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@Vautrin “…lorsque le délinquant appréhendé par la police devient une victime aux yeux des juges, c’est qu’elle est définitivement ruinée.”
Dramatiquement vrai…
De fait, il ne devrait pas exister de syndicat de magistrats. L’actuel “syndicat” est totalement perverti par l’idéologie gauchiste. La magistrature ne doit pas se mêler de politique, hélas l’intrusion des juges en politique est devenue la norme en Occident. La vie politique est constamment menacée par des chats-fourrés interprétant les lois selon leur bon plaisir et selon les intérêts de ceux qui actionnent leur caste en sous-main.
Toutefois, il est aussi patent que la police n’est plus utilisée dans son rôle régalien de sûreté, au service du bien commun. Sous Macron et son sbire de Beauvau, elle tend à devenir une milice armée de protection du régime. Cet état de faits n’est pas sans inquiéter de nombreux policiers, comme on le sait, car parmi eux il n’existe qu’une minorité de brutes épaisses heureuses d’obéir. Je veux croire que la majorité, un jour, refusera d’être utilisée comme une bande de nervis.
C’est donc sans discernement -mais peut-on imaginer qu’un juge rouge soit capable de discernement ?- que les chats-fourrés du syndicat de la magistrature parlent globalement des “violences policières”. Ils se gardent bien de désigner les vrais coupables, ceux qui donnent ordre à la police d’agir de manière violente.
Sans parler du laxisme judiciaire, chose honteuse et infâme, qui provoque l’ire des policiers !
Lorsqu’une société en arrive à ce point, lorsque le délinquant appréhendé par la police devient une victime aux yeux des juges, c’est qu’elle est définitivement ruinée.