Allemagne : de plus en plus de migrants ne réussissent pas le test d’intégration

En 2018, 45% des migrants qui ont suivi les cours de langue et d’intégration ont échoué à l’examen, et même 25% de ceux qui ont suivi des cours supplémentaires.

Il faut dire que 22% étaient analphabètes quand ils ont commencé les cours.

Sur les 202'000 migrants qui ont fréquenté les cours en 2018, 40'000 étaient Syriens, suivis par les Afghans, les Irakiens, les Roumains, les Turcs et les Bulgares.

En 2017, le taux d’échec était de 40%.

L’Office fédéral de la migration et des réfugiés (BAMF) a été critiqué pour la mauvaise qualité des cours.

Il y a aussi eu des plaintes contre des fournisseurs de cours pour fraude ou falsification de documents. Ainsi, l’un d’eux laissait des participants réussir l’examen sans avoir les compétences linguistiques requises. Autre problème : il n’y avait pas d’instructions précises sur ce que signifie une participation « régulière » aux cours.

Source : DW
Résumé Cenator

6 commentaires

  1. Posté par G. Guichard le

    On continue d’utiliser des concepts qui pouvaient fonctionner entre pays homogènes (migrations de travail des années 60) mais là, soit ce sont des gens qui fuient la guerre et ça n’est pas la peine qu’ils la fuient aussi loin; soit ce sont des clientèles des activistes et ils doivent rester chez eux

  2. Posté par Françoise le

    Et si vous saviez combien le niveau qui est exigé est bas! Ils ne connaissent pas le sens du mot “apprendre”. Ils ne savent pas ce qu’est l’assiduité. Ils ne fournissent aucun travail personnel.
    Je vis en Allemagne. Ceux qui ont régulièrement suivi mes cours et ont appris quelque chose avaient tous obtenu auparavant un “vrai” diplôme chez eux. Les autres ne viennent que de temps en temps pour ne pas avoir d’ennuis avec l’administration. Ils racontent avoir 21 ans, puis 18, puis 16. Une jeune femme venait du Soudan. La semaine suivante, elle venait de Somalie… D’où elle venait réellement, quel était son âge réel, je n’ai jamais pu le savoir.
    On distribue des cahiers et des stylos… ils viennent presque tous sans cahier et sans stylo le lendemain, puis le surlendemain… ça ne sert à rien de leur fournir quoi que ce soit!
    Je n’avais aucune prévention contre les migrants quand ils sont arrivés en 2015. J’étais même assez euphorique à l’idée d’enseigner l’allemand à un groupe. J’ai déchanté.
    J’ai ensuite enseigné dans une école qui propose une formation professionnelle en 18 mois dans le social.
    Il faut se méfier de ceux qui prétendent avoir ont un bac: ils sont quasiment analphabète, ne remplissent pas un texte à trous du niveau CE2, et après qu’ont ait bien étudié l’infirmité-motrice-cérébrale pendant une journée complète, notamment en regardant des vidéos, un de ces génies qui venait du Cameroun me dit “Celle-là, elle a été victime de rites vaudou”. A la fin du cours sur l’épilepsie, qui dure lui aussi une journée, un autre génie qui regarde avec la classe une vidéo qui montre une personne en crise s’exclame: “Un sorcier lui a jeté un sort!”
    Lors d’une interrogation orale sur la paraplégie (paralysie de l’hémicorps inférieur) une future employée du CNRS explique très bien que la moitié du corps est paralysé, mais ne sait plus si c’est “de la tête à la taille ou de la taille jusqu’aux pieds”.
    Pourquoi donc travailler l’anatomie, la neurologie et tout le reste (niveau élémentaire +++) puisque manifestement, personne ne comprend rien!
    Un élève venu du Penjab, bachelier d’après les papiers qu’il a fournis et ayant suivi toute sa scolarité en anglais, avait un peu de mal à comprendre l’allemand. Je m’adresse à lui en anglais et je constate que son niveau ne dépassait pas “The grass is green” ou “This is my school”. En outre, il ne savait pas situer le Penjab sur une carte de l’Inde…
    Tout disparaît dans l’école. Le matin à huit heures, il y a une dizaine de rouleaux de papiers toilettes entreposés dans les WC femmes. Lors de la pause de 9 heures trente, les femmes viennent se plaindre qu’il n’y a plus de papier toilette, que c’est un scandale que l’école n’en fournisse pas… pareil pour le savon, le parapluie que vous laissez dans un coin de la classe… Il ne faut pas laisser un vêtement sur le dossier de la chaise, car le temps que vous alliez chercher le beamer vos poches sont faites.
    Je pourrais écrire un bouquin!
    J’avais été contente de pouvoir enseigner des adultes qui, en suivant une formation professionnelle, montraient plus de motivation que les précédents. Leur bêtise insondable, leur malhonnêteté chronique, leur paresse et leurs mensonges constants ont eu raison de ma bonne volonté. Je suis aujourd’hui raciiiiisssssste!
    Pensez un peu que ces gens reçoivent tous un certificat (on s’arrange pour que tous réussissent l’examen bidon) et qu’on les emploie à accompagner des personnes handicapées totalement sans défense ou à aider des personnes âgées atteinte de la maladie d’Alzeimer.
    C’est l’horreur!

  3. Posté par Antoine le

    ”En 2017, le taux d’échec était de 40%
    En 2018, 45% des migrants qui ont suivi les cours de langue et d’intégration ont échoué à l’examen.
    Il faut dire que 22% étaient analphabètes.”
    Où sont les docteurs, ingénieurs ou autres personnes formées ?
    Il faut constater que de l’intégration, il n’y en aura PAS !
    Ou alors la 2ème ou 3ème génération …

  4. Posté par Sergio le

    C’est à cause de la mauvaise qualité des cours…qui les ont rendus analphabètes. C’est à hurler de rire. Décidément, l’Europe est devenue un bateau ivre qu’il est impossible de quitter même en cas de naufrage.

  5. Posté par expat le

    raus !!! schnell

  6. Posté par Bussy le

    Tiens, étonnant, on nous avait pourtant dit que ces migrants étaient ingénieurs, médecins, astrophysiciens…..
    Quant au fait que les Roumains, Turcs et Bulgares fuient la guerre….

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