Un institut a mis au point un programme qui garantit l’égalité des chances en mélangeant au mieux les étudiants.
A Zurich, on constate de grandes disparités, selon les endroits, entre les jeunes qui fréquentent l’école. Ainsi, dans les quartiers privilégiés comme Zürichberg, le taux d’enfants allophones (qui parlent une autre langue que le suisse allemand) ou dont les parents ont un faible niveau de formation se situe en dessous de 20%, rapporte la «SonntagsZeitung».
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Appelé à se développer, l’outil pourrait être utilisé dans le futur à Berne, Bâle, Lausanne et Genève.
Et quand on aura mélangé tout ça, quid des lieux d’habitation ? Est-ce que ceux du Zürichberg devront laisser leurs belles demeures aux immigrants pour que tout le monde s’emmêle ?
Tout dépend de ce que l’on entend par “égalité des chances” à la condition que ca ne mène pas l’égalité des niveaux vers le bas. On dirait que c’est plutôt cela la préoccupation des gauches dans nos sociétés. Il suffit de voir combien d’enfants ont été sacrifiés par “ce programme” et ne savent plus “écrire”.
En dessus de 30% d’immigrés dans une classe, le niveau scolaire baisse. Aujourd’hui, dans beaucoup de classes, seul l’enseignant est Suisse.
Les régions où il y a encore une proportion significative d’indigènes, ce sont les quartiers “riches” ou de campagne. Donc ils vont faire comment ? Faire traverser la moitié du canton aux élèves pour préserver des quotas ?
De toute manière, ça ne peut pas fonctionner. D’une part car le problème est plus profond que la langue (culture, absence d’intérêt et de soutien scolaire, violence, trouble du comportement, retard de développement) et d’autre part il n’y a juste plus assez d’indigènes pour préserver ces quotas !
D’ailleurs, comme partout dans les pays qui subissent cette invasion, les parents qui le peuvent placent leurs enfants en école privée.
Je pressens quelques lettres de protestations bien senties de la part de certains parents.