmes de santé.

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Les juges admettent néanmoins des restrictions pour les familles ainsi que les personnes atteintes de graves problèmes de santé. Pour ces groupes de personnes vulnérables, les transferts vers l'Italie ne peuvent dorénavant être exécutés que lorsque les autorités italiennes ont préalablement fourni des garanties individuelles portant sur une prise en charge et un hébergement adapté.

20min.ch

Via le Facebook du PNS

7 commentaires

  1. Posté par G. Vuilliomenet le

    Donc les accords de Dublin n’ont plus de raison d’être.

  2. Posté par Socrate@LasVegas le

    CQFD: la chienlit vient de l’intérieur même de la Suisse…

  3. Posté par consterné le

    Prise en charge est hébergement adapté. De quoi ils parlent ces  » juges » . Et vos propres citoyens ont-ils le même traitement ? Des PLAFA’s, des curatelles arbitraires et abusives, manque des logements, des pères bafoués dans leurs droits, le refus de tout support, en sommaire le non-respect flagrant des droits de l’homme. Voila votre vrais visage humaniste. Une vraie honte et il se trouvent des gens qui place la Suisse au top des tops.

  4. Posté par Pierre le

    Quelle condescendance vis à vis de l’Italie.

  5. Posté par Dominique le

    Honte à notre Tribunal et à l’hypocrite UE qui n’appliquent pas la loi. En vertu des Conventions de Genève et du Traité de Dublin de l’UE, le premier pays dans lequel un migrant entre est celui qui a l’obligation légale de contrôler sa demande d’asile, de l’enregistrer et de lui offrir protection ou de l’expulser sans tarder, même si et justement, délibérément, il s’infiltre sans aucun papiers d’identité parce que les faux réfugiés et nombre d’ONG sont convaincus qu’être non identifié est un avantage pour pratiquer leur shopping migratoire en changeant d’identité. Pire, grâce à des opérations d’infiltration, les autorités italiennes ont acquis la preuve qu’un certain nombre de ces mêmes ONG coopèrent activement avec les réseaux mafieux de contrebande d’êtres humains, organisent des points et des heures de rencontre et même remettent les bateaux aux réseaux de passeurs. La réalité en UE est bien différente; trouvez des migrants qui arrivent en Italie, se voient refuser le droit de rester puis sont renvoyés dans leur pays d’origine. Cela est exceptionnel. Même un migrant reconnu coupable d’un crime en Italie n’est en général jamais rapatrié. Les autorités des pays frontaliers comme l’Italie, la Grèce et la France laissent tous ces migrants se dissoudre dans leur pays puis en Europe plutôt que de respecter la loi. La scandaleuse vérité est qu’une fois qu’un migrant a navigué en Méditerranée ou s’est infiltré en UE il est définitivement en Europe, à la charges des contribuables européens évidemment.

  6. Posté par Bussy le

    De plus en plus de Suisses ne vont plus chez le dentiste ou ne font plus de contrôles chez leur médecins, n’en ayant plus les moyens, et là on apprend qu’on soigne gratuitement des gens qui n’ont jamais cotisé à rien, qui n’ont jamais payé d’impôts…… elles sont belles les largesses sur le dos du plus grand nombre !

  7. Posté par OneShot le

    En d’autres termes, cela signifie que TOUT malade, d’où qu’il vienne sur la planète, doit être soigné et entretenu ad eternam par les « suisses ». Ni plus ni moins.

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