François Bousquet : “Nous menons une guérilla culturelle”

Article publié le 26.10.2019
Rédacteur en chef d'Eléments, dirigeant de la Nouvelle Librairie, et fondateur des éditions éponymes, François Bousquet a écrit un essai intitulé "Courage, Manuel de guérilla culturelle" aux éditions de la Nouvelle Librairie

https://www.youtube.com/watch?v=ULNNyoOQAfw

2 commentaires

  1. Posté par Gérard Guichard le

    C’est même pas des questions de courage, blabla blabla, c’est des questions de rencoigner tout de petit monde venu de 68 et d’avant dans sa génétique! Enfin, si, ça doit être une question de courage mais c’est un peu comme arrêter de fumer…

  2. Posté par miranda le

    Merci de nous avoir indiqué cet ouvrage SALUTAIRE.
    Par contre, il est difficile d’accéder à la vidéo, alors si c’est nécessaire, on peut indiquer un autre lien : :https://www.delitdimages.org/courage-manuel-de-guerilla-culturelle-video/

    “Le vrai pouvoir aujourd’hui c’est celui de la production de la “parole autorisée”nous dit François Bousquet. On le sait à un tel point, que les médias que nous fréquentions sont devenues infréquentables. Merci aux journalistes du WEB, dont la carrière devient presque un sacerdoce..

    Il nous apprend aussi que les journalistes soutiennent le gauchisme culturel à 80 %, engendrant alors un vrai problème : celui d’une absence de pluralisme, quasi dangereuse.

    Et de pointer le MANQUE de courage dans nos sociétés, en citant le juge Falcone : “le lâche meurt plusieurs fois par jour, le courageux ne meurt qu’une fois”. Retrouvons le courage nous dit-il, cette vertu essentielle que nous avons abandonnée pour le plaisir du confort.
    Combien de civilisations sont mortes de cela?

    Il n’oublie pas de souligner le plus gros problème de nos sociétés :”nous sommes déliés socialement, nous pensons que nous pouvons SACRIFIER LE COLLECTIF” ce qui nous met en position de fragilité et” nous ne sommes donc pas à ce jour les chasseurs mais la bête traquée”. Parce que dans notre individualisme qui nous délie de l’autre, nous sommes seuls à assumer “le danger”.

    Ce qui est clair c’est que” la majorité a été mise sous le boisseau, la majorité est sequestrée”, nous dit-il. Les minorités veulent montrer le chemin et sont très favorisées par le système. Les minorités, deviennent aussi un système de dispersion, de diversion comme un autre qui permet d’éviter aux dirigeants de traiter les sujets qui préoccupent le plus le peuple, cette majorité qui peut faire encore homogénéité.
    Réflexions et analyses salutaires qui espérons le, secoueront nombre d’entre nous.

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