Cenator : La Suisse, très soucieuse de son image et de sa réputation, ouvre ses bras chaque année pour accueillir les populations les plus vulnérables. Cette folie dure depuis les années 80, années qui ont inauguré la dilution de la Suisse dans l’invasion musulmane.
A cette époque, par exemple, une cadre britannique du HCR, qui disait que la Suisse est assez gentille et riche pour prendre soin de cette population (ses paroles m’ont été rapportées par le Délégué aux Réfugiés), avait décidé de faire venir 3000 veuves somaliennes avec leurs enfants. Ces veuves et leurs nombreux rejetons (jusqu’à 9 enfants par veuve) étaient totalement inadaptées pour vivre en Occident, analphabètes, avec un système de valeurs d’un autre âge et des coutumes inconciliables avec les nôtres.
Cette importation a amené des enfants très perturbés, nécessitant toutes sortes de soins et thérapies, la plupart définitivement incapables d’acquérir une formation leur permettant de s’assumer économiquement. Ces familles nous ont coûté des centaines de millions et vont encore nous coûter. De plus, certaines de ces veuves infibulées ont continué à tomber enceintes, car dans leur culture la valeur d’une femme se mesure au nombre de ses accouchements.
Chaque année, la Suisse accueille des « réfugiés » vulnérables : plus ils sont coûteux à la collectivité, mieux c’est ! Avec l’argent déversé pour cette population, la Suisse aurait pu essayer d’améliorer le système de santé en Afrique ou, tout bonnement, éviter d’acculer sa propre population avec des impôts et assurances exorbitants.
Lors de la guerre des Balkans, les familles bosniaques comportant des personnes lourdement handicapées ou des personnes âgées ont été dirigées en nombre vers la Suisse.
Les permis B humanitaires pleuvent depuis 40 ans, et rien ne satisfait l’establishment de gauche, qui continue à réclamer davantage de migrants.
Chaque personne dont les primes d’assurance maladie ne sont pas du tout subventionnées porte sur son dos (de contribuable) deux parasites, ou plus… et la population lobotomisée continue de voter à gauche !
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Sont concernés des réfugiés particulièrement vulnérables, en situation précaire dans leur pays de premier accueil. Au moins 80% d'entre eux devront provenir des régions en crise du Proche-Orient et de la route migratoire passant par la Méditerranée centrale. Les 20% de places restantes pourront être utilisées pour répondre, à courte échéance, à des situations d’urgence.
Le Conseil fédéral avait déjà annoncé en novembre qu'il accueillerait au plus 800 réfugiés reconnus par le HCR en 2019 et poursuivrait la participation suisse au programme de réinstallation du HCR. L'arrivée de la libérale-radicale Karin Keller-Sutter à la tête du Département de justice et police n'a pas infléchi le cap pris sous la direction de la socialiste Simonetta Sommaruga.
Avec le projet élaboré en commun par la Confédération, les cantons, les villes, les communes et d’autres organisations, le Conseil fédéral adoptera tous les deux ans un programme de réinstallation en faveur de 1500 à 2000 réfugiés au plus. Les cantons devront être préalablement consultés et les commissions parlementaires des institutions politiques informées.
Contrôles de sécurité
Comme de coutume, les réfugiés seront entendus avant leur entrée en Suisse et ils devront montrer qu'ils sont disposés à s'intégrer. [...]
ats/gma
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Ces Somaliennes ou autres, à part le fait de brailler continuellement dans leur(s) smartphone (s) dans les rues et les bus de Lausanne, avec leurs chiquelettes et leurs burkas bariolées, je n’ai jamais constaté chez ces QI de 70 la moindre volonté de quitter le monde confortable de l’ aide sociale.
Pour la gauche, une vague promesse d’ intégration équivaut visiblement à l’ assurance de vivre éternellement des prestations sociales, sous prétexte que, ma foi, aucun employeur n’a pris la peine d’ offrir un job de rêve à celles qui sont censées financer nos retraites.
Ah… enfin de retour sur le site, Christian Hofer. Votre contribution nous a manqué! L’heure est grave, alors plus de bouderies d’ado d’accord?
Tout est dit monsieur Bonardo….merci!
Il y a franchement de quoi se poser des questions ,mais cela devient la mode de prendre le peuple pour des débiles ,il y a tellement d`argent pour les autres oui pour les autres que le conseil fédéral aimerait faire travailler les femmes jusqu`à 65 ans voir plus ,je ne parle pas des primes des caisses maladies ,de l`AVS ,et le climat dans tout cela ??? et oui le climat nous sommes déjà serré comme des sardines ,je ne parle pas des logements ,des places de parcs ,de la pollution ,de la circulation ,et on aimerait encore accueillir des personnes ,merci pour l`écologie ,merci pour le bilan carbone ,dans un litre le contenu reste et sera toujours un litre ,inutile de vouloir en mettre plus ,cela débordera , et ne me parlez pas d`intégration ,à bon entendeur salut.
“Comme de coutume, les réfugiés seront entendus avant leur entrée en Suisse et ils devront montrer qu’ils sont disposés à s’intégrer.”
Le mensonge ultime de nos médias et de nos autorités. On rappelle que cette Suisse a accueilli durant près de 10 ans des terroristes de l’UCK sous l’excuse d’humanitaire, sans que cela ne choque notre Conseil fédéral :
https://lesobservateurs.ch/2018/03/22/conseil-federal-lorsque-notre-administration-accueillait-les-criminels-de-luck-en-tant-que-refugies
Je ne sais pas si la barque est plein, mais le bol est raz …!
“qu’ils sont disposés à s’intégrer”
J’aimerai bien connaître les critères d’intégration. Si c’est être 100% dépendant de l’aide sociale, délinquant et ne pas parler une seule langue nationale après 30ans, c’est tout bon.