Cenator : Il serait intéressant de connaître le nombre des réfugiés politiques camerounais qui ont obtenu l’asile en Suisse et qui ont manifesté pour défendre le gouvernement camerounais.
Selon nos lois, un réfugié politique reconnu doit cesser de faire de la politique sur sol suisse et éviter ce genre de confrontations. La Camerounaise interviewée par la RTS se plaint de l’utilisation de gaz lacrymogène par la police, alors qu’à la base, elle n’avait rien à faire là.
Nous aimerions aussi savoir combien de ces manifestants vivent aux crochets de la collectivité, combien sont à l’AI, combien ils ont coûté à la collectivité depuis leur arrivée sur le sol suisse.
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Partisans et opposants au président camerounais Paul Biya se sont retrouvés samedi à Genève, où la police a dû faire usage de gaz lacrymogène pour disperser la foule.
Les policiers genevois font usage de gaz lacrymogène pour disperser les manifestants pro et antis président camerounais. [Dominique Choffat - RTS]
La situation a commencé à dégénérer samedi en début d'après-midi: la police genevoise a dû intervenir sur la route de Ferney pour séparer les manifestants opposés, séparés par moins de 50 mètres. Les opposants au régime de Paul Biya ont tenté de s'approcher du lieu où il réside: "Il y a de fortes tensions et une atmosphère de guérilla urbaine en plein milieu de la Genève internationale", a résumé la correspondante de la RTS sur place.
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Article complet et vidéo: https://www.rts.ch/info/regions/geneve/10542568-gaz-lacrymogene-et-heurts-a-geneve-lors-des-manifestations-camerounaises.html
Pour que ces camerounais se permettent une telle attitude, c’est bien parce qu’ils se sentent soutenus, protégés et qu’ils commencent à prendre du pouvoir chez nous.
Il est clair que ceux d’entres eux qui sont “réfugiés”, au social ou dépendants de notre soutien devraient être expulsés rapidement. Las, des ong et autres Amnesty machin vont tout faire pour les défendre et leur trouver des excuses.
Un des problèmes est que les comportements inacceptables (deal, manifestations, etc…) de ces populations engendre un sentiment de ras le bol et de racisme dans une partie grandissante de notre population.
A EXPULSER DE SUITE.
Aux crochets de la société ou à l’ AI, j’opte pour près de 90% .
Et ceux ou celles qui ont un emploi, systématiquement manoeuvres ou marchand(e)s de perruques, le fait d’avoir une encombrante marmaille,- les géniteurs n’ayant majoritairement aucun souvenir de l’un ou de l’autre-, leur donne accès à nos généreuses prestations sociales, qui sont sans commune mesure avec les maigres impôts dont ils s’ acquittent, dans le meilleur des cas.
En résumé, l’ Etat est perdant dans près de 100% des cas.
Ce n’est qu’une vilaine répétition. Rappelez-vous: notre Conseillère fédérale Sommaruga, celle dont l’argumentaire pour limiter l’immigration a été et est encore de type soins palliatifs avec traitements homéopathiques, et autres élus de gauche et du centre soumis à la gauche, avaient expliqué au peuple suisse que les nombreux immigrants érythréens étaient venus en Suisse pour fuir un affreux gouvernement d’oppression. Mensonge éhonté puisque des milliers de ces Érythréens accueillis en Suisse et en Europe, comme réfugiés, ont par la suite manifesté devant le bâtiment de l’ONU à Genève pour soutenir ce même gouvernement érythréen accusé par l’ONU de crime contre l’humanité. Ces immigrants n’étaient donc pas des réfugiés! Il en est de même de ces Camerounais!
Si la Suisse veut continuer d’être tranquille, elle doit expulser tous ceux qui créent le désordre sur son territoire. Si elle ne le fait pas, elle deviendra une simple annexe de la France, c’est à dire du dépotoir du monde !