Une université va embaucher 20 de ses propres étudiants pour défier tout langage sur le campus pouvant être considéré comme raciste.
L’Université de Sheffield va payer des étudiants pour s’attaquer à ce qu’on appelle les « micro-agressions » – qu’elle décrit comme des « commentaires subtils mais offensants ».
Ils seront formés pour « mener des conversations saines » sur la prévention du racisme sur le campus et dans les logements des étudiants.
Le vice-chancelier Koen Lamberts a déclaré que cette initiative visait à « changer la façon dont les gens pensent au racisme ».
Les étudiants seront payés 9,34 £ de l’heure en tant que « champions de l’égalité raciale », travaillant entre deux et neuf heures par semaine pour s’attaquer aux « micro-agressions » dans l’université.
Il s’agit de commentaires ou d’actions qui pourraient être involontaires, mais qui peuvent offenser un groupe minoritaire.
Il donne des exemples de ce qu’il entend par microagression, pour donner une idée :
-« Arrête de faire des histoires de race avec tout »
-« Pourquoi est-ce que tu cherches quelque chose pour être offensé.e ? »
-« D’où viens-tu réellement ? »
-« Je ne veux pas entendre parler de vos vacances en Afrique du Sud. Ce n’est pas du tout de là que je viens. »
-« Etre comparé.e à des célébrités noires auxquelles je ne ressemble pas »
Plutôt que de contrôler la parole des gens, l’université parle d’ « ouvrir une discussion ».
Elle dit que les rôles d’égalité sont créés en réponse à la demande des étudiants, en leur apprenant comment « aider leurs pairs à comprendre le racisme et ses répercussions ».
« Nous pensons qu’il est important d’être ouvert et honnête au sujet du racisme », a déclaré le professeur Lamberts.
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Via Fdesouche
Combien de coups de couteau à la gorge doit-on recevoir avant d’être considéré comme une victime du racisme ?
Ils ont vraiment de l’argent à foutre en l’air, ces cons !
Est-ce convenable de demander à ces étudiants s’ils sont encore conscients d’être là pour étudier ?
La Gestapo va faire des ravages permis NOS libertés !
Souvenons-nous de Soljenitsyne expliquant comment dans le bagne du Goulag les prisonniers punissaient de mort les mouchards. Sans aller si loin, des étudiants sans conscience se laissant aller à cette recherche ignoble sont connus tôt ou tard : une bonne correction avec petit séjour à l’hôpital suffirait peut-être à les remettre sur le chemin de la décence.
C’est comme ça que la tyrannie s’installe : quand des abrutis ne réalisent même pas que cela se retourna contre eux. De plus qui sont-ils pour dire autres ce qu’ils ont le droit de dire et d’entendre ?