Correspondant permanent aux Etats-Unis. – Au printemps 1970, les plus organisés des ayatollahs de l’écologisme lancèrent l’idée d’une Journée de la Terre, le 22 avril de chaque année. Il s’agissait de rappeler avec fracas aux humains, ingrats et prédateurs par définition, leurs devoirs envers celle qui les porte et les nourrit. Le New York Timesse complut dans le grandiose : le titre qui barrait sa une s’enthousiasma devant des millions de « sauveurs de planète » défilant dans les rues de l’Amérique. A cette occasion, de nombreux « scientifiques » émirent quelques prédictions afin de secouer les consciences. A quarante-neuf ans de distance, on mesure leur incompétence ou leur imposture.
– Quarante-huit heures après la Journée de la Terre, le New York Timesenfonçait encore le clou dans un éditorial sur la pollution. « Elle doit cesser dans les plus brefs délais, implorait-il, sinon la race humaine ira en se détériorant jusqu’à son extinction. »
– George Wald, professeur de biologie à Harvard, estima que si rien n’était entrepris dans l’immédiat, la civilisation s’éteindrait au tournant du millénaire.
– Son collègue de l’université de Washington, Barry Commoner, affirma que la crise de l’environnement est telle qu’il y va de la survie des Etats-Unis et du monde.
– Paul Ehrlich, autre biologiste, professeur à l’université Stanford et auteur de ThePopulation Bomb (1968), claironna sur toutes les antennes du pays que 100 à 200 millions de personnes périraient de famine entre 1980 et 1990.
– Peter Gunter, professeur d’université au Texas, écrivit qu’à partir de 1975, un manque cruel de vivres allait gagner l’Inde, la Chine, le Moyen-Orient et l’Afrique. En 2000, le monde entier offrirait le dramatique spectacle de milliards de ventres vides – à l’exception de l’Europe, des Etats-Unis et de l’Australie.
– Dans son discours d’inauguration de la Journée de la Terre, Denis Hayes, l’un des organisateurs, se lamenta : « Il est peut-être déjà trop tard pour éviter une famine générale qui pulvérisera des continents entiers. »
– Pour célébrer cette mémorable journée, le magazine Lifefit parler des « experts ». Tous annoncèrent qu’en 1980, les citadins des Etats-Unis seraient obligés de porter en permanence un masque à gaz pour échapper à la pollution.
– Ehrlich, encore lui, prophétisa qu’en 1973, 200 000 Américains seraient tués dans les rues de Los Angeles et New York par des brouillards asphyxiants.
– Kenneth Watt, écologiste, se distingua en gratifiant tous les pays d’un avertissement solennel : si nous continuons à mépriser les réalités, en 2000 il n’y aura plus une goutte de pétrole dans les entrailles de la terre.
– Dillon Ripley, secrétaire du Smithsonian Institute, souligna qu’un bilan établi entre 1990 et 2000 indiquait que partout dans le monde, près de 80 % des espèces animales seraient en voie d’extinction.
– Ehrlich, toujours lui, publia le résultat de ses projections : tous les Américains nés après 1946 deviendraient les victimes expiatoires de la pollution et auraient une espérance de vie de 42 ans en moyenne au lieu de 78 ans.
Ces grotesques bobards n’empêchent pas la Journée de la Terre d’être célébrée ponctuellement chaque année, ni la scandaleuse imposture de drainer impunément des milliards de dollars.
Cet article USA : les fausses prédictions des écolos-catastrophistes est apparu en premier sur Présent.
Extrait de: Source et auteur
Et ajoutons toutes les FAUSSES prédilections d’Al Gore :
https://www.contrepoints.org/2014/01/15/153251-rechauffement-climatique-les-predictions-dal-gore-et-la-realite
https://fr.prepareforchange.net/2018/01/06/les-10-predictions-dal-gore-sur-le-rechauffement-climatique-12-ans-plus-tard-aucune-ne-sest-produite/
Il faudra que les prédicateurs du réchauffement climatique s’achètent des boules de cristal qui prédisent correctement le futur !!