Le groupe UDC refuse d’être le complice d’une fiscalité confiscatoire qui prend les Vaudoises et les Vaudois ainsi que les communes en otage et a donc décidé de refuser l’entrée en matière sur le budget 2020 au Grand Conseil. Aux yeux de l’UDC, il faut rendre justice aux contribuables en luttant pour une fiscalité moins confiscatoire. Les communes ont besoin d’un rééquilibrage canton-communes en particulier concernant la facture sociale. La recette de notre parti consiste à générer enfin la transparence nécessaire appliquant la règle du « décideur-payeur ». Le temps de lever le voile sur la gestion obscure des finances publiques par la majorité de gauche du Conseil d’Etat est venu.
Récemment, ce sont deux tiers des Vaudoises et des Vaudois qui se sont faits berner. En reprenant le coût des soins à domicile, l’Etat devait augmenter son taux de 1,5 point, hausse qui devait être compensée par la baisse identique du taux communal. Or, la facture sociale qui pèse de plus en plus sur leurs budgets ne permet plus aux communes d’honorer leur accord avec le gouvernement. Les communes ne peuvent plus assumer ces augmentations annuelles, le système est à bout de souffle. C’est une nouvelle fois par effet ricochet, le contribuable qui en fait les frais en endossant cette hausse d’impôt déguisée.
De plus, les lacunes de gouvernance de la péréquation intercommunale pointées du doigt par la Cour des comptes continuent de creuser les inégalités de traitement entre les communes.
En ajoutant à ces disfonctionnements des dépenses qui prennent l’ascenseur et une dette qui ne cesse d’augmenter malgré une conjoncture favorable, on prend tout bonnement le citoyen en otage. En refusant le budget ainsi proposé, l’UDC demande un rééquilibrage canton-communes avec plus de transparence, gage d’une décharge fiscale pour les Vaudoises et les Vaudois.
source:
Nous demandons juste MOINS d’impôts !
Nous demandons que les promesses soient tenues ! (Bien naïf celui qui croit les paroles des politicards !)
Nous demandons la transparence des comptes et spécialement celui des services sociaux qui enfle dangereusement …
Nous ne demandons pas la lune !