Un professeur d’université, accusé d’avoir dénigré le prophète Mahomet en 2013, et dont l’avocat avait été assassiné l’année suivante après avoir été menacé de mort durant une audience, a été condamné à mort samedi pour blasphème au Pakistan, où cette question est extrêmement sensible. Junaid Hafeez « doit être pendu par le cou jusqu’à sa mort« , peut-on lire dans jugement du tribunal de première instance de Multan (centre).
« Merci à Dieu, cette affaire est arrivée à sa juste conclusion« , a commenté le procureur Zia ur Rehman, interrogé par l’AFP. A Multan, des avocats ont distribué des sucreries au barreau de la ville en chantant « Allah Akhbar » (« Dieu est le plus grand ») ou encore « Mort aux blasphémateurs ». « Ce verdict est la victoire de la vérité« , s’est réjoui Airaz Ali, l’un d’entre eux.
En mai 2014, trois hommes armés avaient assassiné son avocat, Rashid Rehman, après que les avocats de la partie civile l’eurent menacé de mort durant une audience. « Les personnes impliquées dans le meurtre n’ont jamais été appréhendées« , ce qui est un gage « d’impunité pour d’autres éventuels justiciers en puissance«
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news.yahoo
Via Fdesouche
Et pendant ce temps en Suisse, certains politiciens voudraient que l’islam soit décrété d’utilité publique. Pôvres sots.
Vivement que cette religion d’amour, de paix et de tolérance prenne le pouvoir en Europe, ça fermera définitivement la gueule de nos élites bien-pensantes islamos-collabos effrayées à l’idée de se retrouver pendues….