Lorsque Ralf. J. (51 ans) pousse son père en fauteuil roulant dans le couloir de l'hôpital, il pourrait pleurer. Le père ne reconnaît plus son fils et reste assis là, apathique. Detlef J. (75 ans), retraité, est une personne qui demande des soins constants après qu'un réfugié somalien l'ait frappé presque à mort.
Et chaque jour, le fils est tourmenté par cette question : A présent, qui va payer pour la triste vie de son père ?
Detlef, retraité d'Offenburg, rentrait chez lui lorsqu'il a rencontré Ali M. (25 ans). Le réfugié a notamment frappé Detlef à coups de pieds lorsque le retraité était allongé sans défense sur le sol. Cette agression s'est déroulée le 16 mai. Le réfugié se trouve en détention.
Pendant ce temps, Detlef vit un enfer. Il est désormais aveugle de l'œil gauche et il a subi plusieurs opérations du visage. Son muscle de déglutition est endommagé. On vient de lui implanter un tube gastrique pour le nourrir.
Son fils Ralf déclare : "Nous sommes censés trouver une maison de retraite."
Mais qui va payer?
Avant l'agression, Detlef J. était un retraité dynamique. Aujourd'hui, il doit être pris en charge en permanence.
Son fils Ralf calcule : "Un établissement de soins coûte entre 4400 et 4800 euros. L'assurance verse 2005 euros. En outre, la pension de papa se monte à 1200 euros. En fin de compte, il reste 1600 euros qui ne sont pas couverts. Mon frère et moi sommes censés rassembler cet argent. Nous n'y arrivons pas."
Deux institutions d'Offenburg ont déjà refusé de prendre le retraité parce que le paiement n'était pas clarifié. [...]
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
L’enrichissement culturel 🙂
il faut envoyer la facture aux responsables gouvernementaux qui invitent si gentiment tous ces parasites !
Mamy Merkel y pourvoira !
C’est bien un se des invités qui a provoqués les séquelles constatées; d’autre part il est en prison.
Faites-le sortir de là et qu’il bosse pour payer les dégâts causés !
Par contre la raclure qui a agressé le pauvre homme continuera à être entretenue et bénéficiera de la clémence d’une justice bradée qui lui est toute acquise par principe.
Cela changera un jour. Le chemin est encore long mais ça changera.
Hélas, dans la violence.