Cenator : Mehmet Gultas et ses camarades donnent quotidiennement la parole aux défenseurs des causes à la mode, qui occupent déjà le devant la scène partout dans nos médias et gavent la population avec leurs revendications interminables. Les gaucho-féministes, les gaucho climato-hystériques, les gaucho-spécistes, les gaucho-LGBT....
Ce dernier débat avec les Gaucho-LGBT vient à la suite d’un nouvel acte de vandalisme perpétré contre le Mur des Réformateurs, vandalisme rebaptisé par ses auteurs d’« acte politique ».
Dans ce contexte, le MCG réclame de faire classer le monument, afin d’éloigner les vandales des figures de la Réforme… ce que le ministre Vert genevois, Antonio Hodgers, refuse. Robert Cramer, élu écologiste et président de « Patrimoine suisse Genève », s’empresse de mettre en échec l’idée du MCG, prétextant que « la cause n’est pas une priorité » et que «personne n’envisage de démolir» le Mur.
A noter que le Mur des Réformateurs est objet d’actes de vandalisme récurrents depuis les années 1960, avec deux décapitations de Calvin et de Bèze en 1986 et « l’accumulation des atteintes altère gravement au final le monument » .
Imaginons seulement l’infinité des revendications possibles pouvant justifier des actes de vandalisme et servir de prétexte pour réclamer des lois du type « antiracistes ». Les variations de la nature humaine créent un nombre infini de minorités telles que les laids, les gros, les maigres, ceux qui ont une vilaine peau, une vilaine voix, un micro-pénis… tous ceux qui peuvent faire l’objet de moqueries ou simplement être regardés de travers.
Potentiellement, ils sont tous exposés à des frustrations qui pourraient justifier qu’ils s’en prennent aux biens publics, exigent de changer la loi, et que l’on tienne des statistiques sur les manifestations phobiques à leur encontre.
En réalité, les enquêtes prouvent que le problème de « racisme » en Suisse est dirigé avant tout contre les vieux, ces vieux qui ont bâti la Suisse… que les générations suivantes sont en train de détruire.
Le deuxième groupe important qui est malmené est celui des patriotes-conservateurs, mais pour ceux-là, aucun média ou sondage ne relèverait la chose. Au contraire, les médias officiels et les formations de la gauche les diabolisent et les salissent. Par exemple, la RTS n’est jamais arrivée à mener une interview d’un UDC sans tenir des sous-entendus vachards. De même, organiser un débat équitable en présence de membres de l’UDC est inconcevable pour les journalistes socialisant de la RTS. Il suffit de comparer une interview d’un(e) UDC avec celle d’un(e) socialiste dans l’émission Forum pour le constater.
Marjo Blanchet, militant d’extrême gauche queer, Matthias Erhardt, de LGBT-GE, revendiquent plus de visibilité pour les BTQ à la RTS. Nous ne verrons jamais la RTS tendre honnêtement le micro à des groupes comme Defend Europe, Vigilance Islam, le PNS.
Dans le débat susmentionné, la capacité de Gultas de poser des questions qui dérangent s’évaporent. Alors que les revendications de Marjo Blanchet pour plus de visibilité afin de mieux déconstruire des institutions comme le mariage, et d’autres énormités, passent comme une lettre à la poste.
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RTS/Forum, 25 juillet 2019, Les associations LGBT: trop institutionnalisées, pas assez combatives? - Radio - Play RTS
Résumé du débat :
Marjo Blanchet (solidarités/GE) membre de l'association Epicène, LGBT
Elle/il se définit comme queer, non binaire, c’est-à-dire ni homme ni femme ; son genre, selon ses dires, c’est l’autodétermination.
A ses yeux, l’attaque contre le mur des réformateurs est un acte politique fort, un moyen justifié pour mettre en lumière les BTQ qui ne sont pas soutenus par la Ville et les associations. Selon elle/lui, il y aurait un manque d’évolution dans les lois concernant les droits des trans et des queers, qui sont mis de côté lorsque la loi avance : les évolutions restant dans le cadre hétéro-bienpensants.
MB déplore que les associations LGBTQ se soient institutionnalisées (elles touchent toutes des subventions), normalisées, qu’elles revendiquent le mariage pour tous au lieu de déconstruire ce modèle du système, bien qu’elle/il milite lui aussi pour le mariage pour tous. Par ailleurs, les associations s’assimilent trop dans le système au lieu de le remettre en question et d’être plus révolutionnaires, plus radicales. L’argument de Marjo contre le mariage provient du fait que les gens divorcent dans 50% des cas. (Quel hypocrite !)
Marjo Blanchet relativise l’attaque. On ne parle que de peinture, qui a déjà été enlevée, donc il ne s’agit pas de vandalisme. C’est un acte de visibilisation de toute une partie le la communauté LGBT, qui reste « invisibilisée ». Ce n’est pas toute la communauté LGBTQ qui est derrière cet acte. Mais Marjo Blanchet adhère totalement aux revendications du texte anonyme publié sur internet à la suite du jet de peinture, car ce sont des revendications fortes.
– En quoi les LGBTQ sont-ils victimes ?
– La transphobie n’a pas été incluse dans la nouvelles norme pénale antiracistes, il faut que les trans et les queers y soient inclus. Pour ce militant Queer/SolidaritéS, la ville de Genève ne fait rien pour eux, sinon de tenter de les faire entrer dans le moule, de les normaliser. Les BTQ sont laissés pour compte. Elle/il déplore qu’il n’y ait toujours pas de statistiques policières pour les agressions homophobes et transphobes.
Matthias Erhardt, co-président.e de la Fédération genevoise des associations LGBT.
Matthias Erhardt déplore également que la transphobie n’ait pas été incluse dans la norme pénale antiraciste.
Il ne soutient pas l’opération de jet de peinture… mais c’est tout de même un geste réussi, la preuve c’est qu’on en parle. La seule chose qu’il regrette provient du fait que la revendication qui a suivi ce geste soit anonyme : comment engager alors une discussion et entrer en matière sur les revendications ?
Concernant le fait que son association revendique le mariage pour tous au lieu de déconstruire le modèle, Matthias Erhardt présente son excuse : énormément de personnes réclament le mariage pour tous, ils ne veulent pas tous déconstruire le capitalisme et il conseille aux BTQ d’essayer de changer le système de l’intérieur, comme sa fédération le fait, même s’il reconnaît la nécessité de mouvements plus radicaux.
Il se pourrait que les associations gays subventionnées soient trop institutionnalisées et victimes de récupération politique et économique, mais Matthias Erhardt ne refuse pas les aides, comme les chars de la ‘Pride’ sponsorisés par des multinationales.
Matthias Erhardt est tout à fait favorable aux revendications des BTQ voulant inscrire dans le code pénal la transphobie et les violences, et il déplore également leur manque de visibilité, mais il note qu’il y a du progrès, car la dernières Pride était extrêmement inclusive. (Ndlr : le mot Gay Pride n’est désormais plus assez inclusif. La chasse au mâle s’étend même aux homos, et le terme juste, c’est Pride tout court.)
Sylvain Thévoz, député au Grand Conseil (PS/GE) avait dans un premier temps soutenu le geste de jet de peinture sur le mur des Réformateurs, en parlant de « Streets art, la joyeuse incontinence colorée », et qualifié l’acte de geste politique fort, mais ne savait pas pour quelle raison le jet de peinture avait eu lieu (!!!). Il regrettait juste que l’acte ne soit pas revendiqué.
Dans une deuxième phase, lorsque la revendication anonyme a été mise en ligne, il a trouvé que l’acte était devenu très négatif et il s’est désolidarisé du jet de peinture, car le manifeste critiquait tout le travail effectué par la Ville au lieu d’apprécier ce qui était fait pour satisfaire les revendications. Sylvain Thévoz défend le travail des socialistes au pouvoir, il cite en exemple le fait que Sandrine Salerno ait créé un poste ad hoc pour défendre les intérêts de la communauté LGBTQ. Malgré tout, pour le député socialiste Thévoz, des opérations coup de poing comme le jet de peinture sont utiles… il faut, tout simplement, ne pas critiquer la Ville de Genève.
En bon socialiste, Sylvain Thévoz saisit l’occasion pour attaquer les députés de droite qui se sont insurgés contre le jet de peinture (qui a coûté la bagatelle de 10'000 francs) au lieu de parler des jeunes révolutionnaires qui se sont mis en danger durant la Pride, en plaçant une immense banderole au haut d’une grue.
Voilà ce qui inquiète Thévoz : des jeunes socialistes se mettant en danger pour gagner en visibilité. Pour lui, « Les militants plus radicaux sont des aiguillons critique utiles à la réflexion, mais contreproductifs si l’acte est trop radical. »
Thévoz déplore, lui aussi, que les revendications LGBTQ contre la transphobie aient été balayées dans la nouvelle loi et que les BTQ soient laissés pour compte. Il constate que les luttes convergent : il faudrait développer la lutte davantage car les objectifs sont assez proches.
Vu que Mehmet Gultas, salarié de nos médias et tributaires de nos impôts, est en tant que personne un individu non représentatif de notre pays, et reste incapable de communiquer les infos de mon pays sans devoir répondre à ses obligations d’allégeance à ses origines, je ne le “calcule pas”. Un point c’est tout.
Ce qui a trait aux besoins de pouvoir de ce journaleux, migrant dans mon pays, la Suisse, dans son job de faussaire via le journalisme, en attendant que les conséquences d’un journalisme dédié aux bons soins de cet islamisme en migrance ne lui explosent en pleine face.
Les chiens n’engendrent pas des chats…
Il est connu de longue date que 75% des journalistes suisses sont de gauche, 20% du centre et 5% de droite. Elisabeth Logean en est une preuve de plus.
Voilà une raison suffisante pour établir la liste des entreprises noyautées par des activistes d’extrême gauche, généralement pédé-gouniottes. Je peux déjà citer l’Agip, la RTS et le TCS, l’hôpital cantonal. Le mécanisme qui nous impose ces idéologues pour saboter nos carrières trône au commandement des DRH. Pour rester dans des zones d’équilibre économique acceptable, ces furoncles diminuent les salaires de ceux qui ne font pas partie de leur sectes racistes, ce qui leur permet de faire des cadeaux salariaux à ceux qui en font partie. Voilà exactement le mécanisme de ces injustices. Et le mot lèche-culs tombe bien à propos, puisqu’il recouvre une activité sexuelle bien réelle chez ces dégénérés. Si vous en doutez référez-vous à Pierre Bergé et ses esclaves sexuels, c’est du premier choix en la matière.
À propos du BREXIT
26 juillet 2019 Observatoire du MENSONGE Max Tango, TRIBUNE LIBRE 5 commentaires
4 Votes
Le traitement du BREXIT dans la (des)information est symptomatique de l’état de délabrement de nos élites.
« Ceux qui luttent, ne sont pas sûrs de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu. » Berthold Brecht
À propos du BREXIT
Par Max Tango
Il est toujours curieux de constater comment nos médias, à la botte de la gauche, traitent l’information sur le BREXIT.
On se demande même comment est-ce possible d’avoir cette mauvaise foi et ce besoin de propagande pour justifier l’injustifiable.
Certains journalistes insultent les personnalités qui ne vont pas dans le sens de la gauche. Donald Trump, Matteo Salvini, Jair Bolsonaro, pour ne citer que les « meilleurs clients » de cet acharnement indécent et parfois totalement inepte, sont « les ennemis du peuple » médiatique. Avec Boris Johnson, lesdits journalistes ont trouvé un nouveau client à dénigrer. Au final cette attitude non professionnelle est méprisante et débile.
Car les médias procèdent toujours par amalgames pour mieux détruire leur cible et avec Boris Johnson, ils sont motivés comme jamais.
Il est vrai qu’il est facile de montrer les travers d’une personne via quelques montages ou coupes dans ce qu’elle a dit même si c’est bien avant d’obtenir sa nouvelle position.
Pensez-donc que ce Boris Johnson est considéré comme l’ami de Donald Trump et selon certaines chaînes, qui ne s’embarrassent pas vraiment de vous dire la vérité, Johnson serait même l’alter ego de Trump. C’est pour la gauche bien pensante et bien moralisatrice totalement interdit et dangereux.
Quoi ! Des leaders politiques qui aiment leur pays et qui veulent le bien de leurs concitoyens.
Ce n’est pas acceptable pour la gauche caviar.
«Nous allons réaliser le Brexit le 31 octobre, nous allons tirer parti de toutes les opportunités que cela va apporter, dans un nouvel esprit du possible. Nous allons à nouveau croire en nous-mêmes et en ce que nous pouvons atteindre. Et, comme un géant endormi, nous allons nous relever et faire voler en éclats le doute de soi et la négativité» : telle est la première déclaration de Boris Johnson sitôt choisi pour diriger l’Angleterre. La date du 31 octobre lui laisse donc 3 mois pour prouver qu’il fera ce qu’il dit.
Peu importe que Johnson a triomphé pour obtenir le poste de Premier ministre de Sa Gracieuse Majesté.
Il a gagné avec plus de deux tiers des voix en finale contre Jeremy Hunt mais surtout pour en arriver là, il a gagné contre tous les autres prétendants.
Peu importe aussi que la majorité des Anglais soutiennent Johnson.
Cela n’intéresse pas notre caste trop occupée à cultiver ses prébendes.
C’est d’autant plus pénible qu’ici en France tout va mal. Alors que nous sommes par nos présidents successifs les leaders de cette Europe qui a foiré.
il s’agit évidemment de désigner le Satan américain comme toujours face aux gentils… Lesquels gentils nous préparent tranquillement qui la bombe atomique, qui notre envahissement… Un simple succès au football voit le déferlement d’une horde sauvage dont les médias refusent toujours le danger à terme.
Donc les alliés de Trump sont forcément nos ennemis et c’est ainsi, avec une parfaite mauvaise foi, que la caste politico-médiatique enfume les braves veaux que nous sommes devenus à force de gober leurs mensonges.
Ce parti pris systématique renvoie immanquablement à la célèbre phrase de Churchill : “Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre.”
Le mensonge est-il devenu institutionnel en France ?
Question pertinente au vu des actualités et autres magazines qui ne font pas dans la dentelle question affabulation.
En France : dès que tu dis quelque chose contre la gauche, même justifié, tu es raciste ou populiste. Nadine Morano, qui n’a pas sa langue dans sa poche, en connait quelque chose…. L’essentiel c’est que la gauche doit forcément avoir le dernier mot !!
Remarquez comment les pays pro-européens ont confisqué la liberté de penser autrement.
Ils devraient méditer cette citation d’Aristote : “Le doute est le commencement de la sagesse.”.
Parce qu’à force de ne plus respecter leurs opinions publiques, les principaux dirigeants européens jouent avec le feu et le feu peut finir par tout brûler.
Les citoyens ne courberont pas l’échine éternellement.
Tant que les électeurs, ceux qui votent et pas les autres, n’auront pas le courage de virer tous ces politiciens de pacotille pour essayer une autre politique, il n’y aura ni amélioration ni développement possibles.
Au contraire ce sont des lendemains qui déchantent qui nous attendent avec plus d’insécurité et de chômage.
Dommage qu’il n’existe ni un Trump ni un Johnson ici.
Max Tango
« Il est libre Max »
Nous aimons la liberté de publier : à vous de partager !
L’opposition c’est ICI et nulle part ailleurs !!!
Max Tango auteur de (cliquer sur le titre pour lire l’article) :
♚ On a eu en France les Sans-culottes maintenant on a les Sans-couilles
♔ Matricule !
♛ Le roi Macron
♕ Pourquoi la table ne sera pas renversée ?
🔱 Macron entre illusion et manipulation
🚎 Pendant que l’on amuse la galerie !
🏍 Les politiques en réalité nous ignorent
Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier:
Max Tango pour Observatoire du MENSONGE
C`est qui ce Mehmet Gultas , certainement un citoyen Suisse je crois ?
Bref bonnes salutations à Mehmet .
Ces erreurs de la nature devraient être reconnaissantes, dans d’autres civilisations elles ne seraient même pas laissées en vie. Au lieu de cela elles vomissent notre société. Gare au retour de bâton!
”Par exemple, la RTSocialiste n’est jamais arrivée à mener une interview d’un UDC sans tenir des sous-entendus vachards”
” … organiser un débat équitable en présence de membres de l’UDC est inconcevable pour les journalistes socialisant de la RTSocialiste”
Magnifique moyen de communication de la gôche qui nous lobotomise le cerveau !
”l’attaque (à la peinture) contre le mur des réformateurs est un acte politique fort, un moyen justifié pour mettre en lumière les BTQ qui ne sont pas soutenus par la Ville et les associations”.
Si vous faites partie d’une minorité, il suffit de faire beaucoup de bruit (pour rien) et de faire des déprédations qui seront supportées par la population (les dépenses publiques proviennent de NOS impôts) pour se faire remarquer !
C’est fort à parier que cette même minorité est déjà sous perfusion concernant les aides au logement, services sociaux, etc … donc doublement à la charge de la collectivité !!
”Nous ne verrons jamais la RTS tendre honnêtement le micro à des groupes comme Defend Europe, Vigilance Islam, le PNS”
C’est bien la preuve irréfutable du parti pris de la RTSocialiste dont la redevance obligatoire nous exaspère jour après jour. On doit payer pour un service (pourri) que nous ne consommons PAS !