Espagne – Les agresseurs et leurs victimes se sont rencontrés dans un bar de Murcie le soir du Nouvel An, et plus tard dans la nuit se sont rendus dans deux appartements où les agressions ont eu lieu.
La police espagnole a arrêté trois hommes soupçonnés d’avoir violé et agressé sexuellement trois sœurs américaines le soir du Nouvel An dans la ville de Murcie, au sud-est de l’Espagne. Les victimes présumées, âgées de 23, 20 et 18 ans et originaires de l’Ohio, ont signalé le viol aux autorités, déclenchant une chasse à l’homme qui a duré environ 24 heures jusqu’à l’arrestation des suspects.
Les trois femmes ont rencontré les hommes dans un pub le 31 décembre. Une des sœurs est partie avec un des hommes pour se rendre chez lui. Les deux autres sont restées dans le bar jusqu’à leur départ avec les deux hommes restants. Ils se sont dirigés vers l’appartement où logeaient les Américaines et prévoyaient de poursuivre leurs célébrations du Nouvel An. Les femmes ont déclaré avoir été violées par ces individus qui, selon des sources de la délégation du gouvernement central à Murcie, sont d’origine afghane.
Selon La Opinón de Murcia, deux des femmes ont été violées par voie vaginale et les agresseurs présumés n’ont pas utilisé de préservatifs. Ainsi, les preuves ADN pourront potentiellement étayer le récit de ces victimes. La troisième femme, selon le même journal, n’a pas été violée par voie vaginale, mais a été agressée sexuellement et battue.
(…) Une des sœurs vivait à Murcie pendant ses études universitaires et devait retourner jeudi aux États-Unis. Les deux autres rendaient visite à leur sœur.
Via http://www.fdesouche.com/1319939-murcie-espagne-trois-soeurs-americaines-agees-de-18-a-23-ans-ont-ete-battues-et-violees-le-soir-du-nouvel-an-trois-afghans-arretesFdesouche
Ce que j’en pense ?
Partir avec des afghans pour faire la fête et les emmener dans leur appartement, franchement, soit elles sont bêtes soit elles sont…très bêtes…
Pire, elles ne lisent rien d’autre que leurs tweets et sans doute les Kardashian pour inviter des hommes chez elles sans les connaître.
que l’on pense, que l’on écrive, le résultat et le constat sont les mêmes : ces articles sont vrais et quand on lit Jean Montaldo sur F. Mitterrand et bien la réponse est là