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On s’est empressé de dire qu’il fallait privilégier l’accident alors qu’on ne savait rien, mais qu’aucun ouvrier à l’heure des faits n’était sur site. Au vus des nombreux édifices et statues catholiques incendiés ou vandalisés ces derniers mois, il me semble évident que Notre-Dame de Paris ne puisse échapper à la règle, la mariée était trop belle.
@Léo C le 20 avril 2019 à 11h26 On sait déjà beaucoup grâce à MARC GRANIE, qui grâce à son statut de CRS a pu avoir connaissance de tas de trahisons et de crimes d’Etat ! https://www.youtube.com/watch?v=nG_mo_LVA_Y https://www.youtube.com/watch?v=cGFMR-1nMHY https://www.youtube.com /watch?v=7tRZ6MEeEIE
Il manque naturellement l’intégralité de l’assassinat de Robert Boulin. L’affaire Saint-Aubin a aussi fait partie des assassinat déguisés. Et il doit y avoir nombre de faits méconnus.
Lorsqu’on voit certains orifices annaux musulmans se réjouir de cet incendie, heureusement maîtrisé par des pompiers exceptionnels, on n’a guère de doute concernant l’origine du sinistre. La main des démons muzz n’y est certainement pas pour rien. Les autorités ont peur d’en parler et pratiquent, comme toujours, la langue de bois. Que les bouteurs de feu soient maudits pendant des générations, tout comme leur frères devant le prophète pédophile et complètement pervers.
C’est une évidence qu’il n’est même pas nécessaire de rappeler à moins que, par miracle, le peuple Français se retrouve à avoir, soudainement, à nouveau, du poil au derrière. Il faudra attendre une cinquantaine d’année pour un déclassement des documents top secret et encore, les plus compromettants auront été détruits !
C’est ce qui est arrivé avec la fusillade de la rue d’Isly à Alger en 1962. On a retrouvé les mémos d’accompagnement des rapports top secret mais pas les rapports eux-mêmes qui ont été soigneusement détruits.
Tout comme l’assassinat de Bérégovoy et autres qui dérangeaient; Coluche certainement aussi.
Comme Kennedy.
Nous ne saurons rien mais nous avons un avantage depuis ces dates: internet et la vidéo qui pourraient démanger certains friands de factuel et d’authenticité qui hésitent pour l’instant.
La macronie et ses séides s’empresseraient de crier à l’intox, au faux, à la fake-news (terme repris par notre histrion élyséen, par glissement sémantique d’un terme anglais, pour mieux stigmatiser, ostraciser et marginaliser les légitimes lanceurs d’alerte) mais le doute subsisterait toujours; d’où cet avantage.
C’est l’évidence même.