Cenator : Reportage de la RTS au 19h30, lundi de Pentecôte, sur un djihadiste interviewé en Irak.
NON, il n'aurait jamais fait de mal en tant que djihadiste.
Pas un mot sur les exécutions et les atrocités qu'il a regardées sur internet avant d'aller se battre au côté des djihadistes de l’EI. Pas un mot au TJ sur sa femme et son enfant également détenus en Syrie.
Actuellement, l'Irak a osé présenter des tarifs aux États occidentaux droit-de-l'hommistes, à savoir : deux millions par tête pour le jugement d'un djihadiste et un million pour éviter l’exécution d'un djihadiste condamné à mort !
Est-ce que les contribuables vont passer à la caisse ?
Nous parions que OUI !!!
Le djihadiste déchu met au défi l’équipe de la RTS et les délégués du CICR :
"Si je ne peux pas rentrer en Suisse, mettez-moi une balle dans la tête"
RTS INFO: Temps Présent a pu rencontrer un djihadiste vaudois emprisonné depuis 2018 par les Kurdes. Il dénonce les mauvais traitements
Au nord-est de la Syrie, une équipe de Temps Présent a pu s’entretenir avec un djihadiste vaudois détenu par les Kurdes depuis janvier 2018. Il dénonce les mauvais traitements dont il est l’objet.
L'émission Temps Présent a rencontré le Vaudois Adnan (nom d'emprunt) dans un lieu secret, où des soldats des forces kurdes (YPG) l'ont amené menotté et les yeux bandés. Adnan a accepté de répondre aux questions de Temps Présent lors d'un entretien qui a duré une heure.
"Ils m'ont torturé (...) je n'en peux plus"
Alors que Temps Présent lui faisait remarquer que l'entretien était également filmé par un représentant kurde, le Vaudois de 25 ans déclare: "Quand ils m'ont sorti de ma cellule, je me suis dit: 'si je rencontre des journalistes, je vais prendre le risque, je vais tout dire, je m'en fiche…' Ca fait maintenant 50 jours que je suis menotté, ils m'ont mis dans une pièce de 2 mètres de long et 1,5 mètre de large et ils m'ont torturé. Hier encore, ils m'ont frappé. Ils rentrent, ils frappent, ils sortent, ils frappent... Franchement, je n'en peux plus."
Pâle, visiblement à bout et très maigre pour sa taille (1m92), Adnan explique que depuis des semaines, il doit partager un unique repas avec son codétenu, une moitié d'assiette de riz par exemple, toutes les 24 heures. "J'ai énormément maigri. Je ne reconnais pas mon corps. Avant, je faisais 95 kilos, maintenant je dois faire moins de 75 kilos, mes cuisses font presque la taille de mon bras."
[...]
Fin des visites du CICR après une mutinerie
Selon le Vaudois, les mauvais traitements ont redoublé suite aux troubles qui ont eu lieu dans sa prison. Comme l'ont rapporté les médias, le 5 avril, une mutinerie a démarré dans la prison de haute-sécurité de Derik, à l'extrême nord-est de la Syrie. Quelques 200 prisonniers, d'anciens combattants du groupe Etat islamique, dont des cadres français, ont attaqué des gardes et tenté de s'évader.
L'intervention massive des forces de sécurité kurdes, soutenue par la présence de deux avions de chasse américains, a fait échouer cette tentative d'évasion.
Depuis, Adnan dit n'avoir plus eu de visites du CICR. Par ailleurs, depuis juillet 2018, il n'a plus de nouvelles de ses parents domiciliés dans le canton de Vaud et depuis fin 2018, aucune de sa femme et de sa fille de deux ans, deux Suissesses détenues par les Kurdes dans le camp de Roj.
Adnan n'a pas d'avocat. Citoyen suisse, il a pourtant droit à la protection consulaire qui prévoit notamment le droit à "des conditions de détention humaines, au respect des droits de la défense et aux garanties de procédures".
"Je voulais quitter l'Etat islamique au bout de 3 jours"
Selon ses dires, Adnan a pris "une grosse claque" dès son arrivé en Syrie à l'été 2015. "Au bout de 3 jours, je voulais partir". Mais sa fuite se serait avérée impossible. "Ils te prennent ton passeport, je ne savais pas où passer et il fallait beaucoup d'argent." Fin 2017, lorsqu'il parvient à engager un passeur pour se rendre en Turquie avec sa femme et sa fille, ils sont "vendus aux Kurdes", explique-t-il.
Adnan et son épouse sont des Suisses d’origine bosniaque. Issu d'une famille non pratiquante, il dit s'être radicalisé sur les réseaux sociaux: "J'ai envie de me frapper la tête contre le mur: Pourquoi je me suis fait avoir comme ça? Comment j'ai fait pour croire ces gens et leurs vidéos? Comment j'ai fait pour croire que la vie était belle dans l'Etat islamique? Ce ne sont que des mensonges. Une fois que vous êtes là-bas, on n'est plus libre: si on ne pense pas comme eux, soit ils te tuent, soit ils te mettent en prison."
"J'ai fait une grosse erreur et je l'assume"
Adnan reconnaît avoir suivi un entraînement sommaire mais dit n'avoir jamais combattu, ce que nous n'avons pas pu vérifier. Une note militaire du groupe EI, en mains de services de renseignements occidentaux, confirmerait cependant qu'il a refusé de prendre les armes.
Pour passer entre les gouttes, il explique avoir changé de nom et s'être caché. "Daesh m'a accusé d'être un espion. Ils m'ont emprisonnée et fouetté. Ils ont exécuté sept Français, trois Britanniques et je crois un Allemand, tous accusés d'espionnage. Moi je suis passé juste, juste. Je désavoue Daesh, je n'ai pas leur idéologie et je suis opposé à tous ces groupes djihadistes. (...) Le problème c'est que maintenant, peu importe ce que je peux dire pour me défendre, on ne va pas me croire."
Lorsqu'on lui demande s'il plaide néanmoins coupable, Adnan le reconnaît: "Bien sûr, j'ai fait une grosse erreur. J'ai rejoint Daesh, un groupe terroriste. Je suis coupable, je l'assume et je dois payer pour ça. Je sais que je dois aller en prison. Si je rentre en Suisse et que j'ai 10 à 15 ans de prison, je paie, pas de problème. Mais je ne peux plus rester ici."
Une balle dans la tête pour que ça s'arrête
Lorsqu'on lui fait remarquer que la Suisse refuse de rapatrier les combattants djihadistes et qu'il s'est mis dans cette situation lui-même, Adnan répond: "C'est vrai que je me suis mis dans ce problème tout seul. Mais si je ne rentre pas en Suisse, franchement, je préfère qu'ils me mettent une balle dans la tête tout de suite pour que ça s'arrête, pour que je ne doive plus subir. Quand je serai de retour dans ma cellule, ils vont m'arracher, c'est sûr. Il faut que je me prépare à encaisser les coups."
Les forces kurdes ont repris la quasi-totalité des territoires contrôlés par le groupe EI avec le soutien de la coalition internationale. Les Kurdes, qui ont connu de grosses pertes humaines pendant les combats, doivent aujourd'hui gérer les quelques 6000 combattants étrangers du groupe Etat islamique qu'ils ont fait prisonniers alors que près de 80'000 femmes et enfants sont détenus dans les camps de Al-Hol et Roj.
Arguant qu'il en va de la sécurité de tous, les Kurdes demandent aux Etats de reprendre leurs ressortissants et réclame l'aide de la Communauté internationale. Mais jusqu'ici leur appel n'a pas été entendu.
>> Regarder le sujet du 19h30 de la RTS de lundi soir, consacré au sort des ressortissants étrangers emprisonnés en Irak:
(vidéo)
Une douzaines d'adultes en lien avec la Suisse
La Suisse compte une douzaine d'adultes qui ont des liens avec la Suisse sur le territoire contrôlé par les Kurdes, mais refuse de les rapatrier.
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"Malheureusement, la Communauté Internationale et en particulier les pays européens ne veulent pas assumer leurs responsabilités à l'égard de leurs ressortissants, explique Abdul Karim Omar. Nous demandons à la Communauté Internationale de nous aider à créer un Tribunal International. Le mieux serait de rapatrier les mères et les enfants et de les réhabiliter. Si ces enfants ne sont pas rapatriés, ils vont grandir dans l'idéologie terroriste".
Article complet : https://www.rts.ch/info/monde/10496013--si-je-ne-peux-pas-rentrer-en-suisse-mettez-moi-une-balle-dans-la-tete-.html
La Suisse ne doit pas devenir l’eldorado d’assassins qui n’auront jamais le moindre regret et de honte pour ce qu’ils ont fait. Ce n’est pas le problème de la Suisse. Ils ont eu les couilles de partir faire le Djiad et maintenant qu’ils sont là corde au coup ils pleurent. Des lavettes qui ont certainement brûlé leur passeport. Voir du sang quand c’est celui des opprimés ça les a fait bander. Mais quand c’es le leur… on pleure sa mère (comme ils disent). Non on a pas à payer des impôts pour ces m……
La première chose à faire pour ce binational, c’est de lui retirer sa nationalité suisse.
Pour le reste, il se débrouille avec sa Bosnie natale et fraternelle.
ayant ete enleve et torture par “les services”algeriens je peux vous dire que c’est TOUS les jours que des gens sont tortures dans ce pays(si proche),mais chut!
Il se foutrait pas de notre gueule lui par hasard ? Il n’était pas au courant des saloperies que faisaient les Islamistes c’est ça ? Que cette ordure pourrisse pour les cinquante prochaines années dans les prisons syriennes. Qui sait il se reprentira peut être et évitera d’aller ensuite pourrir en enfer.
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j’espère du fond du cœur qu’ils le torturons le reste de ça misérable vie de merde !!!!
ils y vont, qu’ils y restent…..!!!!!!
“Malheureusement, la Communauté Internationale et en particulier les pays européens ne veulent pas assumer leurs responsabilités à l’égard de leurs ressortissants”: on prend exemple sur les pays “fournisseurs” de “migrants” illégaux qui ne veulent pas reprendre leurs nationaux quand on leur retourne la marchandise. Un prêté pour un rendu
Quel est le coût à payer pour ce genre de reportage en Syrie,avec l’argent des NO BILLAG ! Je peux vous le certifier,cette médiocre télévision à la sauce ex urss était MIEUX dans les ANNEES 30. Car INEXISTENTE, c’était bénéfique ! la radio suffisait amplement en écoutant les parasites,qui ne sont pas du tout les même que nous avons actuellement et qui nous pourrissent l’exsistence,qui MALGRE TOUT ETAIT MIEUX plus seraine et plus saine.
Djihadiste vaudois quelle honte ! mais comment les autorités ont’ elles permis à ce genre de criminogènes islamiques d’exister sur son sol…!
Offrez lui le dessert à L’ARSENIC,à cette CREVURE ! Combien de morts et de viols sur sa concience. NE JAMAIS RAPATRIER CES CLIENTS ET SURTOUT NE JAMAIS FINANCER LES ENNEMIS DE LA PATRIE OU VA T’ON BON DIEU !
qu’il crève !!!!!!
Pauvre petit gars ,pour moi retour en Bosnie ,parmi ta famille ,mais ne vient plus du tout en Suisse.
c’est à la Bosnie de le rapatrier. Le seul devoir de la Suisse et de lui retirer son passeport. Et de le mettre sur une liste “dangereux pour l’état”.
Pas un sou de no deniers pour sortir ces dégénérés du bac à sable qu’ils y crèvent ! Et si nos journalopes les aiment à ce point qu’ils aient se faire exécuter avec, comme ça on en sera débarrassé.
Pauvre petit chaton….. piégé par les vilains alors qu’il ne souhaitait que sauver des enfants opprimés par un régime politique….. je suis inconsolable de ta mort toute proche et tandis que tu croupis lamentablement dans ta cellule de 3 m2 à bouffer du riz et à te faire tabasser je bois une bière, sourire aux lèvres, en imaginant que justice sera faite pour des fumiers comme toi!!!! Et d’ailleurs je crois que je vais m’en ouvrir une deuxième et me faire une tranche de bon ptit lard fumé en me disant que, finalement, il serait effectivement très bien de te la mettre cette foutue balle dans la tête! Crève en silence sale lâche!!!! Quant à ta femme et à ta gosse ils ne seront pas heureux en Suisse donc…
»mettez-moi une balle dans la tête ».
Ce genre d’individu réfléchi APRÈS avoir (mal) agit …
Combien d’exaction contre des innocents a-t-il commis ?
Combien de femmes violées et de personnes exécutées ?
Pas de retour au pays !
Ce sont des BOMBES ambulantes !
Qu’il reste où il est, il a choisi.
Si ça va mal pour sa petite personne, il aura outrecuidance d’invoquer les droits de l’homme …
Il veut une balle dans la tête ? je paye la balle !
Un irrécupérable en plus très dangereux, le mieux c’est la balle !
Ou, si est chanceux, étant musulman et bosniaque, retour en Bosnie, c’est à ça que ça sert la double nationalité !