Cenator : La gauche a encore gagné. Malgré la baisse des demandes d’asile, il n’y a pas de démantèlement des structures d’accueil mais la tendance est au contraire à l’ouverture de centres de meilleure qualité :
https://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/futur-centre-migrants-cristallise-oppositions/story/10256712 (abonnés)
https://www.batimag.ch/rigot
https://www.rts.ch/info/regions/geneve/10698995-un-centre-d-hebergement-modulable-pour-migrants-inaugure-a-geneve-.html
Dans le cas de la nouvelle ci-dessous, le Conseil fédéral a élaboré un plan pour venir en aide aux femmes africaines demandeuses d’asile voyageant seules, enceintes ou avec enfants en bas âge. De même, l’ONG SOS Méditerranée a équipé son navire Ocean Viking d’une salle d’accouchement pour les migrantes africaines, tant l’événement accouchement lors des traversée de la Méditerranée est devenu fréquent.
Pour l’asile business et le discours officiel, il va de soi que toutes les femmes africaines enceintes jusqu’au cou, ou avec des enfants dans les bras, sont des victimes. Elles seraient victimes de violences, voire de viols, sur le trajet migratoire, trajet absolument inévitable car elles n’auraient pas d’autre choix que de venir demander l’asile en Europe.
Ce que l’asile business et la Gauche ne disent pas, et que personne n’ose dire, c’est que nous devrons ensuite payer pour elles ad aeternum. Cela pour la seule raison que ces Africaines ont décidé de venir profiter de notre mode de vie et de se faire entretenir par nous de A à Z. Et le mot magique qui contraindrait la population à travailler pour leur entretien s’appelle : le droit d’asile. Ce même droit d’asile qui permet par la suite de procéder au regroupement familial, si bien que la femme africaine monoparentale deviendra rapidement toute une smala.
Les chances pour que ces femmes migrantes s’assument financièrement sont de zéro, non pas proches de zéro mais zéro, sans parler de la différence de mentalité infranchissable, de leur incompatibilité avec notre culture. Cela est d’autant plus insurmontable que les migrants nourrissent un fort ressentiment envers nous, car ils imaginent que les Blancs sont responsables de tous les malheurs de l’Afrique et que si nous les aidons, c’est parce que nous sommes coupables et leur devons bien ça.
Fécondes, ces « richesses » vont continuer à faire des enfants chez nous, alourdissant la facture à chaque fois. Qui payera leurs retraites ? Peu importe, la Suisse est riche, et que la fête continue !
Combien d’assistés peuvent-ils encore se coller sur le dos des contribuables avant que notre société s’écroule ? Où est la limite à partir de laquelle la Suisse sombrera avec son navire rempli de poids morts ?
Il n’est pas difficile de deviner comment se comporteront ces masses assistées inassimilables, ces dizaines de milliers de clandestins, les inexpulsables, les trafiquants de drogue, une fois qu’ils n’auront plus leurs caddies remplis.
Mais le volet financier n’est pas le seul. L’aspect remplacement de population, la perte d'un chez-soi pour les autochtones est bien plus grave. Déjà maintenant, il y a une telle concertation d’étrangers dans certains quartiers de nos villes, que les Suisses ne se sentent plus chez eux.
Il est évident que ces migrants africains considérés comme vulnérables ne sont pas des victimes, mais des personnes qui ont compris comment vivre bien sans travailler, en se faisant entretenir par les Blancs. D’ailleurs, aux États-Unis, cette catégorie de migrantes qui utilisent une grossesse ou un enfant pour devenir inexpulsables est si connue qu’il existe déjà un terme consacré, celui d’« anchor babies » pour désigner ces enfants mis au monde pour aider leur mère à obtenir la citoyenneté.
La population suisse est sans défense face à la gauche et à nos droit-de-l’hommistes, qui savent parfaitement exploiter le côté émotif et moralisateur de notre culture pour nous fourguer cette charge mortelle. Atomisée par la perte de la cohésion sociale, lessivée par la propagande pro-asile des médias et la propagande climatique, la population est incapable de tirer les conclusions qui s’imposent lors des votations, elle n’arrive même pas à voir la véritable catastrophe en train de se dérouler sous ses yeux.
Grâce aux médias, à l’enseignement, à la répétition de mantras tels que « notre tradition humanitaire », « l’ADN de la Suisse», « les Conventions de Genève », « nos ONG », « la Suisse est un pays riche »... les gens sont empêchés de saisir, de voir, ce qui leur arrive.
Cependant, tôt ou tard, il ne nous restera plus que trois possibilités. Une partie d’entre nous, comme la grenouille, se laisseront cuire vivants dans la casserole, d’autres sauteront dehors à temps et choisiront, soit de faire le nécessaire pour récupérer leur pays, soit de devenir des exilés à leur tour (s’il reste encore des pays d’accueil).
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Le Conseil fédéral a élaboré un nouveau plan d'exploitation du domaine de l'asile en prenant en compte les besoins spécifiques des femmes, notamment pour les protéger de la violence.
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article complet: https://www.lematin.ch/suisse/asile-meilleur-accueil-femmes/story/23073196
“Au nom de la tradition humanitaire de la Suisse” La phrase fétiche de la Cruella 🙂
Sommes nous encore en Suisse ? Non nous sommes en Afrique ,et cela n`est pas normal ,à renvoyer chez eux ,à part faire des gosses et c`est les autres qui payent y a t`il pas un problème ??? Nous sommes chez nous et devrions avoir le droit à la parole ,qui va payer ????
Notre conseil fédéral est un gouvernement de pacotille ,de gros menteurs ,Vivre en Suisse devient pénible ,et je ne veux pas que mon pays parte à la dérive .
Femmes, hommes, lgbt(qrst…), une seule réponse : retour au bled, et sans passer par le “start” !
De plus en plus de quartiers de non-droit apparaissent aux périphéries des villes suisses, dans la capitale, la Reitschule est située juste en face de la gare CFF. Les classes d’école où seul l’enseignant est suisse, sont légion. Les appartements peuplés de racailles, désertés par les suisses, pullulent dans toutes nos villes. Dans certains quartiers c’est la clochardisation, paraboles au balcon, immondices, barbecue par tous les temps et gamins braillards accompagnés par des femmes voilées et des barbus furieux. Voici donc les précurseurs de l’invasion programmée que nos élites considèrent comme une chance. Les prisons, les services d’urgences, les lieux publics, les transports et tous les prestataires de services sont accaparés par cette engeance qui ne cesse de réclamer et de vitupérer. Tout cela sous l’œil attendri et condescendant des ordonnateurs du vivre ensemble qui ne s’infligeront jamais le vivre avec.
Apparemment il n’y a pas encore assez de pondeuses africaines dans nos rues…. mais c’est vrai que quand elles se baladent avec leur marmaille, quelques fois accompagnées par le mâle, les Suisses ou étrangers européens sont au travail !