Interview de Kenneth S. Abramowitz
La question se pose à nouveau de savoir qui voudrait, par exemple, détruire l’UE. Pour autant qu’il soit correct ou possible de le faire.
Bien sûr que c’est possible. Quittez-la ! A l’instar de la Grande-Bretagne, l’Europe de l’Est devrait quitter l’Union européenne, une organisation moribonde. Elle n’est pas en mesure de fournir une protection physique à ses résidents, elle n’a plus de croissance économique et elle ne parvient pas à protéger sa propre culture. Un gouvernement qui ne remplit pas ces trois tâches fondamentales n’a plus de raison d’être.
Vous avez trois options en Europe de l’Est: changer l’UE, la quitter, ou simplement l’ignorer. Si l’Europe de l’Est ne décide pas son destin avec sagesse, elle risque de connaître le même déclin que la civilisation occidentale.
Mais pour le moment mes attentes pour l’Europe de l’Est sont très positives. Je pense que la moitié des Européens occidentaux [de souche] partiront vivre en Europe de l’Est.
Quand le feront-ils et pourquoi?
Au cours des deux prochaines générations, et principalement à cause des activités des groupes rouge-vert. Si les communistes socialistes et les représentants politiques islamiques acquièrent le pouvoir sur l’Europe occidentale, ils la détruiront. Les chrétiens ont donc quelque chose à craindre, aussi bien sur le plan individuel que familial.
La question clé me concerne de toute façon pas les juifs. Il y a 70 ans, le nombre de personnes qui vivaient en Israël était insignifiant, mais aujourd'hui, beaucoup ont le sentiment d'avoir trouvé la sécurité là-bas.
Je ferais une comparaison. Les juifs sont comme les petits canaris que l’on avait autrefois dans les mines pour signaler la présence de gaz toxiques. S’ils s’envolaient ou mouraient, on savait qu’il y avait un grand danger. C’est ce qui se passe aujourd’hui en Europe.
La question principale est donc de savoir s’il y aura encore des chrétiens en Europe dans cent ans. Je pense que la réponse est oui pour l’Europe orientale, mais peut-être non pour l’Europe occidentale.
C'est pourquoi je suis très optimiste quant à la partie orientale de l’Europe, y compris la Hongrie, par rapport à l’Europe occidentale.
Source en hongrois : Mandiner (25.05.2019)
Traduction Cenator
Article complet en hongrois : Neokohn
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Kenneth S. Abramowitz, 68 ans, Américain, est un des plus importants donateurs du Parti républicain et de la campagne électorale de Donald Trump.
Celui qui se décrit comme un "centriste rationnel" dirige une entreprise d’appareils médicaux réputée. Son intérêt pour la politique a commencé après les attentats du 11 septembre. Il est convaincu que le monde occidental est engagé dans une lutte à mort contre l'islam radical et que le bastion le plus solide contre la menace islamiste – malgré tous ses défauts – est le Parti républicain américain.
Pour diffuser ses idées, il a créé un site nommé SaveTheWest.com, où il examine la propagation des vues d’extrême gauche en Amérique. Il observe par exemple qu’à peine la moitié des Américains adultes connaissent la Constitution américaine ; près de 70% ont une vision marxiste ; la moitié ne lisent pas mieux qu’un écolier de huitième ; 80% des diplômés américains ne passeraient pas un examen élémentaire d’histoire.
Abramowitz pense également que nous sommes en pleine "Troisième Guerre mondiale" contre l'Etat islamique, Al-Qaïda, les Frères musulmans et l'Iran. D’autres pays hostiles sont la Turquie, le Qatar, l’Arabie saoudite et le Pakistan. : "L’Iran a promis un génocide aux Américains et aux Israéliens." Selon lui, d’ici 15 ans, soit l’Iran, soit l’Amérique, n’existera plus sous sa forme actuelle.
Source en hongrois : Mandiner (19.03.2019)
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Exposés (en anglais) de Rachel Ehrenfeld (fondatrice et présidente du Centre américain pour la démocratie) et de Kenneth S. Abramowitz (depuis 16:10) à la Conférence internationale sur la migration organisée en mars dernier à Budapest :
Et moi je me demande si les Européens de l’Est accepteront d’accueillir des gens qui les ont diabolisés, traités de fascistes d’extrême droite, de racistes, menacés d’exclusion, de sanctions, des Suisses dont les députés de gauche ont quitté ostensiblement le parlement pour marquer leur opposition à la visite d’un ministre hongrois . Ah qu’est-ce qu’ils nous ont fait honte….ces députés qui n’ont jamais mis les pieds en Europe de l’Est.
Faudra-t-il s’expatrier dans l’ancien bloc de l’EST ?
Bôf! il n’a pas besoin de s’inquiéter autant… Chaque jour, on sent les peuples et les politiques honnêtes avancer dans leur refus de ces gens
Le problème, c’est qu’une fois que les socialistes et les représentants politiques islamiques auront détruit l’Europe occidentale, ils chercheront aussi à émigrer à l’est, avec leurs boulets et parasites, tout ce petit monde manquant cruellement des allocations payées par ces sales Blancs de souche occidentaux !