Le dernier volet des aventures des Avengers est sorti sur les écrans romands ces jours. Voilà donc une petite critique que ceux qui souhaitent découvrir le film devraient éviter le lire. Non pas que j'y dévoile massivement l'intrigue, mais parce que je n'en dis pas que du bien…
Les Avengers? Une assemblée de super-héros de l'univers des Comics Marvel, réunis comme il se doit pour sauver le monde. En fait Avengers:Endgame est la suite de Avengers:Infinity War de 2018 qui voyait le méchant Thanos tenter de récupérer les Pierres d'Infinités pour détruire la moitié, littéralement, des formes de vies de l'univers. La triste fin de l'épisode précédent ne laissait aucun doute sur l'existence d'une suite, qui clôt d'ailleurs ce cycle du MCU (l'Univers Cinématographique de Marvel). Parce que la transposition des héros au cinéma est un constant renouvellement: les acteurs vieillissent ou se lassent et doivent être remplacés, ce qui donne lieu à autant de remake et de reboot avec de nouveaux interprètes pour nos héros favoris, ou ici, des passages de témoin sur lesquels je reviendrai.
Une partie de l'affiche du film. La surface prise par chaque personnage
est-elle proportionnelle à sa présence à l'écran? Mystère…
Alors, Avengers:Endgame est-il un bon film? En quelques mot: non, c'est une distraction qui ne restera pas dans les mémoires (en tout cas bien moins que son prédécesseur). Si le film est spectaculaire dans ses scènes d'action et réussit la prouesse de laisser se développer l'intrigue en impliquant une dizaine de personnages principaux sans donner trop l'impression de calculer le temps d'antenne façon CSA, il pèche par quelques aspects pas complètement anecdotiques, comme le scénario, le placement de produits, et surtout les SJW.
Les placements de produits ont étésrepérés depuis longtemps mais en l'espèce certains sont aussi subtils qu'un Hulk dans un magasin de porcelaine. Impossible de ressortir d'Avengers:Endgame sans comprendre que les super-héros badass roulent en Audi et que Fortnite est le jeu à la mode, c'en est presque gênant.
Pourtant, ces placements commerciaux ne sont que péchés véniels comparés à un scénario plus troué qu'un emmental. La faute à la "solution ultime" de toutes les intrigues inextricables: le voyage dans le temps, bien sûr! Tout le monde avait compris bien avant le début du film qu'on passerait probablement par là (seul cheminement praticable pour sauver tous les héros morts lors de l'opus précédent) et si les protagonistes d'Avengers:Endgame font mine de s'inquiéter des conséquences de leurs sauts temporels, l'intrigue déraille suffisamment vite et suffisamment profondément pour que le résultat final n'ai plus le moindre sens. Ceux qui ont vu le film confirmeront. Dans la ligne temporelle "reconstruite", Thanos n'a même plus mis la main sur une seule Pierre d'Infinité! Toute l'intrigue en devient parfaitement absurde.
Arrivent les Social Justice Warriors
Mais qu'en est-il finalement des Social Justice Warriors évoqués plus haut? Et qu'est-ce qu'un Social Justice Warrior (SJW pour les intimes) pour commencer? Le qualificatif désigne les "héros de la justice sociale", un terme moqueur inventé pour dénigrer les militants défendant toutes les causes à la mode du moment. On comptera pêle-mêle dans les rangs des SJW:
- des végans ;
- des pro-LGBT ;
- des féministes pro-islam (ou des gays pro-islam ou toute autre combinaison improbable) ;
- des hystériques du réchauffement climatique (qui prennent l'avion pour leurs loisirs) ;
- des adeptes de la sexualité alternative et de ses innombrables variantes (asexué, intersexe, sexe fluide etc.) ;
- des partisans du changement de sexe des enfants ;
- des défenseurs des droits de "minorités opprimées" uniquement dans les pays occidentaux…
La liste n'est pas exhaustive. On ne s'étonnera pas que ces SJW se retrouvent massivement à gauche et à l'extrême-gauche.
Notez bien qu'il n'y a rien de mal à "défendre" et à "lutter" en faveur de telles causes. Ce qui distingue un SJW d'un individu normal est, outre une perception totalement sélective de la réalité, sa propension à s'offenser de tout et ses réactions hystériques. Pour résumer, les SJW sont l'incarnation la plus extrémiste qui soit du politiquement correct, ce qui en fait des absurdités vivantes. Incapables de tolérer l'existence d'une opinion contraire et emportés dans leur indignation, ils sont aussi incapables d'argumenter.
Naturellement, leurs accoutrements souvent caractéristiques (bijoux "ethniques", couleurs de cheveux surnaturelles, style vestimentaire étrange, etc.) et leur comportement en font une cible de choix dans les mèmes, la guerre de la culture que la gauche a perdue.
"C'est à moi de décider qui est offensé(e)"
Rien de cela ne porterait à conséquence si, par un mélange de fascination et d'entrisme, les SJW ne se retrouvaient aux plus hauts niveaux de certaines entreprises comme les GAFA, les éditeurs de jeux vidéo ou les studios de cinéma… Comme ceux de Marvel.
Séquences SJW
Des thèmes de prédilection des SJW se retrouvent ainsi insérés de force dans Avengers:Endgame, d'une façon si peu subtile qu'elle ne laisse aucun doute, même auprès de spectateurs peu au courant du phénomène.
L'icône super-héroïque de ce mouvement est évidemment Capitaine Marvel, une super-héroïne portée à l'écran précisément pour être la championne de tous les SJW. Arrivée tardivement (l'unique film qui l'introduit dans l'univers Marvel est sorti un mois avant Avengers:Endgame), Capitaine Marvel a une relation distante avec le noyau des Avengers mais ses apparitions ne laissent aucun doute: elle est la plus puissante de tous les super-héros du plateau. Son super-pouvoir est en quelque sorte d'être supérieure à tout le monde.
Évidemment, Capitaine Marvel n'a pas de faiblesse (comme l'alcoolisme de Thor ou la colère de Hulk) puisque l'imperfection est anathème à la définition d'un super-héros SJW. A l'instar de Rey dans Star Wars, elle se révèle parfaite en tout, et peu importe que cela en fasse un personnage peu sympathique auquel il soit difficile de s'identifier.
Bien que d'une puissance qui pourrait être décisive, elle intervient peu dans le combat contre Thanos - parce qu'elle "n'a pas que ça à faire", étant donnée qu'elle est chargée de l'univers entier et pas de la petite Terre, comprenez-vous. La réplique a si peu de sens que même nos super-héros ne trouvent rien à répondre.
Capitaine Marvel se retrouve également à lancer une réplique "on va s'en occuper!" en parlant du méchant, suivie d'un plan large où se retrouvent une dizaine de super-héros et de combattants… Uniquement féminins, au beau milieu d'un champ de bataille. La scène est par trop incongrue et irréaliste pour ne pas avoir été pensée dans les moindres détails par un scénariste SJW lui-même.
Le féminisme n'est pas le seul thème des SWJ. Le Grand Remplacement en fait aussi partie et le film en est l'illustration parfaite, Avengers:Endgame étant aussi l'occasion d'un passage de témoins entre une ancienne et une nouvelle génération de héros. Le prochain Capitaine America est un noir. Le prochain Iron Man est une noire. Le prochain Thor est une femme noire (étant entendu que dans la mythologie nordique sauce Hollywood les Walkyries sont incarnées par des femmes noires).
On n'ose imaginer l'outrage cinématographique mondial si Black Panther avait cédé le trône du Wakanda à un blanc…
Fin de Cycle
Après un blackout médiatique de 48 heures les médias parlent d'Avengers:Endgame et si le jugement des critiques est globalement bon, celui du public est plus mitigé. Il est difficile de considérer le film comme pleinement réussi - les carences scénaristiques fragilisent ce qui aurait pu et dû être la conclusion satisfaisante d'une vingtaine de films.
Toutes proportions gardées, les séquences SJW qui donnent leur titre à ce billet ne sont qu'une partie mineure de l’œuvre ; mais il suffit d'un plan ou d'une réplique ratée dans un film où chaque seconde d'image a été pleinement réfléchie pour briser l'immersion du spectateur, et son sentiment d'évasion.
Rien ne dit que les films suivants seront des échecs commerciaux ; mais si la trajectoire entamée avec Captain Marvel se poursuit, il est probable que le grand public se lasse et que le prochain cycle du MCU fasse mourir peu à peu la franchise à la façon de Star Wars, elle aussi rachetée par Disney. Mais dans ce cas Disney n'est pas la seule société à blâmer ; l'éditeur de Comics Marvel est lui-même responsable du virage féministe/raciste donné à ses personnages, qui ont contribué au déclin des Comics avant que le cinéma ne leur donne un second souffle.
Les super-héros ne se sont pas réinventés dans la bonne direction.
Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 28 avril 2019
Analyse rapide sans perte de temps.
Les Avengers? Une assemblée de super-héros débiles de l’univers des Comics Marvel
Quelques remarques:
Concernant les “super héros ( ines)”: ceux ci, pour faire court, ne baisent pas, ou plutôt , pas comme des enfants de la nature faisant tout simplement l’amour: ce sont des héros à l’américaine, profondément puritains ( la feuille du vigne puritaine se situant tout autant, sinon plus, devant la bouche et les yeux que devant le sexe), et cherchent à “commettre” des “bonnes actions” comme masque du refoulement de leurs pulsions ( banales) perverses polymorphes.
Remarque purement informative à Aldo:
La température maximalisée au niveau du cerveau, générée par une onde éléctromagnétique de 0.1 Watt/ Kg, compte tenu du refroidissemnt sanguin, s’élève à moins de 0.1 °celsius ( les variations physiologiques au cours d’une journée sont de l’ordre de 1°celsius )
Les fréquences de ces ondes radio ( de l’ordre de 1000 Mhz) sont 100.000 fois plus faibles que celles susceptibles d’altérer les liasons interatomiques ( ex: les altérations du DNA à ces fréquences radios sont physiquement impossibles)
Pour le reste, il existe bien une action délétère des super héros et de la “révolution numérique”: elle se dénomme “abrutissement généralisé”
Amitiés à tous.
Nous sommes les cocus des GAFAM au lieu de GAFA, parce que les traitrises sécuritaires et l’espionite sont exploitées à haute dose par tout ce beau monde, microsoft compris, qui a bêtement pensé qu’il suffisait d’espionner électroniquement et téléphoniquement la planète pour ouvrir toutes les frontières sans risques. Or non seulement malgré les progrès ils n’y arrivent pas (téléphone arabe…) mais maintenant la théorie des profits résultants des frontières ouvertes a constitué le fer de lance pour imposer le totalitarisme sans frontières avec ces lois européenne inique, comme celles sur les armes. CES MILLIARDS D’APPAREILS ÉLECTRONIQUES SOURNOIS ET LARGEMENT IDIOTS A CAUSE DE CES CROYANCES DANS DES PROGRES FARFELUS, NOUS GARANTISSENT UNE SEULE CERTITUDE: UN MONDE RÉCHAUFFÉ EN PLEINE CROISSANCE, SANS QU’IL SOIT FAIT ÉTAT DE CETTE CAUSE, ELLE, BIEN RÉELLE.
Rappelons que ces micro-ondes, ondes-radars, liées aux transmissions supposées cancérigènes et réellement génératrices de chaleur dans leur environnement immédiat, sont activées pour les communications de ces appareils de paire avec l’arrosage de la planète à l’aide des satellites de communications. LA 5 G est la plus grosse farce technologique, puisqu’elle est déjà installée malgré un moratoire purement théorique pour temporairement ne pas froisser les écolos-bobos.
En effet, il n’y a plus beaucoup de besoins d’antennes supplémentaire puisque le matériel 4G et 5G et les modems peuvent servir à remplacer les antennes. On peut supposer que ce sont nos appareils qui vont servir de relais courtes distances dans nos poches et nos habitations, là où ils y en a une forte densité humaine. Leurs batteries déjà soigneusement limitées vont donc être sur-sollicitées à nos frais et à notre insu, ce qui va rapidement les rendre bons pour la poubelle et renouveler toutes ces bonnes affaires à venir sur notre dos, toujours coordonnées et induites par les mafias de la téléphonie depuis des décennies de profits artificiellement générés selon la méthode du goute à goute. Le démantèlement de la téléphonie cuivre a induit des télécommunications de m… contrairement aux alibis débités et en plus, la charge des consommateurs électriques de nos modems est maintenant à notre charge sans baisse de tarifs réels.