Au Québec tout le monde voudrait brûler vif Haj-Messaoud qui a brûlé vive son ex-épouse

12 Août 2019 Cécile Comeau

En complément de l’article de Julien Martel sur le même sujet :

http://resistancerepublicaine.eu/2019/08/12/crime-dhonneur-au-canada-elle-est-brulee-vive-a-lessence-pour-avoir-ose-divorcer-de-son-mari-violent/

Ici, dans notre belle ville paisible de Québec, un Tunisien d’origine âgé de 39 ans, Frej Haj-Messaoud,  a versé un produit combustible accélérant sur son ex-jeune femme de 27 ans et il y a mis le feu. Elle avait divorcé parce qu’il était trop violent. Il s’est vengé sur son ex-épouse et mère de ses enfants dont elle avait la garde. Ici, tout le monde est horrifié et révolté. Jamais, dans toute l’histoire de la ville de Québec fondée en 1608 et jamais dans l’histoire du Québec un crime aussi odieux n’avait été commis sur une femme.

Brûlée sur 50 % de la surface de son corps, la malheureuse repose actuellement entre la vie et la mort dans un hôpital spécialisé dans les soins aux grands brûlés. Ci-dessous des extraits d’articles québécois.

Je ne sais pas comment on va constituer un jury ici, dans le district judiciaire de Québec, afin de juger Haj-Messaoud. Pratiquement tout le monde lui souhaite le même sort que celui qu’il a infligé à la mère de ses enfants.

Extraits  de quelques  articles du Journal de Québec relatifs à cette sordide affaire, avec notamment des témoignages de témoins.

——————————

https://www.journaldequebec.com/2019/08/11/femme-brulee-vive-le-suspect-de-39-ans-a-comparu

Femme brûlée vive : Le suspect de 39 ans a comparu

Frej Haj-Messaoud, 39 ans, a formellement été accusé de tentative de meurtre et de voie de fait grave contre son ancienne conjointe brûlée vive en pleine rue à Québec, ce matin.

Selon la police de Québec, l’homme arrêté en avant-midi hier à Drummondville a comparu par voie téléphonique depuis la centrale de police du parc Victoria, en lien avec les événements de vendredi soir, pendant lesquels les jeunes enfants de la victime et plusieurs témoins ont vu la femme de 27 ans terrorisée et en flammes appeler à l’aide.

L’accusé demeure détenu et devrait revenir devant le tribunal lundi au palais de justice de Québec.

Dimanche matin, la police n’avait aucune mise à jour à offrir sur l’état de santé de la femme de 27 ans. Aux dernières nouvelles, elle luttait toujours pour sa vie.

Elle repose dans un «état grave», plongée dans un coma et sa convalescence pourrait durer «plusieurs mois», a précisé sa mère au Journal samedi. Elle aurait été brulée sur la moitié de son corps.

https://www.journaldequebec.com/2019/08/09/une-femme-en-flamme-prend-fuite

Titre : Femme transformée en torche humaine à Québec

Le suspect qui aurait transformé une femme dans la vingtaine en véritable torche humaine, dans le quartier Saint-Sauveur, à Québec, a été arrêté à Drummondville, samedi après-midi. Il faisait l’objet d’intenses recherches par le service de police dans le cadre d’une enquête pour tentative de meurtre.

La victime en flammes a couru en hurlant sur la rue Arago Ouest, non loin de l’intersection de la rue Montmagny, vers 20 h 55, vendredi soir, sous les yeux de plusieurs témoins horrifiés.

 

Brûlée sur 50% de son corps, elle a été transportée dans un état critique à l’hôpital, et elle luttait toujours pour sa vie, samedi matin. Elle a subi de graves blessures au visage, au dos et aux mains.

[…]

La femme aurait quitté son immeuble à logements en criant, avant que plusieurs locataires voisins sortent sur leurs balcons. Plusieurs appels ont été faits en même temps au 9-1-1.

En quelques minutes à peine, Le Journal a pu discuter avec trois témoins de cette scène d’horreur. Les gens rencontrés auraient préféré éviter une telle vision qui marque l’esprit.

« J’ai vu passer une boule de feu. C’est tout ce que j’ai vu et c’est suffisant. Ça criait super fort. C’était traumatisant. Je me suis sauvée chez ma voisine. J’ai attendu sur la ligne au 9-1-1 et ça paraît encore plus long quand on doit patienter. On était plusieurs en même temps », a expliqué une citoyenne qui réside au rez-de-chaussée.

« Pire souffrance »

Vers 22 h, de nombreux ambulanciers, pompiers, patrouilleurs et enquêteurs étaient sur les lieux du drame. Les policiers tentaient alors de recueillir le plus de détails possible.

« J’ai déjà passé au feu avec des blessures et je sais ce qu’elle a dû endurer. C’est pas mal la pire souffrance. Elle avait les cheveux et le torse en flammes », a lancé une autre dame. Dehors, des gens ont tenté de l’aider.

« Elle a couru en hurlant avant de revenir et après, elle était toute nue. Je pensais avoir tout vu en 17 ans dans le quartier, mais pas ça », a ajouté une troisième femme très secouée.

https://www.journaldemontreal.com/2019/08/10/femme-en-flammes-a-quebec-un-suspect-arrete-a-drummondville

Titre : Femme en flammes à Québec : Le suspect épinglé à Drummondville

L’ex-mari de la femme brûlée sur 50 % de son corps en pleine rue à Québec, un homme de 39 ans, a été arrêté par la police, hier, à Drummondville, pour tentative de meurtre et voies de fait graves.

La police de Québec était aux trousses de Frej Messaoud Haj depuis les horribles événements qui se sont produits un peu avant 21 h, vendredi.

Le suspect, Frej Messaoud Haj, a été arrêté près de ce restaurant A&W, en bordure de l’autoroute 20, à Drummondville.

Une caméra de surveillance d’un commerce à proximité du lieu de l’attaque a capté une partie de la séquence, soit l’arrivée et le départ du suspect. À son arrivée, l’homme aurait eu dans ses mains un contenant. Puis, quelques secondes plus tard, il a déguerpi à toute vitesse. Plusieurs témoins ont rapporté la forte odeur d’essence sur les lieux.

Chasse à l’homme

Le suspect avait ensuite rapidement fui la région. C’est finalement la Sûreté du Québec qui l’a retrouvé, en fin d’avant-midi, hier, sur la rue Girardin, près d’un restaurant A & W, à proximité de l’autoroute 20, à Drummondville.

« Un travail d’enquête important a été réalisé par l’ensemble de nos policiers. Toute la nuit, des policiers ont travaillé sur le dossier, et puis, finalement, ç’a porté ses fruits », a souligné Étienne Doyon, porte-parole de la police de Québec.

Selon nos informations, c’est notamment le traçage du GPS du véhicule qui aurait permis aux policiers de débusquer l’homme promptement.

Frej Messaoud Haj est un chauffeur membre de Taxi Coop Québec, a appris Le Journal. Le père d’au moins trois enfants est arrivé au pays il y a 13 ans en provenance de la Tunisie, ont confié des proches de la victime.

« Ça me surprend. Je suis abasourdi que ce gars aurait fait quelque chose comme ça. Normalement, c’est une personne qui est tranquille, qui ne démontre pas ça », a confié au Journal un collègue du suspect.

— Avec la collaboration d’Amélie St-Yves

https://www.journaldequebec.com/2019/08/10/tentative-de-meurtre-en-basse-ville-elle-criait-au-secours-je-suis-en-feu

Titre : Femme transformée en torche humaine à Québec. Elle criait « Au secours! Je suis en feu! »

Journaliste : Dominique Lelièvre

Des résidents de la rue Arago Ouest, à Québec, ont tout tenté pour alléger les souffrances d’une femme de 27 ans transformée en véritable torche humaine et brulée sur environ 50% de son corps, hier soir.

Martin Allard était sur sa galerie au deuxième étage, dans un immeuble voisin, quand il a aperçu des flammes dans la rue. Il a mis quelques instants avant de réaliser qu’une personne était en feu. Il n’en croyait pas ses yeux.

«Je pensais que c’était une torche qui brulait dans la rue. Elle courait après une personne. Elle s’est mise à crier au milieu de la rue. Elle criait: “Au secours! Je suis en feu!”. Tout d’un coup, je me suis dit: voyons, c’est une personne!», se souvient l’homme de 52 ans, disant avoir entendu un véritable «cri de mort».

Au même moment, un autre homme qui serait son assaillant semblait prendre la fuite en courant. M. Allard a dévalé les escaliers de son immeuble résidentiel pour secourir la jeune femme. Il décrit une véritable scène d’horreur.

Odeur d’essence

«Je lui ai dit: tire-toi à terre! Tire-toi à terre! Elle brulait. C’était tout le dos, les jambes, les cheveux. Je voyais tout ça bruler», dit l’homme révolté par ce qu’il a vu.

Il lui a ensuite arraché ses vêtements embrasés.

Martin Allard, un voisin, a entendu la jeune femme crier à l’aide alors qu’elle était embrasée au beau milieu de la rue.

«Elle était en feu en arrière d’elle. Je la voyais bruler. J’ai tout pogné son linge. Elle était complètement nue. Je me suis dit: c’est ce qu’il faut que je fasse. Je ne peux pas faire autre chose», raconte M. Allard.

La malheureuse, brulée sur environ 50% de son corps selon les ambulanciers, aurait été aspergée d’essence ou d’une autre forme de combustible. C’est du moins ce que suggèrent deux résidents rencontrés par Le Journal qui font état d’une forte odeur de carburant.

La femme en flammes est demeurée consciente pendant les événements. Le retrait des vêtements a mis fin à son calvaire et une voisine a accouru munie d’un seau d’eau pour éteindre des petits foyers d’incendie au sol. Une autre a fourni une couverture.

«J’ai essayé de lui mettre la couverture, mais elle était tellement brulée qu’elle disait: ne faites pas ça monsieur, je suis trop brulée. Ça brule!», poursuit M. Allard.

État critique  

La scène s’est déroulée en présence des deux enfants en bas âge de la victime et de sa mère. Ils n’ont pas été blessés, mais tout de même évalués à l’hôpital.

La femme de 27 ans luttait toujours pour sa vie, samedi, et recevait des soins pour les grands brûlés dans un hôpital de Québec.

Selon des voisins, elle venait en début d’été d’emménager dans un logement de la rue Arago.

Ce matin, des cendres provenant vraisemblablement des vêtements de la dame témoignaient encore du terrible drame sur la chaussée.

Les policiers ont arrêté son ex-conjoint samedi après-midi à Drummondville pour tentative de meurtre.

Des voisins traumatisés

«C’est horrible. Je ne pensais jamais voir quelqu’un en feu de ma vie. Elle était en flammes de la tête aux pieds. Ça sentait l’essence ou le mazout, je ne sais pas. Ça sentait même à l’étage.» Nancy Giroux, 45 ans, une voisine qui a tenté d’aider la victime avec un seau d’eau

«J’ai vu comme une boule de feu. […] On voit ça à la télé. À l’âge que j’ai, c’est la première fois que je vois ça et je ne veux plus jamais voir ça. C’est quelque chose.» Gaétane Pearson, 66 ans, une résidente de la rue Arago

«C’est ma phobie, le feu. Hier soir, j’en shakais, je tremblais.» Lisette Lachance, une résidente de la rue Arago.

source:

 

6 commentaires

  1. Posté par Madeleine Allard le

    C’est le résultat de l’immigration de masse de personnes de religion musulmane par le gouvernement libéral irresponsable

  2. Posté par Andrea le

    Il fau le lacer vivant dans une fosse de cochons qui n’ont pas mangé depuis une semaine.
    Qu’il soit maudit à jamais!

  3. Posté par Sergio le

    Pauvre fille et pauvres enfants choqués à vie. On attend avec impatience les phrases fortes de ce demi-sel de Trudeau qui vient juste de présenter ses vœux aux muslims pour l’Aïd.
    On demande également à toutes les féministes acharnées qui courent les plateaux et les salons, de monter aux barricades et de crier leur indignation au lieu de l’habituel “refugees welcome”.

  4. Posté par maury le

    On se demande vraiment ce qui occasionne cette violence chez certains que les voisins qualifient de “paisibles” :”Est ce les versets sataniques contenus dans leur coran??”si c’est ça ces hommes ne doivent pas rester chez nous car ils représentent un danger pour n’importe qui leur déplaisent ou les contrarient !Le coran ne doit pas se vendre chez nous librement dans nos commerces,nous n’appartenons pas à leur civilisation arriérée et ne pourrons jamais cohabiter Chacun chez soi.

  5. Posté par Léo C le

    J’imagine que beaucoup aimeraient le voir subir le même sort.

    J’ai moult autres idées pour ce genre de cafard qui n’éprouvera pas même le moindre repentir.
    Après cela, serais-je capable de les appliquer ? La colère dicte autrement.

    Avec un peu de chance, ses compagnons de cellules, en mal de distraction et d’activité physique, se chargeront d’éveiller son sens moral.

    Je l’espère.

  6. Posté par Antoine le

    Encore un qui n’a pas les codes pour vivre dans un pays occidental civilisé !
    Que le jury soit ferme et que la main du bourreau ne tremble pas !
    Je rêve … les juges vont le mettre en hôpital psychiatrique et il ressortira dans quelques temos !!

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.