Facebook censure à nouveau ‟Présent”

 

Tyrannie du politiquement correct

Pendant combien de temps encore Présent devra-t-il supporter l’incroyable censure à laquelle Facebook ne cesse de le soumettre ! Après avoir plusieurs fois interdit à nos lecteurs et amis l’accès de notre compte (voir Présent du 10 octobre), les petits commissaires politiques du milliardaire et mondialiste Mark Zuckerberg s’en sont à nouveau pris lundi à votre quotidien en supprimant deux articles de notre page et en menaçant de fermer notre compte.

Deux articles supprimés et une menace de fermeture

En cause, cette fois encore, deux reportages que nous avions consacrés à Génération Identitaire : le premier, paru dans Présent du 30 mars, sur l’action spectaculaire menée par ses militants à la CAF de Bobigny, le second, paru quant à lui dans Présent du 19 novembre, sur la manifestation qu’avait organisée GI contre l’islamisme à Paris, sous le nom « En marche vers la reconquête ». Dans les deux cas, l’article a tout bonnement été supprimé au motif que nous ne respections pas les… « standards de la communauté » ! Et le tout, accompagné d’un message nous avertissant que « la publication de (notre) page risque d’être annulée en raison d’infractions continues à (leurs) standards de la communauté ». Un comble, quand on pense à tout ce que Facebook et les autres réseaux sociaux charrient comme contenus scandaleux, immoraux, violents, pornographiques et islamistes. Ce week-end encore, c’est Twitter qui était ainsi épinglé pour avoir laissé circuler sur son réseau la vidéo d’une adolescente passée à tabac et violée par deux « jeunes » dans la cage d’escalier d’une cité ethnique de Morsang-sur-Orge, dans l’Essonne… Preuve que ce qui dérange avant tout la police de la pensée du web, ce ne sont pas ces contenus ignobles et insupportables, mais la liberté d’expression et de ton que tente de conserver la droite nationale dans une France qui prend de plus en plus des allures carcérales.

Une vaste entreprise de reprise en main médiatique

Ce n’est pas la première fois, vous le savez, que Présent est victime de cette dictature imposée par Facebook. En juillet dernier déjà, l’un de nos articles, qui évoquait l’« opération Alpes » menée par les militants de GI, sans aucun excès ni provocation, avait déjà été interdit par ce réseau social au motif qu’il allait – lui aussi – « à l’encontre (des) standards de la communauté sur les individus et organismes dangereux ». Autrement dit, qu’il aurait véhiculé un « message raciste et haineux » (voir Présent du 22 juillet). Une accusation totalement grotesque au vu du contenu mesuré de l’article, mais qui n’avait pas empêché Facebook de nous censurer à nouveau en août puis en octobre. Des suppressions d’articles qui, en se multipliant, et en se rapprochant dans le temps, montrent bien la gigantesque entreprise de reprise en main politique de la sphère médiatique opérée par l’équipe Macron depuis son arrivée au pouvoir. •

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