Alors que les dégradations de permanences de La République en marche (LREM) se multiplient en France, provoquant l'ire de l'exécutif qui n'hésite pas à les qualifier d'«attentats», certains de nos voisins européens sont, eux, confrontés à un réel phénomène de violence à l'encontre des politiques. C'est par exemple le cas de l'Allemagne.
Ces derniers temps, des actes particulièrement violents ont secoué la République fédérale. Le plus marquant d'entre eux : l'assassinat, le 2 juin dernier, de Walter Lübcke, président du district de Kassel, connu pour ses positions pro-migrants (la police a annoncé qu'un suspect «venant de l'extrême droite» avait été arrêté). Quelques temps auparavant, le chef de la fédération du parti populiste Alternative pour l'Allemagne (AfD) à Brême, Frank Magniz, avait été violemment passé à tabac par des hommes cagoulés qui l'avaient attaqué par derrière. Cet acte avait été dénoncé quasi unanimement par la classe politique, pourtant d'ordinaire hostile à l'AfD.
Cette union sacrée assez rare témoigne de l'inquiétude croissante d'une classe politique qui se sait de plus en plus souvent la cible d'attaques violentes et dirigées contre des individus. Début 2019, la police avait interpellé trois personnes de 29, 32 et 50 ans soupçonnées d’avoir activé un engin explosif le 3 janvier devant le bureau de l'AfD dans la ville de Döbeln, dans la Saxe. Henriette Reker, maire de Cologne, a également reçu des menaces qui ont suscité de vives réactions : en 2015, alors qu'elle était candidate à la mairie de Cologne, elle avait été poignardée par un homme affirmant avoir des «motivations racistes».
Sensiblement plus inquiétantes que les dégradations de permanences dénoncées par la majorité en France, ces attaques s'inscrivent dans un contexte de violence politique bien identifié et documenté. La police criminelle allemande a ainsi recensé pas moins de 1256 actes dirigés contre des fonctionnaires ou des élus au cours de l'année 2018. Plus de 40 d'entre eux sont classifiés comme relevant de la «violence physique».
Plus intéressant encore : l'idéologie politique ayant motivé les auteurs de ces actes. 517 d'entre eux étaient liés à la droite (donc supposément dirigés contre des personnalités politiques de gauche) et 222 à la gauche (donc supposément dirigés contre des personnalités politiques de droite). Les motivations religieuses ne concernaient qu'une minorité des actes recensés (trois actes, dont aucun de violence physique).
Si cette tendance, qui fait régulièrement la une des journaux outre-Rhin, inquiète bel et bien les responsables politiques allemands, elle semble plutôt à la baisse, comme l'indiquent les chiffres de la police criminelle. Par rapport à 2017, le nombre de violences a diminué de 18%, et de 30% par rapport à 2016. Mais le contexte politique particulièrement tendu qui règne en Allemagne, ainsi que la généralisation de ces actes auxquels plus aucun parti politique ne semble pouvoir échapper, pousse les autorités à se montrer prudentes.
Extrait de: Source et auteur
Tant mieux! Auparavant ils se croyaient tout puissants protégés par leur fonction, maintenant ils savent qu’ils auront personnellement a rendre compte de leurs actes.
Vraiment on se marre à lire ça…Alors tremblez politicouillons verts-islamo-gauchistes, CE N’EST QU’UN DEBUT:
Au micro de Boulevard Voltaire, Jean Messiha dénonce “le tabou lié à l’immigration en France et en Europe” qui conduit à cacher l’identité des coupables, souvent qualifiés de simples déséquilibrés:
“En Allemagne ces derniers jours, deux faits divers, peu relatés en France, ont marqué les esprits : un enfant poussé sous un train à Francfort par un Érythréen (qui était par ailleurs apparu dans une PUBLICITE SUISSE vantant une INTEGRATION REUSSIE***) et un homme tué au sabre en pleine rue à Stuttgart, par son ex-colocataire. Dans les deux cas, des immigrés sont mis en cause.”
(Sources:
https://www.bvoltaire.fr/jean-messiha-sur-lenfant-pousse-sous-un-train-en-allemagne-on-minimise-la-criminalite-des-immigres/
https://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Enfant-pousse-sur-la-voie–l-auteur-serait-un-deregle-15292871)
*** clandestin en 2006, et AU BENEFICE D’UN PERMIS C depuis 2011!!!
La seule chose qui puisse inquiéter les politiciens c’est de devoir numéroter leurs abattis. Cauteleux à l’extrême, ils sont toujours soigneusement éloignés des lieux où ils pourraient prendre un mauvais coup. “Venez donc me chercher” Macron dixit. Depuis ce jour, le Président a peur d’aller seul aux chiottes.
“Mais le contexte politique particulièrement tendu qui règne en Allemagne, ainsi que la généralisation de ces actes auxquels plus aucun parti politique ne semble pouvoir échapper, pousse les autorités à se montrer prudentes” nous dit-on.
Si les autorités politiques se montraient plus prudentes en matière d’immigration et dans leur “dévouement” à l’Islam, peut-être que les choses se calmeraient, non?
Si le migrant (qui n’a pas participé à la construction de l’Allemagne sur des siècles et n’en a pas connu les souffrances) ne restait qu’un travailleur détaché temporaire selon les besoins, l’Allemagne se calmerait, non?
Mais nos dirigeants européens sont tellement préoccupés par l’accomplissement de notre disparition, qu’ils risquent de le pays très, très cher. Car ni les allemands, ni les Français, ni les Italiens et autres européens ne sont prêts à DISPARAITRE.
Tous les politicards corrompus doivent être destitués et jugés !
Nous sommes face à une réaction épidermique de la population qui en a marre de se faire enfumer par de belles paroles mensongères !
Mme Merkel la bolchévik tremblotante en porte l’entière responsabilité depuis sa décision IRRESPONSABLE d’ouvrir toutes grandes les frontières aux ”migrants”.
Depuis TOUT VA MAL, à part la criminalité en hausse !
Que des Patriotes luttent CONTRE les politicards irresponsables ne m’étonne pas !
Qui sème le vent récolte la tempête (à venir ….) !!