Un propriétaire d'une galerie d'art de New York déclare qu'un groupe d'adolescents l'a attaqué parce qu'il portait une casquette rouge "Make America Great Again".
Selon les autorités, Jahangir Turan, 42 ans, a déclaré à la police qu'il se trouvait sur la Canal Street à SoHo vers 18 h 30, mardi, lorsqu'il a été frappé à la tête par derrière. Il a refusé les soins médicaux.
Jahangir Turan a dit qu'il quittait le train N avec un chapeau MAGA quand un groupe d'adolescents a crié "F*** Trump" et l'a attaqué.
https://www.youtube.com/watch?v=wTorcWsntOo&feature=youtu.be
Il a pris la parole lors d'une conférence de presse jeudi, détaillant l'agression selon ses souvenirs. Il a déclaré qu'environ 15 à 18 personnes étaient impliquées. [...]
Jahangir Turan, dont le visage était gonflé et meurtri lors de la conférence de presse, a déclaré qu'il était surpris que la police n'ait pas procédé à des arrestations.
"C'est ridicule de se faire tabasser comme ça pour avoir porté une casquette," dit-il.
Il a déclaré qu'il avait acheté la casquette ce jour-là à la Trump Tower et qu'il avait l'intention de la mettre à la maison parce qu'il pense "qu'il est dangereux de porter une casquette comme celle-ci à New York City".
L'agression ne l'a pas empêché de porter la casquette et d'exprimer ses opinions politiques.
"J'adore le président Trump, je pense qu'il fait un excellent travail", a déclaré Jahangir Turan.
Une enquête est en cours. Aucune arrestation n'a été effectuée.
On a les supporters que l’on mérite, pourrait être un début de réponse.
Le parti « démocrate » est devenu un club pour hooligans, à raison de ses multiples gestes d’anti-jeu démocratique.
Il rassemble désormais à un épouvantail, et chaque internaute, n’ayant la carte de ce club dévoyé, s’attend à une purge inexorable de ses éléments les plus pitoyables.
Trucages, subornations de témoins, corruptions, agressions, les méthodes des bas-fonds ont gangrené ce parti cocaïné, sponsorisé par les cartels d’une jet-set interlope alignant ses pratiques sur les coulisses glacées d’Hollywood.
Les éructations de De Niro rappelle que les « ultras » annoncent toujours avant l’heure la mort de leur club.