Après l’imposture climatique de Claude Allègre, on doit subir l’imposture des adeptes scientistes de la réchauffologie. C’est l’art de la tromperie qui consiste à faire passer pour scientifique une théorie qui ne l’est pas. L’imposture scientifique est à la science véritable ce que la musique militaire est à la musique de Mozart.

La supercherie réchauffiste se résume à l’art de jouer du pipeau et à répandre des balivernes. C’est l’art de la tromperie des charlatans et des techniques sophistiquées des experts en mystification.

Trop rares sont les imposteurs sincères et les illuminés qui croient vraiment à ce qu’ils racontent.

Une question se pose immédiatement : la supercherie réchauffiste est-elle immorale ?

La plupart des imposteurs et autres charlatans refusent les fondements d’une réflexion sur leur propre pratique, de peur de se démasquer eux-mêmes et leurs propres impostures comme aussi celles des autres.

En diffusant les mensonges de l’imposture scientifique, on risque de contribuer à son développement.

Sur le plan de l’éthique scientifique, cela doit être considéré comme un bien, car un public informé se laissera abuser moins facilement. Car le résultat fiscal de la supercherie réchauffiste est facile à prévoir !

On sait que la supercherie réchauffiste présente de nombreux avantages pour créer de nouveaux impôts. La supercherie réchauffiste coûte beaucoup plus cher que la vraie science. Avons-nous les moyens de nous offrir une telle fantaisie ? L’imposture scientifique ne résout pas la crise climatique, elle la favorise.

La supercherie réchauffiste a résolu le problème du chômage des nombreux faux chercheurs et des faux labos du GIEC qui sont grassement subventionnés par les taxes et impôts mondialisés. La cause directe de ce fléau réside dans le développement des fausses nouvelles réchauffistes pour faire peur et alarmer tout le monde, et qui travaillent l’opinion mieux que Bercy pour créer de nouveaux impôts réchauffistes.

Les machines médiatiques de la propagande réchauffiste sont fabriquées par des imposteurs qui  veulent remplacer l’homme libre en démocratie par la dictature climato-gauchiste et la contrainte.

D’une manière générale, l’imposture réchauffiste fait diversion des grands problèmes de l’Humanité sans jamais vouloir leur trouver des solutions. Et pourquoi pas, pour les charlatans intégristes réchauffistes, vouloir prédire l’avenir, indiquer les numéros gagnants du loto, ou même vouloir guérir le Sida et le cancer ?

Malgré tous ces arguments, on peut craindre que les climato-sceptiques ne soient pas convaincus.

Pour ces irréductibles, l’idéal serait de tordre le cou à tous les imposteurs qui se prétendent les sauveurs de la Terre dont la pauvre psychologie évoque le puritanisme ou le fascisme écolo-révolutionnaire.

Plus une société est puritaine, plus les charlatans sauveurs de la Terre y exercent leur fascination.

Le puritanisme de l’imposture réchauffiste ne peut que renforcer le phénomène d’opposition résolue des climato-sceptiques. Malgré cela, la plupart des charlatans sauveurs de la Terre ont tendance à s’abriter derrière un mur de convictions absurdes qui fait que les meilleurs arguments n’ont aucune prise sur eux. Les attaques de leurs adversaires climato-sceptiques ne font que les confirmer dans leurs mensonges absurdes. Ces réactions passionnelles s’observent même chez des scientifiques supposés objectifs et impartiaux.

« La situation est urgente, dit le glaciologue Éric Rignot. L’Antarctique contient un volume de glace qui peut faire monter le niveau des mers de plus de 60 mètres. (???) L’emballement de la fonte a commencé. Il est encore possible d’éviter les scénarios catastrophes, mais nous n’avons pas de temps à perdre. »

« La pratique politique, a écrit le journaliste H. L. Mencken, consiste exclusivement à susciter l’effroi de la population (et faire naître chez elle une demande de sécurité) en inquiétant les gens par d’innombrables menaces parfaitement imaginaires. » Si on sait bien que les craintes ressenties par les gens peuvent être irrationnelles, il est vrai que la politique s’appuie sur des émotions et pas sur la logique ! Dès lors, il apparaît judicieux, pour les politiciens, d’user et d’abuser de ce procédé très efficace qu’est l’exagération des risques.

Chris Hedges : « Comment sauver la planète et nous sauver nous-mêmes ! Seule la rébellion peut mettre fin à la dégradation du climat et à l’effondrement social ! Ce qu’une grande partie d’entre nous sait être vrai mais n’exprime jamais : « Si nous ne remplaçons pas rapidement les élites dirigeantes, cela en sera fini de nous en tant qu’espèce. C’est un argument convaincant et bien argumenté en faveur de la rébellion mondiale, la seule forme de résistance qui peut nous sauver de l’effondrement des écosystèmes dû à l’activité humaine et du génocide. (???). L’incapacité des militants écologistes à affronter le pouvoir mondial des entreprises pour avoir un impact significatif fait que nous allons vers un écocide. Le système corrompu va tous nous tuer (???) si nous ne nous révoltons pas par une rébellion de survie pour l’espèce humaine ! (Extinction Rebellion)

« L’industrie de l’élevage rivalise avec l’industrie des combustibles fossiles comme l’une des causes multifactorielles les plus importantes de la catastrophe climatique. (???) Le danger est que si nous n’agissons pas, nous déclencherons des rafales de rétroactions climatiques ou des points de basculement après lesquels aucun effort pour réduire les émissions ne sera fructueux. Les combustibles fossiles doivent être éliminés de l’économie par l’interdiction de tout nouvel investissement dans l’exploration et leur développement. (???) Les centrales au charbon et au gaz doivent être fermées d’ici dix ans. Ce processus nécessitera une réduction massive de la consommation d’énergie ce qui pourrait nécessiter un rationnement. (Totalitaire !) Ne pas résister, c’est être complice de ce génocide. Il faut combattre le pouvoir mondial des entreprises ! » (???)

Thomas Rabino, Marianne : « Lutte antisecte (réchauffiste) : La Miviludes bientôt privée du quart de ses effectifs ! Au sein de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, on s’interroge : pourquoi supprimer un organisme qui, en dix-huit ans d’existence, a prouvé son efficacité malgré un budget n’excédant pas les 500 000 euros ? Pourquoi réduire son personnel déjà peu étoffé pour le faire passer de 14 à 9 membres, alors que les 3 000 signalements de mouvements sectaires recensés en 2018 traduisent une hausse de 23 % par rapport à 2017 ? « Personne ne comprend le sens de cette dissolution de fait : chaque semaine, une église évangélique ouvre ses portes en France, avec des pasteurs autoproclamés qui prétendent « guérir l’homosexualité » (comme ceux qui veulent sauver la planète) ! La Scientologie vient d’investir 33 millions d’euros dans un siège social de 7 000 mètres carrés à Saint-Denis et le complotisme prolifère, porté par des mouvements sectaires très actifs sur internet », rappelle notre interlocuteur.

« En bref, la Miviludes est plus indispensable que jamais (contre l’Église de climatologie et les méfaits de la secte réchaufiste). Son existence paraît sérieusement compromise. « C’est la fin de la confidentialité pour les victimes et leurs familles », constate-ton en interne, où l’on parle de « mise au placard ». Le problème n’est pas qu’une question de locaux : « Jusqu’ici, les victimes des sectes venaient en toute confiance, on pouvait s’isoler pour échanger, et ils n’avaient pas à remplir toutes les procédures d’identification propres au ministère de l’Intérieur. La nouvelle organisation va en décourager beaucoup. » (Marianne, Thomas Rabino)

Devant les sectes réchaufistes, l’affrontement brutal est voué à l’échec. Il vaut mieux recourir à une critique argumentée de la supercherie réchauffiste appelée à créer de nouveaux impôts pour les migrants. En fait, pour la plupart des gens, la révolte est impossible et il leur est impossible de dire « non » au racket fiscal en dehors du mouvement de révolte des Gilets jaunes. Ce mouvement a mieux réussi que toute autre méthode.

Il ne faut pas seulement combattre les réchauffistes, on doit aussi comprendre les raisons de leur succès. Il est tentant d’invoquer le manque d’esprit critique et scientifique. Dans un sondage de 1982, plus d’un tiers des Français ont répondu OUI à la question : « Le Soleil tourne-t-il autour de la Terre ? » Les résultats du sondage montrent que nombre d’entre eux ont fait des études secondaires ou supérieures, et plus de la moitié ont reçu une formation scientifique ou technique. Mais le manque de connaissances n’est qu’un aspect secondaire du phénomène. L’esprit critique n’est pas proportionnel à l’étendue des connaissances.

Les mécanismes d’adhésion à l’imposture réchauffiste sectaire mettent en jeu le rapport à la vérité et à l’erreur, à l’authentique et au simulacre, à la manière de départager le réel du fantasme, la raison de la folie.

C’est pourquoi, les imposteurs en disent long sur les modes de pensée, les préjugés, les croyances, la transmission de pensée, les influences plus ou moins explicables, et surtout la désinformation officielle.

Parmi les contes de fées de la supercherie réchauffiste, on sait que les spéculateurs se sont penchés sur le berceau de la réchauffologie sectaire, afin de profiter de la manne financière des impôts nouveaux !

Le principal problème de la supercherie réchauffiste, qui voudrait se changer en certitude scientifique, c’est que la cause du changement climatique n’est pas connue et ne peut pas être observée. Personne n’a envie de mourir idiot, surtout s’il risque de cuire du fait de la supercherie réchauffiste et de brûler en Enfer !

Une vraie question : « Qu’y avait-il avant le Big Bang ? » La science classique est totalement centrée sur ce qui est observable à partir de l’univers tel qu’il est. Elle ne saurait expliquer la cause de l’univers !

L’esprit le plus cartésien n’y trouve naturellement rien à redire. Pas besoin de vulgaires superstitions pour rassurer l’humanité sur le sauvetage de la Terre pour le plus grand bonheur de ses habitants ! En réalité, la supercherie réchauffiste ne mène pas à grand-chose. Il ne faut pas confondre une bonne question et une vraie question. Une bonne question dans la vie de tous les jours, nous en rencontrons à chaque instant. Le gouvernement LREM est-il nul ? Etc. Les bonnes questions relèvent du domaine pratique, du quotidien. Ce sont des petites questions qui sont utiles et la réponse est souvent simple. Les vraies questions ont une autre portée : sur le sens de la vie, nos fragiles convictions, et elles nous confrontent à notre insondable ignorance.

Thierry Michaud-Nérard

(librement adapté de Michel de Pracontal, L’imposture scientifique en dix leçons (La Découverte, 1986)

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