NDLR. Présidente des Jeunesses socialistes sur le départ, candidate au Parlement fédéral confirme : “”On a 1% des électeurs en Suisse. Mais on arrive à avoir une place assez grande dans les médias…” ! Qui en douterait ?
Son modèle: Che Guevara, auteur d’exécutions massives
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Modifié à 09:59
"Je me radicalise avec l'âge", assure la présidente de la JSS Tamara Funiciello
"J'ai quand même 29 ans. Pour la Jeunesse socialiste (JSS) je suis presque une grand-mère. C'est le moment de quitter le parti", estime Tamara Funiciello, invitée vendredi de La Matinale.
On l'a vue bloquer l'accès à la maison de Magdalena Martullo-Blocher, clouer un manifeste féministe sur le Palais fédéral ou encore brûler des soutiens-gorges pour appeler à une manifestation. La Bernoise vise aujourd'hui le Parlement. S'assagit-elle avec le temps? "Ah non, pas du tout! Les idées de la JSS sont très bonnes et je vais encore les suivre", répond celle qui a dirigé le parti pendant trois ans.
Et même plus: "Je me radicalise avec l'âge, je ne deviens pas plus tranquille, parce que je vois les problèmes plus clairement. Il faut un changement radical de la société pour avoir une société plus égalitaire".
>> Lire: Tamara Funiciello va quitter la tête de la Jeunesse socialiste suisse
"La critique n'est pas le problème"
Tamara Funiciello a été qualifiée de "femme la plus détestée de Suisse" par un quotidien alémanique. Et pour cause: elle a subi des menaces et des torrents de haine sur les réseaux sociaux. "Apparemment, je dérange les personnes et elles me le font sentir. Mais si je ne dérange pas, alors je ne suis pas la bonne personne pour diriger ce parti", tranche-t-elle.
Et d'ajouter: "la critique n'est pas le problème. On y fait toujours face. Ce qui ne va pas, c'est qu'il y a des menaces de viol ou de mort. C'est là que s'arrête la critique (...). J'ai toujours porté plainte contre des choses pareilles".
La provocation pour le faire une place
Pas question pour autant de renoncer à son style provocateur, marque de fabrique de la JSS. "On a 1% des électeurs en Suisse. Mais on arrive à avoir une place assez grande dans les médias et à parler de choses qui sont importantes pour nous: le féminisme ou la répartition des richesses", souligne Tamara Funiciello.
Interrogée sur les divergences entre la section "jeunes" et le PS, la Bernoise répond du tac au tac: "Le PS est très large: entre moi et Daniel Jositsch, il y a assez de place. Et il la chance d'être un parti démocratique, où l'on se tape dessus aussi!".
Propos recueillis par Pietro Bugnon
Adaptation web: Jessica Vial
“Il faut un changement radical de la société pour avoir une société plus égalitaire”.
Il faut remarquer que toutes ces secondos-es socialo/vertes (la liste est longue) sont déchaînées contre la “société”, c’est-à-dire la Suisse, pays qui leur a permis une ascension sociale maximum, ce qu’elles n’auraient jamais obtenu dans leurs pays d’origine beaucoup plus inégalitaire : elles ont toutes fait des études universitaires et nombre d’entre elles sont des élues et/ou ont des postes enviables (dans le tertiaire bien entendu).
En fait, elles se déchaînent contre la Suisse car elles n’en ont rien à f… de la Suisse. Leurs racine, celui de leurs ancêtres, leur coeur, est ailleurs et elles se garderaient bien d’être aussi haineuses contre le pays de leurs ancêtres. La preuve, elles sont toutes favorables à une adhésion rapide de la Suisse à l’UERSS.
Une future conseillère fédérale gauchiste ? Elle en a incontestablement l’envergure et la morgue. Je m’étouffe de honte en y songeant.
C’est étrange tout de même ! qu’il y ait toujours des jeunesses socialistes au 21ème siècle !, alors, pour les vieillesses socialistes où sont elles ? 30 ans après la chute du mur de Berlin et l’effondrement du paradis des socialistes en URSS ?