27 juillet 2019 - par Danielle Moulin
Près de 35 000 « féministes »( mâles, femelles, trans, inter et de genre non-binaire, et compagnie…) ont signé cette pétition désirant mettre fin à la présence d’hôtesses sur les podiums d’arrivée du Tour de France ; il paraît que c’est horriblement sexiste : https://www.change.org/p/tourdefrance-pour-la-fin-des-h%C3%B4tesses-de-podium-amaurysport-letour-chprudhomme. La presse de propagande s’en est saisie avec gourmandise, puisque c’est dans l’air du temps et que cela fait partie de ces « combats » sociétaux qui ne mangent pas de pain ; « combats » qui ont autant de répercussion sur le quotidien douloureux des Français qu’un plat de nouilles chinoises à la sauce Schiappa sur le budget de son inutile secrétariat.
Quitte à pétitionner, activité qui m’a toujours semblé assez stérile, on aurait préféré qu’une telle mobilisation ciblât une autre « activité culturelle » particulièrement prolifique en clips inondant la toile depuis de nombreuses années : le rap. En effet qu’y a-t-il de plus dégradant, avilissant et répugnant que l’image des femmes véhiculée par la majorité des rappeurs d’origine maghrébine ou subsaharienne, entre putain de cité et champ de labour pour tournante ? Rappelons-nous la polémique au sujet du rappeur Nick Conrad étranglant une femme légèrement vêtue et censée représenter la France. Une pétition à ce propos ? Que nenni… Et l’ineffable Booba dont Osez le Féminisme appréciera cet extrait :
https://www.youtube.com/watch?v=QhfPFIdWgyg
Pas de pétition non plus ? Un article de « Paris eVous » nous donne un bel échantillonnage de la diarrhée verbale de quelques fameux rappeurs . Extraits :
Orelsan, Sale Pute :
« Je t’emmènerai à l’hôtel je te ferai tourner dans ma villa romaine/
Tu suces pour du liquide tu te casses à marrée basse/
Pét& !#e tu mériterais seulement d’attraper le DAS/
Le seul liquide que je t’ai donné c’est mon sperme/
Si j’te casse un bras, considères qu’on s’est quitté en bons termes. »
Booba, Jour de Paye :
« Si y a des biatch partout, c’est que j’suis dans la boîte/
Si ca fait mal, que tu cries, tu jouis, c’est que j’suis dans ta chatte. »
Booba, Pourvu qu’elles m’aiment :
« En effet je suis un thug, un drôle d’animal/
J’ai de quoi te siliconer si jamais tu vieillis mal/
Gangster et gentleman, c’est dans le mille que je tire/
Je fais mal mais je fais jouir si tu vois ce que j’veux dire. »
Busta Flex, J’aime bien ton Boule :
« Ca commence par un S.M.S, ça finit à l’hôtel, j’te donne un faux numéro d’phone-tel et tu gobes/
J’te regarde dans les yeux, j’te dis que t’es belle et tu gobes/
Tu dis que tu n’as pas trop de rapports charnels/
Une fois montée en selle, tu détrônes Julia Chanel/
Ne t’attends pas à un roulage de pelle, t’as beau mettre du rimmel/
c’est criminel mais c’est ton c#l qui m’interpelle ».
TTC, Girlfriend :
« J’aime les chattes/
Quand je rentre dans la boite/
J’ai la trique/
Toutes les chattes des p#tes sont moites/
C’est pratique/
Elles vont frotter toute la nuit/
P#te, je suis ton mac alors suce ma b !te gratuit ». Etc…
https://www.evous.fr/Journee-de-la-Femme-Les-declarations-d-amour-d-Orelsan-et-de-ses-copains,1174787.html
Alors les pétitionnaires, ça ne vous chiffonne pas davantage que deux bises et un bouquet de fleurs au maillot jaune ? Évidemment, le cycliste est un mâle blanc et les rappeurs sont issus de ce qu’il est convenu d’appeler la « diversité » qui, forcément, nous enrichit, jusque dans les manuels d’histoire des lycéens(1)…
Danielle Moulins
Il est évident que pour les féministes, le chaste baisé du sportif, est un incident qui ne pourra jamais leur arriver. Elles ne peuvent que fantasmer sur les hypothèses proposées par les rappeurs. Et être traitées comme des grosses vaches à quatre pattes leur va à ravir. On n’a aucune peine à penser que dans les turpitudes liées à l’exploitation de l’immigration, elles trouveront le courage d’un accouplement avec un des ces singes savants issu des migrants de masse et désigné ingénieurs par la Merkel. “Ingénieur sur femme”, c’était déjà à l’âge de 8 ou 9 ans ce qui nous faisait bêtement pouffer de rire. Comme quoi on était déjà nettement plus à l’avant-garde du progrès humain et que cette toyette ou tadiée de Greta Thunberg, cette dernière peut aller se rhabiller. Remarquez que ces deux qualificatifs correspondent à des prénoms, ce qui laisse supposer que les porteuses de ces prénoms ont réussi le tour de force de les imposer comme une forme de leur crétinisme. C’est comme si aujourd’hui on traitait une de ces vaches, de “maury-pasquier”. https://lesobservateurs.ch/2018/08/14/tourisme-sexuel-pour-les-femmes-blanches-a-saint-domingue-cela-fait-7-ans-que-je-nai-plus-fait-lamour-avec-un-blanc-ici-cest-le-5eme-homme-avec-qui-je-couche-video/
@ Anna : ne comptez pas sur l’ineffable Marlène, elle n’est qu’une enseigne publicitaire du barnum de son président, Mégalo-le-Suprême. En fait, nous n’avons pas besoin d’un ministère comme celui de Marlène.
Il ne faut pas seulement publier cet article sur Riposte Laïque ou les Obs, parce que Marlène Schiappa, “Osez le féminisme” etc… ne le liront jamais. Il faut leur envoyer les paroles de ces chansons rap, et leur demander si elles comptent prendre des mesures. Surtout Marlène Schiappa, c’est son travail.